Uniquement les Articles de la décennie 2010
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Quatre associations de défense de l’environnement, dont le World Wide Fund for Nature Belgium et l’aile belge de Greenpeace, contestent les concessions en mer du Nord accordées par le gouvernement fédéral à trois industriels, Belmagri, Alzagri et DC Industrial, une filiale du groupe De Cloedt. Elles demandent au Conseil d’État d’annuler l’arrêté ministériel du 30 juillet dernier ayant prolongé ces concessions pour dix ans, jusqu’au 31 décembre 2029.
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C'est une première : plus de 2 500 scientifiques d'Europe et d'ailleurs adressent une lettre ouverte au Parlement européen, en demandant la réforme de la PAC. Car Ils établissent un lien direct entre intensification de l'agriculture et disparition croissante de la biodiversité.
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Depuis quelques années, la collapsologie suscite l'intérêt du grand public, des médias, des milieux militants, du monde universitaire, et jusqu'au personnel politique. Ancien ministre de l'Aménagement du territoire et de l'Environnement dans le gouvernement de Lionel Jospin (2001-2002) et président de l'Institut Momentum depuis 2014, Yves Cochet vient de publier Devant l'effondrement. Essai de collapsologie (Les Liens qui libèrent). Trois questions à un homme politique, mathématicien de formation et écologiste de conviction, qui se revendique désormais comme « collapsologue ».
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De plus en plus de travaux scientifiques prédisent la fin de notre civilisation industrielle : incapable d'évoluer, elle pourrait s'effondrer comme d'autres dans l'histoire de l'Humanité, principalement à cause des inégalités dans la répartition des richesses et de la surexploitation soutenue et croissante de ressources limitées. La « fin du monde » ou plutôt la fin de nos civilisations actuelles est un sujet récurrent et tout à fait plausible ne serait-ce que par les menaces d'origines naturelles. Mais c'est bien l'Homme qui est devenu la cause la plus probable et immédiate de sa propre extinction : « l'Homme est un loup pour l'Homme » reprenait déjà Sigmund Freud dans son livre Malaise dans la civilisation, une locution qui prend tout son sens à l'aube d'un désastre.
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Le Canada a l’intention de renforcer sa présence militaire dans l’Arctique. La région est riche en ressources naturelles, rendues plus accessibles grâce au réchauffement climatique, indique un plan stratégique décennal dévoilé mardi par le gouvernement de Justin Trudeau. Ces terres sont de plus en plus convoitées. Et c’est donc pour temporiser ces différents intérêts grandissants que le gouvernement plaide pour de nouvelles mesures de protection.
Que penser du récent pic dans la consommation mondiale de ciment ? Nelo Magalhães nous présente les impasses de notre modernité capitaliste.
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Par outils pédagogiques, nous entendons un éventail de supports : dossiers pédagogiques, albums documentaires, albums jeunesses, romans, expositions, jeux, guides pratiques et d'expérimentation, malles pédagogiques, spectacles, DVD documentaires et fictions...
Pourquoi Donald Trump veut-il faire du Groenland le 51e État américain? Cet immense territoire glacé offre à première vue peu d'attrait mais ses ressources naturelles et sa situation géographique en font un enjeu d'avenir face aux appétits de la Chine et de la Russie dans l'Arctique.
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Dans son nouveau rapport publié mercredi, le GIEC tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme. La planète est surexploitée et si l’homme ne modifie pas radicalement sestechniques agricoles et ses habitudes alimentaires, le réchauffement climatique va s’accentuer et la sécurité alimentaire sera menacée. Jean-Pascal van Ypersele, présent au sommet du GIEC en Suisse."On ne peut pas sauver le climat sans s’occuper de la manière dont l’agriculture et la gestiondes forets et des sols se passe
La prise de conscience est là: les agriculteurs se rendent de plus en plus compte de lagravité des événements extrêmes et des effets du changement climatique sur la viequotidienne, la santé, l'agriculture... Cette dernière fait à la fois partie des problèmes et dessolutions. Il faut se mettre autour de la table pour voir comment l'agriculture pourraitcontribuer à cette lutte contre le réchauffement en respectant les objectifs de développementdurable
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Il y a un secteur qui est également responsable de l’augmentation des émissions de dioxyde de carbone : c’est la construction. Le béton est la source d’environ 7 à 8% des émissions mondiales de CO2. Plus exactement, c’est l’un de ses composants dont la production est très émettrice : le ciment. Celui-ci a une empreinte carbone élevée. La cause du caractère si polluant du ciment est son processus de fabrication extrêmement énergivore, puisque la matière première est chauffée à des températures avoisinant les 1450 degrés. En outre, du CO2 lié à la décarbonatation du calcaire, principale matière première, est responsable d’environ 60% des émissions totales du secteur.
