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2025

Plus de 120 personnes ont été hospitalisées après des émanations de substances toxiques. Excédés par l’absence de réaction des autorités, les habitants de la ville exigent la fermeture du complexe chimique.
Chaque jour, sans même le savoir, vous ingérez l’équivalent d’une carte de crédit en microplastiques. Ces particules invisibles ne se contentent pas de traverser votre organisme : elles modifient profondément l’écosystème bactérien de votre intestin, avec des conséquences que la science commence tout juste à comprendre. Une étude autrichienne présentée ce mois-ci révèle pour la première fois comment ces fragments de plastique reprogramment littéralement votre flore intestinale.
L’hexane est un solvant pétrochimique utilisé dans l’extraction des huiles végétales. Une enquête journalistique et une étude de Greenpeace ont révélé fin septembre sa présence dans de nombreux aliments du quotidien. On vous aide à comprendre les enjeux sanitaires derrière ce produit.
On parle souvent de “continents de plastique”… mais la réalité est bien plus surprenante (et inquiétante). La majorité du plastique des océans n’est pas là où on pense. 🧐 Dans cette vidéo, on suit le parcours d’un simple déchet de Nantes jusqu’aux profondeurs marines, pour comprendre où disparaissent les 99% de plastiques invisibles. Microplastiques, nanoplastiques, pollution des fonds marins, impacts sur la santé et sur le climat : le problème est partout, et il nous concerne directement. Alors, qui est vraiment responsable de cette pollution ? Et surtout, comment peut-on agir pour stopper l’hémorragie ?
Une étude européenne nous enlève quelque peu le plaisir de boire : tous les vins embouteillés après l’année 1988 contiennent des polluants éternels. Même les vins bio.
Notre nourriture est contaminée par au moins 183 types de résidus de pesticides. Une pollution stable, mais dont l’effet cocktail – le mélange de ces produits – est peu documenté. Tous les aliments ne sont pas concernés au même niveau. On vous aide à y voir plus clair.
Le prix écologique et sanitaire de la consommation bon marché est payé, au bout du compte, par tous les citoyens, alerte Samuel Rebulard, ingénieur agronome et professeur agrégé à l’Université Paris-Saclay.
Stop aux pesticides ! Voilà le message porté par le collectif français des Mutuelles pour la santé planétaire. Dans leur "Odyssée pour notre santé", ils dénoncent une agriculture qui tue la terre, les vivants et en premier lieu, les agriculteurs.
Les auditions au parlement de Wallonie ont été marquées par l’intervention atypique d’Alfred Bernard, en rupture avec les autres experts. Le toxicologue, lui, ne cache pas son action politique.
L’hexane, solvant toxique dérivé du pétrole, est utilisé depuis près d’un siècle pour l’extraction d’huile dans l’industrie agro-alimentaire, révèle le journaliste Guillaume Coudray dans un livre enquête.
Dans « De l’essence dans nos assiettes », enquête passionnante, l’essayiste Guillaume Coudray raconte comment les grandes sociétés agroalimentaires ont adopté ce solvant dérivé du pétrole alors que ses effets neurotoxiques sont connus de longue date.
Une méta-analyse portant sur 62 études révèle que les microplastiques peuvent altérer la santé osseuse de diverses manières. Ils peuvent, par exemple, s’incruster profondément dans les tissus osseux, tels que la moelle, et en perturber des processus essentiels comme le renouvellement cellulaire et la croissance des os. Les chercheurs suggèrent que cela pourrait contribuer à expliquer la hausse de la prévalence de l’ostéoporose observée ces dernières décennies.
Le plus petit des PFAS pourrait prochainement entrer dans la liste européenne des produits chimiques reprotoxiques. Les ONG alertent depuis des années sur la contamination large de l’eau et des aliments par ce polluant éternel.
Dans une enquête choc, Greenpeace dénonce la contamination de notre alimentation à l’hexane, un solvant de la famille des hydrocarbures. L’association pointe la responsabilité des acteurs de l’agro-industrie, qui démentent de leur côté tout risque sanitaire.
L’ONG lance une alerte sanitaire dans un rapport publié lundi 22 septembre et réclame l’interdiction de ce solvant dérivé du pétrole utilisé pour fabriquer de l’huile et présent sous forme de traces dans de nombreux aliments. L’industrie alimentaire conteste sa dangerosité.
Face à ce constat inquiétant, les chercheurs tentent de comprendre ce qui alimente cette hausse inattendue. Et plusieurs pistes se dessinent.
