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Face à la montée inquiétante des bactéries résistantes aux antibiotiques, des scientifiques de l’Université de Liverpool ont mis au point Novltex, un antibiotique synthétique révolutionnaire capable de neutraliser certaines des infections les plus difficiles à traiter. Cette avancée pourrait représenter un tournant majeur dans la lutte contre la résistance aux antimicrobiens, une crise mondiale qui cause des millions de décès chaque année.
Une équipe californienne a utilisé l’intelligence artificielle pour concevoir des génomes viraux avant qu’ils ne soient construits et testés en laboratoire. Ensuite, des bactéries ont été infectées avec succès par plusieurs de ces virus créés par l’IA, prouvant ainsi que les modèles génératifs peuvent créer des gènes fonctionnels. « La première conception générative de génomes complets. »
Dans le cadre de différents scénarios de réchauffement global, les bactéries du genre Prochlorococcus pourraient fortement diminuer dans la zone euphotique des océans. Suivant l’intensité du phénomène, il pourrait s’agit d’une véritable catastrophe, dans la mesure où ces bactéries produisent environ un cinquième de l’oxygène disponible sur notre planète.
Les populations de Prochlorococcus, un phytoplancton microscopique qui produit 10 % de l’oxygène de la planète et nourrit nombre d’espèces marines, pourraient chuter de moitié dans les océans tropicaux d’ici à 2 100 et de plus d’un tiers à l’échelle mondiale, selon une étude.
C’est l’organisme marin qui participe le plus à la photosynthèse, qui permet de libérer de l’oxygène dans l’atmosphère, mais sa population pourrait baisser avec le réchauffement des océans. Le 8 septembre, une étude publiée dans la revue Nature Microbiology indique que la hausse de la température des eaux marines mènerait à une réduction du nombre de cyanobactéries appelées prochlorococcus. Présents dans plus de 75 % des eaux de surface du globe, ces organismes réalisent 5 % de la (…)
Bien qu'il faille rester vigilant, en particulier pour les personnes plus fragiles, il s'agit somme toute d'une gastroentérite aiguë, soit une infection courante, surtout en été.
À l’avenir, si des cellules synthétiques (dites « cellules miroirs »), correspondant à la version chimiquement inversée de cellules naturelles, se développaient sur Terre, quelles pourraient être les conséquences pour la santé humaine et l’environnement ? On fait le point sur les risques et les enjeux liés à cette vie miroir.
Dans un contexte actuel de résistance des bactéries aux antibiotiques, la recherche d’alternatives bat son plein. En France, des scientifiques ont focalisé leur attention sur la phagothérapie, c’est à dire le recours à des virus bactériophages. Le fait est que cette méthode est loin d’être une nouveauté, puisque datant de la première moitié du XIXe siècle.
En Savoie, dans le Calvados ou dans les Pyrénées-Orientales : les interdictions de se baigner en eau douce se multiplient depuis quelques semaines. En cause, les cyanobactéries, favorisées par les fortes chaleurs et rejets agricoles, qui peuvent être toxiques pour l’humain et les chiens.
Pullulations des ravageurs, champignons et bactéries menacent les vergers des Alpes du Sud. Près d'un fruit sur deux est impacté, certains sont invendables sur les étals et partent dans l'industrie agro-alimentaire, avec un moindre rendement pour les arboriculteurs.
Nocives pour la santé et l’environnement, capables de charrier bactéries et produits toxiques, ces particules souvent invisibles à l’œil nu sont omniprésentes dans la Garonne, la Tamise ou le Tibre, dévoile ce lundi une étude inédite.
Des chercheurs travaillent sur le développement de "bactéries miroir", qui pourraient aider à traiter des maladies qui restent incurables jusqu'à présent. Celles-ci représentent toutefois un risque non-négligeable pour l'humanité.
