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2025

Pour appréhender l’ampleur de la destruction du climat, le chercheur Gaspard Lemaire plaide pour l’utilisation du concept d’« atrocité climatique ». Un terme qui permettrait de mieux pointer les responsabilités des États.
Ce matin, Jean-Marc Jancovici nous explique la consommation énergétique de l’intelligence artificielle, ses émissions de gaz à effet de serre, ainsi que les prévisions concernant cette consommation dans dix ans.
Pour baisser les émissions de gaz à effet de serre, la consommation de viande doit diminuer, mais toutes les trajectoires ne sont pas identiques.
À un peu moins de deux mois de l’ouverture de la COP30 à Belém, deux informations importantes : pour la première fois la Chine va s’engager sur un objectif de baisse de ses émissions ; le rapport Production Gap(1) indique que les émissions mondiales de CO2 résultant de la combustion d’énergie fossile devraient continuer d’augmenter si l’on se fie aux prévisions d’extraction des grands producteurs.
À l’échelle mondiale, les systèmes agricoles, alimentaires et forestiers produisent plus du tiers des émissions de gaz à effet de serre, contribuant ainsi au changement climatique de façon significative. Pourtant, l’agriculture n’a été intégrée que tardivement aux négociations des COP sur le climat. Entre enjeux d’adaptation, d’atténuation et de sécurité alimentaire, les avancées restent timides. De récentes initiatives essaient toutefois de mieux intégrer les systèmes agricoles et alimentaires à l’agenda climatique mondial.
Le président chinois a annoncé en personne le nouvel engagement climatique de son pays, s’engageant à réduire les émissions de gaz à effet de serre de 7 à 10% d’ici 2035.
Canberra se fixe une cible comprise entre 62 % et 70 % de baisse d’ici à 2035 par rapport aux niveaux de 2005. Le pays est candidat à l’organisation de la COP31 en 2026.
Les 50 sites industriels français qui émettent le plus de gaz à effet de serre en ont un peu moins rejeté dans l'atmosphère en 2024, mais surtout à cause d'un recul de la production, selon un rapport d'ONG environnementales publié jeudi. Les émissions industrielles, qui avaient connu une "baisse marquée" (-10,2%) entre 2022 et 2023, n'ont "reculé que de 1,4% en 2024", ont constaté le Réseau Action Climat (RAC), principal réseau d'ONG environnementales, et France Nature Environnement dans un rapport.
L'Australie s'est engagée jeudi à réduire d'ici 2035 ses émissions de gaz à effet de serre de 62 à 70% par rapport aux niveaux de 2005, après un rapport établissant que le changement climatique menace les conditions de vie de plus d'un million de personnes dans le pays. "Nous écoutons les scientifiques et nous agissons dans l'intérêt de l'Australie", a déclaré le Premier ministre Anthony Albanese lors de la présentation de cet objectif. Les engagements du pays sont supérieurs à ceux du Canada et de la Nouvelle-Zélande, mais inférieurs à ceux du Royaume-Uni, qui comptent parmi les plus ambitieux au monde. L'objectif précédent de l'Australie était de réduire ses émissions de 43% pour 2030, par rapport aux niveaux de 2005.
Les ministres de l’environnement de l’UE ont adopté, jeudi, une fourchette de baisse des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2035, comprise entre − 66,25 % et − 72,5 % par rapport à 1990. Ils ont reporté à octobre la discussion concernant la cible 2040.
Après des années de baisse régulière, les émissions de gaz à effet de serre risquent de se stabiliser aux États-Unis, au moment où la politique menée par le gouvernement Trump favorise les combustibles fossiles et restreint les énergies renouvelables, selon une analyse publiée mercredi. « Le changement le plus abrupt en matière de politique énergétique et climatique dans l'histoire récente » Le centre de recherche américain Rhodium Group a modélisé plusieurs trajectoires en tenant notamment compte de la croissance économique et des prix des énergies.
Les rejets carbonés mondiaux croissent toujours. Mais, contrairement aux dernières années, les émissions de gaz à effet de serre sont en hausse au premier semestre dans l’Union européenne et aux Etats-Unis, tandis qu’elles baissent en Chine.