Dans le sillage de la mobilisation contre la loi Duplomb, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées à l’appel d’associations locales et d’élus dans la ville de Charente-Maritime. Leur objectif : faire reconnaître les dommages créés par les pesticides sur la santé et l’environnement.
Bruxelles Environnement a présenté jeudi, lors d'une séance d'information organisée à l'administration communale d'Uccle, les premiers résultats des analyses menées sur et autour de l'ancien site de l'entreprise Sicli, ancien fabricant d'extincteurs et de matériel de lutte contre l'incendie. Les mesures révèlent des concentrations de PFAS allant de 1,4 à 530 fois la norme d'intervention. La mesure la plus élevée concerne de l'eau souterraine qui, non ingérée, ne présente aucun danger, selon un représentant de la Région.
Très attendues, les conclusions de l’expertise d’ampleur menée par Santé publique France et l’Anses confirment que l’usage de ces substances chimiques par les viticulteurs sont les principaux facteurs de contamination des riverains et de leur environnement.
Une étude d’ampleur publiée par l’Anses et Santé publique France, le 15 septembre, est sans appel : les personnes vivant près des vignes sont davantage exposées aux pesticides.
La mise à jour de la proposition de « restriction universelle » des PFAS dans l’Union européenne est moins ambitieuse que prévu.
Voisin·es d’un chantier de dépollution, les élèves, enseignant·es et riverain·es d’un quartier de La Rochelle sont exposé·es depuis un an à des émanations ayant provoqué des malaises. Face à leur mobilisation, les autorités se murent dans un déni du risque de santé environnementale au profit d’un promoteur immobilier.
Victime d'un cancer du foie il y a dix ans, André Tesson a révolutionné son modèle agricole. Ancien céréalier, il s'est séparé de la moitié de ses terres, s'est reconverti dans les fruits à coque et est devenu l'un des rares producteurs de noisettes bio en France. Vert l’a rencontré.
Au sud-ouest de Nantes, une assistante maternelle à la retraite bataille pour que l’Assurance maladie reconnaisse le lien entre son cancer et les pesticides épandus par ses voisins maraîchers.
Par un arrêt du 3 septembre 2025, la cour administrative d’appel de Paris juge que l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) a commis une faute en ne procédant pas à l’évaluation des produits phytopharmaceutiques au vu du dernier état des connaissances scientifiques. En conséquence, la Cour ordonne à l’Etat de mettre en œuvre une évaluation conforme aux exigences requises et de procéder, dans un délai de vingt-quatre mois, à un réexamen des autorisations de mise sur le marché déjà délivrées.
La justice a ordonné à l’État de revoir ses procédures d’autorisation de mise sur le marché des pesticides. Cette décision « historique » reconnaît le « préjudice écologique » de la contamination des milieux par ces substances.
Ce mercredi, la cour administrative d’appel de Paris a condamné l’État français pour son insuffisante protection de l’environnement et de la santé humaine. Elle demande notamment la révision des procédures d'autorisation des pesticides pour mieux tenir compte de leurs impacts sur la biodiversité.
Le fonds a enregistré, en 2024, près d’un millier de dossiers de maladies causées par l’exposition professionnelle aux produits phytosanitaires, en hausse de 43 % par rapport à 2023.
Leurs responsabilité dans l'échec des conférences sur le climat ou le plastique est de plus pointée du doigt. Quelles sont les solutions?
1.276 citoyens ont participé de fin mai à début juillet à une campagne de biomonitoring organisée par l’ISSeP (institut scientifique de service public) dans la zone où l’eau est distribuée par le "Feeder du Hainaut". Ceux-ci recevront leurs résultats individuels ce mercredi 27 août, annonce le cabinet du ministre wallon de la Santé et de l’Environnement Yves Coppieters mardi dans un communiqué.
L'ASBL SOS Notre Santé, accompagnée de plus de 130 citoyens, a annoncé lundi sa constitution en partie civile dans l'affaire des PFAS. Les dossiers de constitution ont été déposés auprès de la juge d'instruction en charge du dossier.
Ce lundi 25 août 2025, SOS Notre Santé ASBL, accompagnée de plus de 130 citoyens, annonce sa constitution de partie civile dans l’affaire des PFAS. Les citoyens regrettent n’avoir toujours pas reçu de résultats concernant l’origine de l’intoxication.
Après l’échec des négociations sur un traité international pour lutter contre la pollution plastique, seuls un contrôle strict des importations et une réforme en profondeur des filières de recyclage permettront à la France de sortir d’un système inefficace, constate le consultant Jacques Marceau, dans une tribune au « Monde ».