Certains chercheurs explorent actuellement la possibilité de construire la vie en utilisant une structuration inverse à celle observée dans la nature – un phénomène appelé "vie miroir". Ces recherches ont pour but de développer des protéines miroirs et d'en tirer un potentiel thérapeutique. Un groupe de scientifiques alerte sur les risques potentiellement "dévastateurs" pour l'homme, les animaux et les écosystèmes si ces bactéries étaient créées et relâchées dans la nature. Éclairage.
Ces organismes hypothétiques pourraient-ils ravager le monde si les biologistes parvenaient à les créer ? Faut-il interdire absolument toute recherche en ce sens ? Un collectif de trente-huit scientifiques a appelé à un débat mondial dans le journal « Science ». Revue de détail d’un scénario apocalyptique.
info rapide. En cette fin du premier quart de ce 21ième siècle, une annonce pas banale attire l’attention. Elle émane d’une quarantaine de scientifiques de pointe dans leur domaine. Et porte sur le risque de voir l’humanité capable – d’ici une dizaine d’années – de créer des bactéries dites « miroirs ».
Une équipe de 38 scientifiques appelle à interrompre les recherches sur les bactéries miroir en raison des risques potentiels liés à ces organismes synthétiques.
Près de 40 scientifiques de renom ont cosigné un article, jeudi, dans la revue Science pour mettre en garde contre la création d’une “bactérie miroir”. Ils estiment que les “nouvelles formes de vie miroir” qui n’existent pas encore mais pourraient arriver d’ici une décennie, posent un risque important pour l’humanité. De quoi s’agit-il ?
Alors que l’humanité s’adapte à des défis majeurs tels que les pandémies, les crises climatiques et les progrès rapides de l’intelligence artificielle, une nouvelle menace pourrait surgir d’un domaine encore peu exploré : celui des « formes de vie miroir ». Un collectif de 40 scientifiques de renommée internationale alerte sur les risques posés par ces créations biologiques synthétiques.
All known life is homochiral. DNA and RNA are made from “right-handed” nucleotides, and proteins are made from “left-handed” amino acids. Driven by curiosity and plausible applications, some researchers had begun work toward creating lifeforms composed entirely of mirror-image biological molecules. Such mirror organisms would constitute a radical departure from known life, and their creation warrants careful consideration. The capability to create mirror life is likely at least a decade away and would require large investments and major technical advances; we thus have an opportunity to consider and preempt risks before they are realized. Here, we draw on an in-depth analysis of current technical barriers, how they might be eroded by technological progress, and what we deem to be unprecedented and largely overlooked risks (1). We call for broader discussion among the global research community, policy-makers, research funders, industry, civil society, and the public to chart an appropriate path forward.
This report describes the technical feasibility of creating mirror bacteria and the potentially serious and wide-ranging risks that they could pose to humans, other animals, plants, and the environment. It accompanies the Science Policy Forum article titled “Confronting risks of mirror life”, published December 12, 2024.
Experts warn that mirror bacteria, constructed from mirror images of molecules found in nature, could put humans, animals and plants at risk of lethal infections
Plus de 39 millions de personnes dans le monde pourraient mourir directement d'infections résistantes aux antibiotiques ces 25 prochaines années, selon une étude de modélisation publiée mardi dans The Lancet, qui juge encore possible d'éviter ce scénario noir.
Sur les 25 prochaines années, la résistance croissante des bactéries aux antibiotiques pourrait provoquer directement la mort de 39 millions de personnes et être liée à 169 millions de décès, selon une étude.
L’analyse du microbiote intestinal de trente espèces d’oiseaux a révélé que leur risque d’être porteurs de bactéries « Campylobacter » résistantes aux antibiotiques était accru dans les zones à plus forte densité humaine.
Des chercheurs de l'Université de Californie Riverside sont à l'origine de la découverte unique de bactéries capables de décomposer certains PFAS, comme le rapporte Het Laatste Nieuws.
