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2025

Sous la pression des menaces américaines, le Canada est à un tournant: pour faire face, le Premier ministre Mark Carney entend s'appuyer notamment sur le secteur pétrolier pour stimuler l'économie, une stratégie que certains voient comme un recul environnemental conséquent. Dès son entrée en fonction, en mars, en remplacement de Justin Trudeau, le ton était donné. Le chef du gouvernement a choisi d'abolir, le premier jour, la très impopulaire taxe carbone imposée aux particuliers. Il a ensuite annoncé une batterie de grands projets d'infrastructures visant à faire du Canada une "superpuissance énergétique" pour doper une économie en difficulté depuis l'imposition de droits de douane par le président américain Donald Trump. Mais l'épisode le plus frappant survient jeudi. Mark Carney a conclu un accord avec l'Alberta - province conservatrice et grande productrice de pétrole grâce à ses sables bitumineux - pour le lancement d'un nouvel oléoduc.
Dans cette deuxième partie d’entretien, il prolonge son analyse des dynamiques d’effondrement et interroge ce que pourrait signifier vivre autrement dans un monde de moins.
La Chine a suspendu dimanche une interdiction d’exportation vers les Etats-Unis visant le gallium, le germanium et l’antimoine, des métaux rares cruciaux pour l’industrie moderne, un nouveau signe de détente entre les deux pays.
Le fondateur de la start-up, Sam Altman, a démenti vouloir obtenir des garanties de l’Etat pour ses investissements dans les data centers et a cherché à rassurer sur ses 1 400 milliards de dollars d’engagements.
Pendant des années, Meta — maison mère de Facebook, Instagram et WhatsApp — s’est présentée comme le gardien de la communication mondiale, un acteur technologique œuvrant à « connecter le monde ». Mais derrière les slogans sur la transparence et la confiance, une autre réalité, bien moins reluisante, se dessine. Selon une enquête de l’agence Reuters, fondée sur des centaines de documents internes confidentiels, l’entreprise aurait sciemment laissé prospérer des milliards de publicités frauduleuses sur ses plateformes, tout en en tirant une part considérable de ses revenus. Ces révélations, qui pointent une forme de tolérance structurelle face aux arnaques, interrogent autant sur l’éthique de Meta que sur les failles systémiques d’un modèle économique bâti sur la publicité automatisée.
Le premier pollueur au monde joue le jeu des négociations sur le climat, mais s’est fixé des objectifs modestes de baisse des émissions. Pékin estime faire sa part avec sa politique volontariste de développement des technologies décarbonées, pilier de la croissance économique du pays.
La croissance économique, en particulier dans les pays émergents, est le principal facteur responsable de la hausse des émissions mondiales de gaz à effet de serre, selon un rapport de l'OCDE publié jeudi. "La croissance économique est le moteur des émissions dans les pays partenaires de l'OCDE", indique, dans son "Observateur de l'action climatique" 2025, l'organisation internationale qui rassemble des pays riches. Parmi ces "pays partenaires", on trouve de grandes économies émergentes dont les émissions ne cessent de croître, entraînant celles du monde entier: Chine, Inde, Arabie saoudite entre autres. Et des pays où elles baissent légèrement: Brésil, Indonésie et Afrique du Sud.
Taxer les très hauts patrimoines pour assurer une meilleure équité de l’effort fiscal, tout le monde devrait être pour. Mais ce n’est pas parce qu’une mesure semble juste, qu’elle sera aussi efficace.
Adopté il y a deux ans par les états membres des Nations Unies, le traité mondial de protection de la haute mer nécessitait la ratification de soixante pays pour enfin entrer en vigueur. C’est désormais chose faite avec la récente signature du Maroc. Que dit ce texte et quelles mesures seront possibles après son application en janvier 2026 ?
Un collectif de onze économistes, parmi lesquels Philippe Aghion et Joseph Stiglitz, appelle, dans une tribune au « Monde », les gouvernements internationaux à reconnaître et à défendre la valeur des médias d’intérêt général à travers une série de mesures.