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Le monde capitaliste s’enfonce dans une crise écologique sans précédent qui menace sa continuité en tant que système basé sur la recherche du profit privé. De la pollution de l’air, de l’eau et du sol à l’accumulation de déchets et d’ordures ; de l’épuisement des ressources naturelles à l’extinction des espèces ; de l’urbanisation galopante au changement climatique ; une épée de Damoclès menace la société de marché.
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Selon un rapport de l’ONU, le développement rapide de l’extraction de matériaux est le principal responsable des changements climatiques et de la pression sur la biodiversité. L’utilisation des ressources naturelles a plus que triplé depuis 1970. La situation va s’aggraver si le monde n’engage pas une réforme systémique de grande ampleur.
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Plus de deux milliards de personnes dans le monde n’ont toujours pas accès à l’eau potable et à l’assainissement, alerte mardi l’ONU à l’occasion de la publication du dernier Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau.
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Il y a quelques années, en particulier entre 2005 et 2008, de nombreuses personnes craignaient que l’approvisionnement en pétrole ne s’épuise. Ce qui les inquiétaient, c’étaient les prix élevés du pétrole, et le fait qu’il puisse y avoir besoin de le rationner. Parmi les éléments de ce récit du pic pétrolier, lesquels sont corrects, et lesquels induisent en erreur, voire sont erronés ?
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Le problème, à mon avis, est que l’économie mondiale passe progressivement d’un mode de croissance à un mode de contraction. C'est un peu comme un navire qui change de cap, allant d'un sens à l’autre. Le système agit comme si les freins étaient appliqués avec beaucoup de force et l’économie se met à trembler. Ce qui semble se produire, c'est que l'économie mondiale atteint les limites à la croissance, comme le prédisent les simulations informatiques modélisées dans le livre de 1972, The Limits to Growth. En fait, le modèle de base de cet ensemble de simulations indique que la production industrielle maximale par habitant pourrait être atteinte dès maintenant. Le pic de nourriture par habitant pourrait être atteint à peu près au même moment.
Dans un blogue récent, Ugo Bardi attire l’attention sur le déclin de la production mondiale de ciment. Depuis 1940, celle-ci doublait tous les dix ans, à un rythme remarquablement constant et indépendant des crises économiques. Mais en 2015, cette croissance s’arrête sans crier gare. Le phénomène n’a pas encore beaucoup attiré l’attention des médias, mais les nouvelles données pour 2018 confirment ce plafonnement de la production, qui est peut-être un signe avant-coureur de la fin de la croissance.
phosphorus is biologically vital. Supplies of phosphate rock – the only major phosphorus ore – are limited. So much so that phosphorus has been listed among the “endangered elements” where there is a risk to future supply. The problem is that the phosphorus used as fertiliser ends up dissolved in rivers and oceans as soluble phosphate, eventually becoming sediment. Currently there is no economically viable way of recovering it,
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La fabrication de ciment est l’une des activités industrielles les plus émettrices de gaz à effet de serre (GES) dans le monde. L’énergie nécessaire au procédé représente environ 40% des émissions, mais 60 % provient du calcaire lui-même, qui libère du carbone sous forme de CO2 lors qu’il se transforme en ciment. Ce texte présente les trois avenues envisagées pour réduire les émissions des cimenteries : réduction des pertes de chaleur, carburants alternatifs et modifications à la composition du ciment.
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Il y a six ans, nous avions commenté sur ce même blog que, parmi tous les carburants dérivés du pétrole, le diesel était celui qui verrait probablement sa production baisser en 1er. La raison de la réduction de la production de diesel avant l’essence, par exemple, était due à la baisse de la production de pétrole brut classique depuis 2005 et au poids croissant des pétroles dits "non conventionnelles", mauvais substituts qui ne conviennent pas toujours à la production de diesel.
Donnant l’illusion confortable d’une dématérialisation de l’économie à l’heure où il nous faut réduire notre empreinte écologique, la transition numérique entrave les écosystèmes naturels.
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Les prévisions du Giec avec un réchauffement de +1,5°C et +2°ne sont pas réalistes en regard du peu qui a été fait par les Etats jusqu'à maintenant. Cette hausse est déjà pour demain (2030).
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Sommes-nous sous la menace d’un « effondrement » imminent, sous l’effet du réchauffement climatique et de la surexploitation des ressources ? Pour l’historien Christophe Bonneuil, la question n’est déjà plus là : des bouleversements sociaux, économiques et géopolitiques majeurs sont enclenchés et ne vont faire que s’accélérer. Il faut plutôt déplacer la question et produire une « pensée politique » de ce qui est en train de se passer : qui en seront les gagnants et les perdants ? Comment peser sur la nature de ces changements ?
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