La concentration de bactérie E. coli dans la Tamise, en Angleterre, a atteint un niveau "alarmant" à cause de rejets d'eaux usées, dénonce vendredi le groupe River Action, à quelques jours d'une célèbre compétition d'aviron qui doit avoir lieu sur ce fleuve. La pollution des rivières au Royaume-Uni s'est imposée comme l'un des sujets-phare de la campagne pour les élections législatives du 4 juillet. Selon le groupe River Action, qui demande "une action urgente" au prochain gouvernement britannique, la régate royale d'Henley ne va pas être épargnée. Cette course d'aviron est un rendez-vous prisé de l'aristocratie anglaise qui se déroule chaque année début juillet, sur la Tamise, à l'ouest de Londres.
Hépar, Perrier, Vittel, Contrex : la «qualité sanitaire» des eaux du groupe Nestlé n’est «pas garantie», selon un nouveau document confidentiel de l’Anses dévoilé par FranceInfo et «le Monde» ce jeudi 4 avril.
Une enquête de l'asbl flamande Waterland, citée dans De Standaard, s'inquiète.
Des chercheurs ont découvert un nouveau genre de bactérie dont le métabolisme énergétique est uniquement basé sur l’oxydation du phosphite en phosphate.
Le Zosurabalpin, un nouvel antibiotique, cible efficacement les bactéries Gram-négatives résistantes, une avancée prometteuse dans la lutte contre les superbactéries.
Après la survenue de l'ouragan Ian en Floride en septembre 2022, des bactéries dangereuses pour les humains ont fait leur apparition.
Nous vivons avec des quantités astronomiques de bactéries. Elles seraient même responsables de certains de nos comportements et représentent un espoir majeur pour la recherche.
Les élevages sont sous haute surveillance pour freiner le développement de bactéries résistantes aux antibiotiques. Mais les organisations internationales se heurtent à l’explosion du modèle d’élevage industriel.
Le fléau gagne du terrain d’année en année. Ces organismes qui libèrent des toxines dangereuses pour l‘homme et les animaux, quasi inexistants il y a trente ans, apparaissent de plus en plus tôt. Et privent les Franciliens de baignade en plein air.
Des bactéries résistantes aux antibiotiques ont été découvertes jusque dans les nuages, voyageant au fil du vent, parfois sur de très longues distances, révèle une étude franco-canadienne.
La « bactérie mangeuse de chair », ou Vibrio vulnificus pour les scientifiques, est présente dans les eaux salées du sud-est des États-Unis. Mais avec le réchauffement climatique, elle pourrait...
Selon des chercheurs, l'aggravation du réchauffement climatique entraînera une augmentation du nombre d'infections potentiellement mortelles dues à des bactéries présentes le long de certaines côtes littorales.
Le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) a publié un rapport qui appelle à la réduction nécessaire de la pollution générée par les secteurs pharmaceutiques, agricoles et sanitaires afin de limiter l’émergence, la transmission et la propagation des superbactéries (les souches de bactéries devenues résistantes à tous les antibiotiques connus) et la résistance aux antimicrobiens (RAM), qui compromet la prévention et le traitement efficaces d’un nombre croissant de bactéries, virus et parasites.
Des relevés de terrain ont montré que la fonte des glaciers de l’hémisphère Nord libérait chaque année plusieurs centaines de milliers de tonnes de bactéries dans l’environnement périglaciaire, celles-ci étant jusqu’alors immobilisées dans les couches de neige. Les résultats ont été publiés dans la revue Communications Earth & Environment ce 10 novembre.
Même mises dans les meilleures conditions, des bactéries à l'évolution pourtant rapide n'ont pas réussi à augmenter leur température maximale tolérable de plus de 1°C, concluent de nouveaux travaux. Une nouvelle de mauvais augure, alors que les températures menacent d'augmenter encore jusqu'à presque 5°C au 21e siècle.