Il faut absolument se passer des délétères énergies fossiles car les coûts directs et indirects (dérèglement climatique, pollution, biodiversité, destruction de l'environnement,...) de leurs usages ne sont absolument pas soutenables. Mais s'en passer à des implications socio-économiques importantes qu'il y a lieu de comprendre et d'anticiper afin qu'une transition hors des énergies fossiles puisse se dérouler sans heurts.
Selon une étude, la rationalité des discours politiques aux États-Unis chute depuis les années 1970. Un déclin corrélé avec la polarisation du débat et les inégalités économiques, qui se ressent jusqu’en France.
Les tensions avec la Russie ont poussé la Pologne a fermé le principal point d'entrée ferroviaire en Europe pour les marchandises chinoises.
[Les idées reçues sur l’énergie] Beaucoup pensent qu’il faudrait arrêter de subventionner l’éolien et le photovoltaïque, qui coûteraient un pognon de dingue, alors que la France peut s’appuyer sur son nucléaire. Vraiment ?
Lorsque survient une crise économique majeure, les regards se tournent naturellement vers les facteurs financiers : déséquilibres budgétaires, surendettement, spéculation, erreurs de gouvernance, etc. Sans occulter leurs impacts respectifs, une autre variable, à nos yeux essentielle, reste trop souvent absente des analyses : la disponibilité énergétique. Toute économie repose en effet sur un socle physique invisible mais décisif : sa capacité à mobiliser de l’énergie abondante, bon marché et stable pour produire, transformer, transporter et consommer. Lorsque ce socle vacille, les structures économiques sont mises à rude épreuve. […] Le choc énergétique est le moteur physique du déraillement économique, le déclencheur de la crise dans une situation en déséquilibre.
Une question se pose aux écologistes : comment stopper le « backlash » contre l’écologie, cette offensive réactionnaire contre les politiques soutenues et développées depuis près de vingt ans ? Car un constat terrible s’impose : les politiques écologiques se heurtent à la défiance, voire à l’hostilité, des classes populaires, notamment hors des grandes agglomérations.
En se basant sur les dernières données d’une ONG, un média a élaboré une infographie très parlante à propos des coûts réels qu’engendrent les différents aléas climatiques de grande ampleur. Alors que ces aléas sont favorisés par l’actuel dérèglement climatique, les coûts dont il est ici question concerne l’aspect économique, les décès mais également, les impacts sur le quotidien des survivants.
[Enquête Clubic] Avec l'intelligence artificielle, certaines entités obscures mettent sur pied des médias en ligne qui font tout pour paraître crédibles. Mais en réalité, tout est faux, et la supercherie va loin.
L’Institut des actuaires organise et représente la profession en France. Il est le garant de l’exercice d’un actuariat de qualité, respectueux des normes et de la déontologie au service des équilibres de long terme. Membre de l’Association Actuarielle Internationale (AAI) et de l'Association Actuarielle Européenne (AAE), il s’emploie à améliorer la reconnaissance et la réputation de la profession d’actuaire en France et dans le monde. Chargé d’organiser et de représenter la profession actuarielle en France, l’Institut des actuaires est le garant du respect des normes et de la déontologie professionnelle de ses membres. L’exigence et la responsabilité de l’Institut s’accroissent avec la multiplication des risques et l’évolution des textes prudentiels, qui placent l’actuaire au cœur des enjeux économiques de nos sociétés.
Je n’aime pas Donald Trump, et encore moins ses idées, qui visent à imposer un régime autocratique, militarisé et probablement héréditaire (qui peut croire une minute que J.D. Vance lui succéder  ?), où la force martiale, couplée à un technoféodalisme supporté par les césars de la technologie, conduit à l’abandon d’une certaine idée de la démocratie et à la destruction des pouvoirs et contre-pouvoirs dont les États-Unis sont l’exemple, à l’instar de nombreux pays d’obédience originellement protestante.




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