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implications
2025
The Antarctic Circumpolar Current (ACC) is the world's strongest ocean current and plays a disproportionate role in the climate system due to its role as a conduit for major ocean basins. This current system is linked to the ocean's vertical overturning circulation, and is thus pivotal to the uptake of heat and CO2 in the ocean. The strength of the ACC has varied substantially across warm and cold climates in Earth's past, but the exact dynamical drivers of this change remain elusive. This is in part because ocean models have historically been unable to adequately resolve the small-scale processes that control current strength. Here, we assess a global ocean model simulation which resolves such processes to diagnose the impact of changing thermal, haline and wind conditions on the strength of the ACC. Our results show that, by 2050, the strength of the ACC declines by ∼20% for a high-emissions scenario. This decline is driven by meltwater from ice shelves around Antarctica, which is exported to lower latit
2024
À quelques jours du début de la COP29, la victoire électorale de Donald Trump n'augure rien de bon pour le futur des politiques et du financement de la lutte contre le changement climatique.
À quelques jours du début de la COP29, la victoire électorale de Donald Trump n’augure rien de bon pour le futur des politiques et du financement de la lutte contre le changement climatique.Climatosceptique affiché, Donald Trump avait fait campagne en 2016 sur la relance du charbon aux États-Unis, l’allègement des contraintes environnementales imposées par l’administration démocrate et la sortie de l’Accord de Paris.
These powerful ‘rivers in the sky’ provide a huge share of annual precipitation in many regions, including California. They can also melt sea ice, with global climate implications.
Jean-Philippe Pierron, Je est un nous. Enquête philosophique sur nos interdépendances avec le vivant, Actes Sud, coll. « Mondes sauvages », février 2021, 176 pages.
2023
Le 20 mars 2023, les États membres du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) ont approuvé le Rapport de synthèse afférent au sixième Rapport d’évaluation. Sa conclusion principale : un avenir résilient et vivable est encore à notre portée, mais seulement si nous réduisons fortement, rapidement et durablement les émissions de gaz à effet de serre au cours de cette « décennie critique » afin de limiter le réchauffement à 1,5 °C avec un dépassement minimal ou nul. Ce billet de blog met en lumière 6 points clés du rapport, ainsi que les principales réactions politiques, notamment les propositions du secrétaire général des Nations unies concernant un programme d'accélération de l'action climatique mondiale et un pacte de solidarité climatique du G20.
2022
Planetary Boundaries - summary and implications for policymakers 05.12.2022 Respecting planetary boundaries is essential to preserve the stability of ecosystems and human societies, including in Switzerland. Incorporating this principle into our legal system is consistent with the pursuit of our ...
Pour la première fois depuis 1978, l’étendue de glace flottant autour du continent est passée sous la barre des 2 millions de km2. Gerhard Krinner, chercheur au CNRS, détaille les implications d’une telle fonte.
Le plan « REPowerEU » présenté début mars 2022 par la Commission européenne(1) vise à « rendre l'Europe indépendante des combustibles fossiles russes bien avant 2030 ». Il suppose entre autres « de multiplier au moins par 3 les capacités installées d’énergie solaire photovoltaïque et par 2,5 les capacités éoliennes » au niveau européen, souligne Susanne Nies(2) dans le « briefing » en anglais ci-après, publié le 12 avril par le Centre Énergie & Climat de l'Ifri.
Dans cet épisode, Laura interroge le bien-fondé de l’expression “on n’arrête pas le progrès”. Est-ce si évident ? Pourquoi les nouvelles techniques, à l’instar de la 5G, sont-elles souvent contestées ? Le progrès est-il toujours désirable, quelles que soient ses implications sociales, ou environnementales ? François Jarrige, historien des sciences à l’Université de Bourgogne, explique que les innovations techniques ont souvent rencontré des oppositions et qu’aucune n’est inéluctable. Il critique notamment l’idéologie “technosolutionniste”, selon laquelle l’innovation technologique pourrait résoudre tous les problèmes écologiques, sociaux, culturels et politiques. “L’idée ce n’est pas d’être pour ou contre la technique, c’est d’inventer d’autres systèmes techniques dans d’autres contextes sociaux et démocratiques,” résume-t-il.