Les émissions de gaz à effet de serre du secteur aérien – 2000-2024 - Les émissions de gaz à effet de serre (GES) de l'aviation attirent plus l'attention que celles d'autres secteurs. Par exemple, on les évoque beaucoup plus souvent que celles du transport maritime (croisières en mer comprises), alors même que les émissions de CO2 des soutes maritimes internationales apparaissent plus importantes que celles de l'aviation, comme le montre le graphique ci-après. Celui-ci montre aussi que, jusqu'en 2019 (avant la crise Covid), l'écart tendait à décroitre mais le choc récessif de 2020 et après a été plus important pour le secteur aérien
Le président russe a signé, ce mercredi 6 août, un décret fixant un objectif climatique a priori ambitieux, mais qui permet en réalité à la Russie, quatrième émetteur mondial, de polluer encore plus.
Quatrième émetteur mondial de dioxyde de carbone, la Russie veut parvenir à zéro émission nette d'ici 2060 mais, selon des militants, ses objectifs actuels sont insuffisants pour lutter contre le réchauffement climatique.
Le patron de l'Agence fédérale de protection de l'environnement, nommé par le président Trump, a annoncé revenir sur une décision fondamentale pour la régulation des émissions de gaz à effet de serre. Un recul de plus qui pourrait représenter "la plus grande mesure de dérégulation de l'histoire des Etats-Unis".
Le patron de l'Agence fédérale de protection de l'environnement a annoncé mardi s'attaquer à une décision clé de l'administration Obama pour la régulation des émissions de gaz à effet de serre. De quoi permettre une vaste dérégulation pour le secteur automobile en assouplissant les règles sur les émissions des véhicules.
Cette réforme, qui devra passer par une phase de consultation publique, devrait notamment entraîner une vaste dérégulation du secteur automobile.
L’administration y voit l’une des plus grandes mesures de dérégulation de l’histoire des Etats-Unis.
Le gouvernement de Donald Trump s'apprête à renverser la décision qui sert de fondation à la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre aux États-Unis, deuxième plus gros émetteur mondial. […] En 1970, le Congrès américain a donné, via le Clean Air Act, le pouvoir à l'Agence de protection de l'environnement (EPA) de réguler "la pollution de l'air qui peut raisonnablement mettre en danger la santé publique".
Higher methane emissions from gas infrastructure have negated much of U.S. climate progress in the past two decades, a new study shows.
Cette semaine, la Cour internationale de justice a rendu un avis historique, confirmant l'obligation juridique faite aux Etats d'agir contre le changement climatique, et par conséquent de réglementer les entreprises émettrices de gaz à effet de serre. Paul Mougeolle, juriste et coordinateur de "Notre Affaire à tous" décrypte cet avis pour Novethic.
La quantité de CO2 dans l’atmosphère varie à cause des activités humaines, mais aussi en réponse au fonctionnement des écosystèmes, comme les arbres, qui absorbent et émettent du CO2 en respirant. Grâce aux satellites, on peut ainsi voir la planète « respirer ». La nouvelle mission MicroCarb du Cnes doit décoller le 25 juillet de Guyane et vient rejoindre d’autres programmes pour suivre de près ce facteur important du changement climatique.
Ironie tragique : l’armée américaine, qui affirme que le changement climatique est une menace majeure pour la sécurité mondiale, est elle-même l’une des principales causes de ce dérèglement.
La diminution des émissions de gaz à effet de serre a largement ralenti lors du premier trimestre 2025, et le reste de l’année ne devrait pas être plus glorieux. Ce rythme est insuffisant pour respecter les objectifs climatiques de la France.
Après plusieurs mois de flottements, la Commission européenne a proposé mercredi de maintenir son objectif de réduction de 90% des émissions de gaz à effet de serre en 2040, mais elle introduit des "flexibilités" face aux réticences de certains pays.
Porté notamment par l’évolution de son mix énergétique, le pays le plus émetteur de CO2 du monde pourrait enfin voir ses émissions décroître ces prochaines années. Sous certaines conditions.
Pour la troisième année consécutive, un consortium international de soixante chercheurs, impliquant principalement en France des scientifiques de Météo-France, du CEA, du CNRS et de Mercator Ocean International, a actualisé les indicateurs géophysiques clés du changement climatique planétaire. Leurs résultats, publiés dans la revue scientifique Earth System Science Data, indiquent que le budget carbone restant pour limiter le réchauffement planétaire à moins de 1,5 °C sera épuisé d’ici 3 ans, au rythme actuel des émissions de gaz à effet de serre.