Une enquête du magazine UFC-Que Choisir révèle que de nombreuses tablettes de chocolat bio contiennent plus de cadmium – un métal toxique – que leurs équivalents conventionnels. On vous explique.
Véritable fléau mondial, les microplastiques sont présents un peu partout et de plus en plus, la question de leurs impacts sur la santé humaine se pose. Ces derniers franchissent en effet les barrières naturelles et pénètrent les poumons, le cerveau ainsi que d’autres organes, déstabilisant nos défenses les plus basiques.
Ils réduisent la pollution plastique à un simple problème de "mauvaise gestion des déchets" et s'emploient à recentrer les débats sur la phase post-consommation. Un tour de passe-passe pour éviter de devoir négocier sur la réduction de la production de déchets plastiques… à sa source, selon la chercheuse Aurélie Leroy.
À Genève, aucun traité n'a pu être adopté. Mais les pays ambitieux prévoient déjà de nouvelles initiatives pour réduire la pollution plastique
Présenté au milieu de la nuit de jeudi à vendredi, un nouveau texte de compromis comportait encore plus d’une centaine de points à clarifier. Après dix jours d’intenses négociations, les chefs de délégation n’ont pas réussi à se mettre d’accord.
Malgré dix jours de négociations intenses, les 185 pays réunis à Genève ont échoué à se mettre d'accord dans la nuit de jeudi à vendredi sur un texte contraignant pour lutter contre la pollution plastique, en raison de l'opposition d'un bloc de pays producteurs de pétrole.
Les 184 pays réunis depuis dix jours en Suisse pour une session de négociations annoncée comme celle de la «dernière chance» se quittent, ce vendredi 15 août, sans trouver d’accord.
Dans la nuit du jeudi 14 au vendredi 15 août, les 184 pays réunis à Genève n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur un texte permettant de conclure un traité contre la pollution plastique. La ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, s’est dite «déçue».
Il n'y aura pas de traité contre la pollution plastique à Genève: 10 jours de pourparlers diplomatiques tendus se sont terminés vendredi à l'aube par un constat d'échec cuisant pour l'environnement et la diplomatie.
C’est un échec. Les 185 pays réunis à Genève au sommet de l'ONU ne sont pas parvenus à un accord dans la nuit de jeudi à vendredi pour élaborer un texte contraignant contre la pollution plastique.
Après dix jours de négociations intenses, la conférence de Genève sur le traité mondial contre la pollution plastique s’est soldée par un échec. Les divisions entre pays producteurs de pétrole et partisans d’un texte ambitieux ont eu raison de ce sommet présenté comme "la dernière chance".
Les négociations sur le traité contre la pollution plastique ont échoué, après dix jours de négociations. Les pays pétroliers et les lobbies en sont responsables, dénonce Lisa Pastor, de l’association Surfrider.
Les diplomates des 183 pays réunis pendant dix jours à Genève n’ont pas réussi à s’accorder sur les mesures à déployer pour mettre un terme à cette pollution omniprésente. Plusieurs options sont sur la table quant au cadre des futures discussions.
Les granulés de plastique industriels (GPI), également appelés "larmes de sirènes", constituent la deuxième source de pollution microplastique au monde. Alors que les négociations de l'ONU visant à réduire la pollution plastique entrent dans leur phase finale, les experts estiment que les efforts déployés pour enrayer leur propagation pourraient être insuffisants.
Les diplomates de 184 pays sont réunis à Genève depuis le 5 août. Ils doivent présenter un texte commun pour lutter contre développement incontrôlé du plastique.
Les diplomates de 184 pays n'ont plus que quelques heures jeudi à Genève pour tenter de forger à l'arrachée un texte commun qui établirait un premier traité international de lutte contre la pollution plastique, après le rejet massif d'un projet de texte de synthèse. Une nouvelle séance plénière réunissant tous les délégués est prévue en milieu d'après midi, après l'échec retentissant d'une tentative de synthèse maladroite mercredi après-midi, et des débats d'une grande confusion. Mais les chances de trouver un accord, après trois ans de négociations, semblent très minces, étant donné les profondes divisions qui demeurent entre les deux camps qui se sont affrontés sur le sujet.
Des dépassements des seuils de recommandation sont possibles ce jeudi 14 août, aggravés par les fortes chaleurs. Avec de nombreuses conséquences sanitaires et environnementales.