Aujourd’hui, le méthane est le deuxième gaz à effet de serre anthropique le plus abondant dans l’atmosphère, représentant environ 20 % des émissions mondiales. Dans les centrales actuelles au gaz, le méthane produit par les bactéries est converti en énergie électrique via la combustion. Mais la quantité maximale de méthane convertie y plafonne à moins de 50 %. Des chercheurs de l’Université de Radboud de Nimègue (Pays-Bas) veulent utiliser des bactéries AMNE pour cette conversion.
Un groupe de scientifiques suédois a découvert l'existence de dizaines de milliers d'enzymes destructrices de plastique.
Une étude menée en Suède affirme que la pollution plastique a un effet mesurable sur les bactéries. Selon les chercheurs, l’omniprésence de ce type de déchets a permis aux bactéries d’évoluer et de créer des enzymes capables de désintégrer le plastique.
Une équipe allemande vient de dénicher une enzyme naturellement fabriquée par des bactéries et qui permettrait de produire du verre acrylique (alias Plexiglas) à partir de sucres ou d'alcools, donc de biomasse, sans recours à la pétrochimie.
L'Arctique se réchauffe deux fois plus vite que le reste de la planète. La banquise et le pergélisol fondent vite, très vite. Cela aiguise les appétits des pays limitrophes qui explorent ces sous-sols jusqu’ici inaccessibles. Il y aurait de gigantesques réserves de pétrole, de gaz, de minerais... pas étonnant que le secteur financier s’y intéresse. Mais que dirons-nous à nos enfants pour justifier tout cela ?
Pour que les océans continuent à capter le carbone, nous avons besoin de tout cet écosystème , des algues, ainsi que des champignons marins. Les interactions sont innombrables. Des bactéries spécifiques protègent les poissons d’infections par des champignons, et certains de ceux-ci produisent des substances antibiotiques. Il est essentiel de sauver la vie des océans, d’éviter la pollution des eaux, et de limiter le réchauffement et l’acidification, ainsi que l’utilisation de fongicides dans l’aquaculture.
Des chercheurs ont étudié la stabilité du permafrost dans le passé. 400.000 ans que son dégel est limité. Et ce n'est pas une bonne nouvelle. Car le carbone prisonnier de ce sol gelé en permanence est considéré comme un amplificateur potentiellement puissant du réchauffement climatique. Un carbone qui pourrait être libéré brutalement lorsque le permafrost connaîtra un dégel.
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Une étude parue dans la revue Geophysical Research Letters appelle à une meilleure prise en compte de l’activité biologique au niveau des rivières d’eau de fonte au Groenland. En effet, des mesures de terrain suggèrent qu’une plus grande activité bactérienne s’associe à une fonte accrue en saison chaude.
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La biodiversité connaît aujourd’hui l’une de ses plus importantes altérations : les taux actuels d’extinction des espèces animales sont de 100 à 1 000 fois supérieurs à ceux enregistrés à partir des données fossiles. Si cette altération majeure est généralement étudiée sous l’angle de ses impacts écologiques, elle intéresse également le domaine de la santé, en particulier les maladies infectieuses causées par des agents pathogènes (en particulier les virus et les bactéries).
Protéger les sols, une urgence pour 2010 et au-delà En 2010, déclarée Année internationale de la biodiversité par les Nations unies, la biodiversité des sols constitue un pan entier de la biodiversité mondiale trop souvent négligé. La santé des sols dépend de l’étendue des formes de vie qu’ils abritent: des bactéries aux champignons, en passant par des insectes minuscules, les lombrics (ou vers de terre) ou les taupes. Ensemble, ils procurent des avantages incommensurables pour la vie sur Terre. Cette biodiversité joue un rôle essentiel sur l’atténuation du changement climatique, le stockage et la purification de l’eau, la fourniture d’antibiotiques et la prévention de l’érosion. Le bien-être de toutes les plantes et animaux terrestres dépend de la complexité des processus qui se déroulent dans les sols.