Non seulement la baisse des émissions de gaz à effet de serre a fortement ralenti en France, mais celle attendue en 2025 sera "essentiellement" liée au recul de la production industrielle plutôt qu'à la décarbonation de l'économie, indiquent mercredi des prévisions de l'Insee.
Même si l’humanité cessait immédiatement toutes ses émissions de gaz à effet de serre, le réchauffement climatique ne s’arrêterait pas instantanément. Pourquoi ? Et quand pourrions-nous espérer une stabilisation des températures ?
Pour absorber les émissions de gaz à effet de serre incompressibles, certains scientifiques et start-ups souhaitent accélérer le stockage du carbone dans l'océan, en y ajoutant divers minéraux. Eclairage, avec des experts du domaine.
D’après une étude publiée par l’Observatoire des conflits et de l’environnement, la course à l’armement observée à travers le monde - de l’Union européenne aux Etats-Unis - «aggrave la crise climatique à long terme». Et renforce encore davantage la probabilité de nouveaux conflits.
Les pluies extrêmes en Belgique deviendront plus intenses et plus fréquentes d'ici 2100, avec des pics journaliers pouvant dépasser 100 mm tous les 20 ans dans certaines zones, selon une étude de l'ULiège et de l'Institut Royal Météorologique (IRM) publiée jeudi.
Les opérateurs télécoms et les centres de données, régulièrement pointés du doigt pour leur impact environnemental, ont vu leurs émissions de gaz à effet de serre à nouveau progresser en 2023 en France, d'après une enquête de l'Autorité de régulation du secteur publiée jeudi. Les émissions venant des opérateurs Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free ont atteint 397.000 tonnes d'équivalent CO2, en augmentation de 4% sur un an, a précisé l'Arcep, soit l'équivalent de 225 vols aller-retour entre Paris et New York. La même année, les émissions de gaz à effet de serre avaient au total diminué de 5,8% en France.
Les émissions de gaz à effet de serre en France ont baissé de 1,8% en 2024, selon les premières estimations publiées vendredi de l'organisme Citepa, soit bien moins que la réduction de 5,8% de l'année précédente, déjà insuffisante pour que le pays tienne ses futurs objectifs de décarbonation.
L’Organisation Météorologique Mondiale a publié son rapport annuel (OMM2024). L’année 2024 a été la plus chaude de l’Histoire. Elle a apporté de nombreux événements extrêmes. Le cyclone Yagi a causé des dégâts étendus en Chine, au Philippines et au Vietnam, et le cyclone Chido a dévasté Mayotte et le Mozambique. De nombreux affluents de l’Amazone se sont taris par une chaleur inhabituelle, et plus de mille pèlerins ont succombé à la chaleur à la Mecque.
La Commission a reporté le lancement de son plan permettant une baisse de 90 % des émissions d’ici 2040. Un retard dû aux réticences de certains Etats membres.
La solution : l’acier vert par électrolyse - Boston Metal, une startup fondée en partie grâce au MIT, a mis au point une technologie qui pourrait changer la donne : l’électrolyse à oxyde fondu (MOE) à anodes inertes multiples. Ce procédé innovant repose sur l’utilisation de l’électricité pour extraire le fer du minerai sans recourir au coke. En remplaçant ce dernier par une anode métallique insérée dans un réacteur, l’électricité chauffe le minerai de fer à des températures très élevées (environ 1 600 degrés Celsius), ce qui déclenche les réactions nécessaires à la formation du fer en fusion. L’avantage principal de cette méthode est que le sous-produit de la réaction est de l’oxygène plutôt que du CO2, ce qui offre ainsi une solution sans émission de carbone.
D’après une nouvelle étude, les émissions de gaz à effet de serre modifient aussi la densité de la haute atmosphère. Au point que, bientôt, les satellites hors d’usage se désintégreront moins vite, ce qui laissera moins de place pour y placer de nouveaux engins. Explications.
Les émissions de gaz à effet de serre de l'Allemagne, première nation industrielle d'Europe, ont poursuivi leur baisse en 2024, mais au ralenti, faute d'investissements suffisants des entreprises et des ménages dans des technologies plus respectueuses du climat, selon une étude publiée mardi.Après un recul très marqué d'environ 10% en 2023, la courbe de réduction des émissions allemandes s'est "nettement infléchie" l'an dernier avec une baisse limitée à 3%, indique le rapport annuel du groupe d'experts Agora Energiewende, un organisme allemand de référence.




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