À Genève, les négociations sur le premier traité mondial contre la pollution plastique entrent dans leur phase décisive. Les 184 pays participants peinent encore à s'accorder sur des mesures contraignantes, notamment sur la réduction de la production. L'issue de ces discussions prévue dans la nuit de jeudi à vendredi pourrait déterminer la portée réelle de l'accord pour freiner la crise mondiale du plastique.
A Genève, les représentants de 184 pays ont beaucoup de difficultés mercredi à s’entendre sur les mesures nécessaires pour réduire la pollution plastique au niveau mondial, et les négociateurs censés rendre un texte de traité international jeudi sont "au bord du gouffre", selon une déléguée.
Plus de 180 pays négocient depuis le 5 août un traité mondial contre la pollution plastique, à Genève, en Suisse. Mais l’opposition des grands producteurs menace d’affaiblir l’accord. Jules Vagner, cofondateur de l’association Zéro Plastique, suit ces débats cruciaux et met en garde contre un texte sans réelle ambition.
En respirant l’air intérieur, un adulte inhalerait chaque jour jusqu’à 68 000 microparticules de plastique de moins de 10 micromètres, selon une étude.
La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a déploré mercredi 13 août le blocage par plusieurs pays producteurs de pétrole (et donc de plastique) des laborieuses négociations en cours à Genève sur un accord international.
A propos de la maladie d’Alzheimer : je suis affligée d’entendre les journalistes relayer des "études scientifiques" qui auraient identifié la "cause" de cette maladie sans même évoquer les pesticides (comme on a perdu 15 points de QI en un siècle grâce aux pesticides, ceci explique sans doute cela). C’est carrément une faute déontologique et de la désinformation à ce niveau. Environ 225 000 cas par an sont diagnostiqués en France. Le nombre total de malades explose et est estimé entre 1,4 et 2,5 millions en 2025 (parce que l'État ne communique plus les chiffres réels tant ils sont apocalyptiques). Elle est la cause la plus courante de démence, à l’origine de 60 à 70 % des cas de troubles mentaux et neurologiques. Dire que l'on aurait nouvellement identifié qu'une carence en lithium en serait à la base, ne constitue nullement une explication et comme si on cherchait une explication (??!). Ça bien fait longtemps qu'on connait la cause, et c'est sans aucun doute pour cela que cette maladie est reconnue
La préfecture des Ardennes a interdit la consommation de l’eau du robinet pour près de 3 000 habitant·es de treize communes du département, forcé·es de changer leurs habitudes. En cause, la présence de PFAS dépassant largement les limites sanitaires. Reportage.
La commissaire européenne à l'Environnement, Jessika Roswall, a appelé mardi à faire aboutir les négociations très difficiles en vue d'un traité sur la pollution plastique, censées se conclure jeudi après 10 jours de tractations à Genève.
Quelques jours avant la promulgation par la France de la loi Duplomb, sans réautorisation de l'acétamipride, la Commission européenne a acté une hausse des limites maximales de résidus de ce pesticide pour certains aliments.
La Belgique a émis un avertissement, vendredi, via Safety Gate – le système d'alerte rapide de l'UE pour les produits non alimentaires dangereux – sur des plaquettes de frein contenant de l'amiante cancérigène, vendues sur la boutique en ligne chinoise AliExpress.
L'entièreté de l'État du Minnesota est touchée par de fortes fumées. Une alerte à la qualité de l'air a été émise.Les habitants de l'État du Minnesota sont invités à limiter leurs déplacements ce dimanche et à éviter les activités en plein air. En cause ? De fortes fumées dégagées par des feux de forêt provenant du Canada, plus spécifiquement des provinces de la Saskatchewan et du Manitoba. Selon Newsweek, ces fumées ont fait grimper les niveaux de pollution aux particules fines à un niveau dangereux pour la santé. Ceux qui l'inhaleraient pourraient souffrir de problèmes respiratoires et cardiaques.
Le premier traité international permettant de lutter efficacement contre la pollution plastique qui menace les écosystèmes et la santé humaine est "à portée de main", malgré le "brouillard" qui pèse actuellement sur l'avancée des négociations, a estimé samedi la secrétaire générale adjointe des Nations Unies, Inger Andersen.
Près de 25.000 Belges ont apporté leur soutien à deux pétitions appelant à une agriculture sans pesticides dangereux, indiquent vendredi Ecolo et le collectif citoyen "Blanche-Neige", à l'initiative de ces deux appels à signatures lancés il y a une dizaine de jours.
