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2025
L’Etat américain, où sont basés les entreprises comme Google, Meta, OpenAI et Anthropic, a mis en place, une législation majeure de régulation, au moment où des dizaines de milliards de dollars d’investissement affluent dans la Silicon Valley.
La fédération patronale Perifem, qui rassemble les grandes enseignes de la distribution autour des questions énergétiques et environnementales, a dénoncé vendredi la publication par le gouvernement de nouvelles obligations jugées "inadaptées" qui "vont placer hors la loi un grand nombre de commerces". Dans le viseur de la fédération, qui réunit Carrefour, Boulanger ou encore Truffaut, un arrêté publié le 6 septembre, deux jours avant le vote de confiance qui a renversé l'ex-Premier ministre François Bayrou. Ce texte découle d'un décret publié en 2019, qui impose à tous les propriétaires de surfaces de plus de 1.000 m2 des objectifs de réduction de consommation d'énergie.
L'État républicain de Floride a annoncé mercredi vouloir mettre fin à "toutes les obligations vaccinales", "sans exception", assimilant ces dernières à de l'"esclavage". À l'inverse, trois États démocrates, dont la Californie de Gavin Newsom, ont riposté en annonçant la formation d'une "alliance sanitaire" qui suivra les recommandations des scientifiques.
Le gouverneur et l’administrateur de la Santé publique de l’Etat américain conservateur ont annoncé ce mercredi 3 septembre vouloir supprimer les vaccins contre la rougeole ou la varicelle dénonçant une intrusion «immorale» dans les droits des personnes.
L’avis de la Cour internationale de justice du 23 juillet change la donne du droit international climatique, soutiennent, dans une tribune au « Monde », la juriste Eleonora Bottini et la directrice générale de C40 Cities, Caterina Sarfatti.
Cette semaine, la Cour internationale de justice a rendu un avis historique, confirmant l'obligation juridique faite aux Etats d'agir contre le changement climatique, et par conséquent de réglementer les entreprises émettrices de gaz à effet de serre. Paul Mougeolle, juriste et coordinateur de "Notre Affaire à tous" décrypte cet avis pour Novethic.
La plus haute juridiction de l’ONU rend un avis ce mercredi 23 juillet pour savoir quels sont les devoirs des pays en matière de lutte contre le changement climatique et déterminer la responsabilité historique des nations les plus polluantes. Cette décision pourrait avoir un impact sur les tribunaux du monde entier.
Pour la première fois, la Cour internationale de justice, la plus haute juridiction mondiale, clarifie l'obligation juridique faite aux Etats d'agir contre le changement climatique mais aussi de réparer les dommages causés.
La plus haute juridiction de l'ONU va rendre mercredi un avis consultatif sans précédent sur les obligations légales des Etats pour freiner le changement climatique, avec une question clé : la responsabilité historique des grands pollueurs sera-t-elle engagée ?
Le Parlement iranien a voté mercredi en faveur d'une suspension de la coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui reste pourtant "une obligation" selon son patron, après douze jours de guerre marquée par des frappes israéliennes et américaines sur des installations nucléaires.
Le Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a adopté jeudi une résolution condamnant l'Iran pour "non-respect" de ses obligations nucléaires, nouvel avertissement avant un éventuel renvoi du dossier aux Nations unies. Le texte, élaboré par Londres, Paris et Berlin (E3) associés à Washington, a été approuvé par 19 pays sur 35, ont indiqué à l'AFP plusieurs sources diplomatiques. La Russie, la Chine et le Burkina Faso ont voté contre.
L’Agence internationale de l’énergie atomique a accusé ce jeudi 12 juin Téhéran de violer ses engagements sur la non-prolifération des armes nucléaires. La république islamique a depuis annoncé qu’elle allait construire un nouveau site d’enrichissement d’uranium.
Le Parlement européen a voté le 8 mai dernier à Strasbourg un texte visant « à répondre à la spéculation sur le marché du gaz et à faire baisser les prix, en introduisant plus de flexibilité dans les règles relatives au remplissage ». Les eurodéputés doivent désormais mener des négociations avec la présidence polonaise du Conseil, avec une première série de pourparlers débutant ce 13 mai.
La neutralité est une complicité. Il est urgent que nos universités assument une responsabilité collective, défendent sans équivoque la justice et alignent leurs politiques sur leurs principes déclarés.
La prise en compte du climat dans les plans locaux d'urbanisme est désormais obligatoire. Mais de nombreuses collectivités en manque de financement et d'expertise ont du mal à la voir autrement que comme une contrainte de plus.
2024
La plus haute juridiction de l'ONU entame lundi à La Haye des audiences historiques visant à définir les obligations juridiques des pays face au changement climatique et pour aider les nations vulnérables à le combattre. Des représentants du Vanuatu et d'autres îles à risque de l'océan Pacifique ouvriront les débats marathon à la Cour internationale de justice (CIJ) à 09H00 GMT devant un panel de 15 juges.
La catastrophe climatique qui a ravagé la région de Valence, en Espagne, devrait faire l’objet d’un débat citoyen qui permettrait de corriger quelques idées fausses sur le rôle des services publics et les coûts économiques, plaide Dominique Méda dans sa chronique.
Le géant pétrolier avait été condamné en première instance en 2021 pour son inaction climatique à la suite de la plainte d’une ONG soutenue par des milliers de citoyens néerlandais.
Les pays du monde entier ont jusqu'au 10 février 2025 pour soumettre leurs nouvelles feuilles de routes climatiques, selon les obligations de l'accord de Paris de 2015, duquel 195 pays sont membres, en incluant les États-Unis qui pourraient en sortir sous Donald Trump l'an prochain. Mais quelles sont les objectifs et obligations de chacun ?
Les pays du monde entier ont jusqu'en février 2025 pour déposer leurs nouvelles feuilles de route climatiques à l'ONU, selon les obligations de l'accord de Paris de 2015, duquel 195 pays sont membres, en incluant les Etats-Unis qui pourraient en sortir sous la présidence de Donald Trump l'an prochain.- A quoi oblige l'accord de Paris?