Les négociations à Genève en vue d'établir le premier traité mondial de lutte contre la pollution plastique sont bloquées par des pays pétroliers qui refusent toute contrainte sur la production de plastique vierge, rapportent à l'AFP plusieurs sources impliquées dans les tractations.
Une étude récente porte sur la production de quatre types de polymères vierges par les Etats.
Sept pays, conduits par la Chine, les États-Unis et l'Arabie Saoudite, ont produit deux tiers (66%) des quatre types de plastiques les plus courants dans le monde en 2024, selon le cabinet britannique de conseil environnemental Eunomia et Zero Carbon Analytics, un groupe de recherche.
Alors que les négociations du traité mondial sur les plastiques débutent à Genève, un nouveau rapport ainsi qu’un film de l’Environmental Justice Foundation (EJF) révèlent que les efforts déployés pour lutter contre la pollution plastique en se concentrant sur la gestion des déchets échouent totalement en Thaïlande. Ces « fausses solutions » détournent l’attention de la cause première : la surproduction et la surconsommation. Ce constat souligne l’urgence d’un accord s’attaquant à la crise du plastique à la source, selon l’EJF (*).
Conclure un premier traité mondial contre la pollution aux plastiques s’avère crucial. Pourtant, les Etats restent divisés sur la façon de faire face à ce fléau dont les déchets ravagent la planète et menacent la santé humaine.
Alors qu'une nouvelle session de négociations s'ouvre mardi à Genève, en Suisse, pour élaborer le premier traité mondial contre la pollution plastique, une équipe de scientifiques a dévoilé lundi un état des lieux des impacts de cette pollution sur la santé humaine. Un problème "largement sous-estimé", jugent-ils.
Sous l'égide de l'ONU, près de 180 pays se réunissent mardi à Genève. L'objectif : écrire un traité mondial visant à réduire la pollution plastique après l'échec des discussions menées à Busan, en Corée du Sud, fin 2024.
Présentés comme indispensables à la culture de la betterave par les soutiens de la loi Duplomb, les néonicotinoïdes n’ont pourtant jamais fait partie de l’arsenal de Clément et Élodie, agriculteurs bio dans l’Aisne.
À partir de ce mardi, les représentant·es de 180 pays se retrouvent en Suisse pour tenter de se mettre d’accord sur un traité international visant à réduire la pollution plastique. Pourquoi les précédentes négociations ont-elles échoué ? Que reproche-t-on exactement à ce matériau ? Vert vous explique ce qui se joue actuellement sur les rives du lac Léman.
Imaginez découvrir que l’air de votre propre domicile, celui que vous considérez comme le plus sûr au monde, contient une pollution 100 fois plus importante que tout ce que la science avait mesuré auparavant. Cette réalité vient d’être dévoilée par des chercheurs français qui ont mis au point une technique révolutionnaire pour détecter des particules si minuscules qu’elles échappaient jusqu’ici à tous les radars. Leurs résultats bouleversent notre compréhension de la contamination plastique et révèlent que nos poumons subissent un bombardement quotidien dont nous n’avions pas conscience.
Une polémique politique enflammée, des débats juridiques avant l’avis ce jeudi du Conseil constitutionnel… Et si la science s’invitait vraiment dans les discussions tendues autour de la loi Duplomb ?
Le sujet préoccupe de plus en plus les scientifiques, dont certains se veulent prudents.
sur la non-conformité à la Constitution de la loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur
Alors que le texte contesté prévoit la réintroduction de l’acétamipride, l’instance juge que « sur le plan médical (…) le doute n’est pas raisonnable » et déplore « l’écart persistant entre les connaissances scientifiques disponibles et les décisions ».
Plus d’un an après l’annonce de la mise en pause du plan Écophyto II+, qui visait à "réduire les usages de produits phytopharmaceutiques de 50% d’ici 2025", et son remplacement par la controversée stratégie Écophyto 2030, la question des pesticides revient sur le devant de la scène parlementaire dans le cadre des débats autour de l’adoption de la proposition de loi "Lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur", dite loi "Duplomb" (du nom du sénateur Les Républicains Laurent Duplomb, qui l’a initiée). L’occasion de rappeler que les agriculteurs sont les premiers exposés aux produits phytosanitaires, ce qui n’est pas sans conséquence pour leur santé.
Une grande partie des pesticides de synthèse sont des perturbateurs endocriniens. Ils en représentent l’immense majorité de notre exposition puisque l’on mange trois fois par jours, tous les jours de sa vie et même déjà au cours de la vie intra utérine pendant laquelle ils sont particulièrement toxiques.




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