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Aujourd’hui, nous allons parler des infrastructures dont nous avons hérité, comme les autoroutes, les stations de ski ou les usines à engrais. Des infrastructures toujours plus nombreuses et toujours plus polluantes, pour remplir des besoins toujours plus superflus, rendant nos territoires toujours plus inhabitables. Face à la crise socio-écologique, certaines infrastructures devront disparaître. Mais lesquelles choisir ? Et comment bien les démanteler ? En somme, comment apprendre à renoncer ? Pour parler de ces sujets, j’ai le plaisir d'accueillir Alexandre Monnin. Alexandre est philosophe, directeur du master "Stratégie et Design pour l’Anthropocène", et directeur scientifique d’Origens Medialab. Ses recherches portent sur la redirection écologique, le démantèlement d'infrastructures, et le renoncement.
Dans une tribune au « Monde », la géographe Magali Reghezza-Zitt alerte quant aux risques majeurs que l’inaction climatique engendre : chaque dixième de degré supplémentaire augmente de façon exponentielle les extrêmes hydroclimatiques.
L’incendie qui a touché dernièrement le Nord-Est d’Athènes est aujourd’hui sous contrôle. Mais il provoque une véritable inquiétude au sein de la capitale grecque. Chaque année, le pays est la proie d’incendies de plus en plus nombreux mais également de plus en plus proches des villes. Le gouvernement grec est-il suffisamment réactif ? Va-t-il devoir revoir son modèle économique ? Les Athéniens seront-ils en sécurité à l’avenir ? Eclairage dans Déclic avec Fabien Perrier, correspondant RTBF en Grèce.
Alors que depuis les temps modernes, l’horizon était clair, évident, la crise écologique bouscule notre capacité à imaginer l’avenir. Le futur, prédisant une Terre inhabitable, nous saute au visage. Le futur est-il en train de disparaître ?
À cause du réchauffement climatique, certaines régions seront devenues totalement hostiles pour l'être humain d'ici 2050. Découvrez la liste établie par la NASA.
Suite au réchauffement climatique, de nombreuses zones de notre planète pourraient devenir inhabitables d’ici 30 à 50 ans.
On parle beaucoup de lutte contre les changements du climat, moins d’adaptation. Pourtant, chaque année qui passe nous éloigne du scénario d’un monde à +1.5° prévu dans les accords de Paris.
Depuis le début de l'intervention terrestre israélienne, de nombreuses infrastructures vitales ont été détruites, entrainant une dégradation des conditions de vie dans la bande de Gaza et de graves dommages environnementaux.
À cause du changement climatique, des zones inondables deviendront inhabitables. Les leviers dont dispose l’État pour déplacer des habitants lui demanderont de jongler avec responsabilité entre pédagogie et budget.
Guerre Israël-Hamas : de nouvelles frappes sur la bande de Gaza, devenue « inhabitable » selon l’ONU
- Le Monde,AfpTrente-cinq personnes sont mortes, vendredi, à Deir Al-Balah, alors que les bombardements se poursuivent à Rafah et dans le nord de Gaza.
La chaleur, conjuguée à l’humidité, peut être mortelle pour les humains. Avec le réchauffement climatique, des régions de la planète risquent ainsi de devenir invivables.
Les coprésidents du groupe de travail 2 du GIEC, l’Allemand Hans-Otto Pörtner et la Sud-Africaine Debra Roberts, préviennent que nous ne sommes pas préparés aux impacts extrêmes et aux « surprises » que nous réserve le dérèglement climatique.
Les coprésidents du groupe de travail 2 du GIEC, l’Allemand Hans-Otto Pörtner et la Sud-Africaine Debra Roberts, préviennent que nous ne sommes pas préparés aux impacts extrêmes et aux « surprises » que nous réserve le dérèglement climatique.
Selon l'équipe menée par Johan Rockström (l’un des pères fondateurs du concept de « limites planétaires »), sur les huit paramètres finalement retenus, 7 ont déjà été franchis, et seul le domaine des aérosols émis dans l’atmosphère n’a pas atteint un seuil critique. « On va vers le pire. Qu’il s’agisse du climat, de l’eau, des cycles biochimiques et géochimiques de l’azote et du phosphore, associés aux engrais, de la biodiversité…», alerte Natacha Gondran, professeure en évaluation environnementale à l’école des Mines de Saint-Etienne.
Plus de 40 experts alertent dans «Nature» sur le franchissement de sept des huit lignes rouges planétaires. Ces seuils concernent principalement le climat, la biodiversité, l’eau douce, ainsi que les cycles de l’azote et du phosphore.
À l’occasion de la Journée internationale des forêts, le 21 mars, un collectif international de 850 chercheurs, étudiants, ingénieurs et techniciens en appellent à l’urgente sauvegarde des forêts tropicales, pour les populations rurales et le monde en général. 850 chercheurs·es, professeurs·es, ingénieurs·es, techniciens·nes et étudiants·es dans le secteur forestier. La liste complète des signataires de cette tribune est ici. En cette journée internationale des forêts, tandis que les forêts tropicales (...)
Nous vivons une période charnière de l’histoire humaine alors que pour la première fois nous sommes confronté·e·s collectivement et simultanément aux crises écologiques, sociales, économiques, technologiques et politiques. Et tout cela à l’échelle de la planète entière. Nous utilisons volontiers le concept de crise globale. Il s’agit cependant d’un processus complexe de transformation, d’un nouvel état du monde, que l’on ne peut qualifier de « crise » laissant entendre qu’un retour à la « normale » est possible. Dès lors comment se comporter ? Quels choix opérer dans un contexte si bouleversé ? La technologie et les énergies renouvelables suffiront-elles à nous sauver ? De quelles connaissances et compétences avons-nous besoin pour atténuer et s’adapter au mieux à ce processus ?
Virginie Duvat-Magnan, professeure de géographie à Rochelle Université et chercheuse au LIENSs, a mené une étude de terrain sur les Antilles et participé à la rédaction du dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Elle dirige actuellement une étude de terrain avec une équipe aux Antilles, et ses résultats ont dévoilé un constat alarmant à propos de ces îles : Des zones pourraient devenir inhabitables d’ici 2040, en raison de la montée des eaux.
Jean-Pascal van Ypersele, professeur à l'UCLouvain et ancien vice-président du Giec, insiste sur l'importance pour les entreprises de lutter contre le dérèglement climatique. Innovation et sobriété vont de pair. Le combat n'est pas perdu mais il est déjà très tard.
Mapping where the earth will become uninhabitable Lethal heat, flooded coastlines, powerful hurricanes, water scarcity: climate models show that by the end of the century, life as normal won’t be possible in many places. Find out where populations are projected to be hit hardest with our 3D interactive visualisation.
Le fait que les techniques de géo-ingénierie soient mises à l’agenda des réflexions de la nouvelle Commission mondiale sur la gouvernance des risques liés au dépassement climatique devrait susciter une profonde inquiétude, alerte notre journaliste Stéphane Foucart.
Pour Fabio D’Andrea, chercheur au CNRS, les deux pays sont de plus en plus confrontés à des canicules pendant lesquelles les températures atteignent des niveaux qui, il y a quinze ans, étaient très rares sur Terre.
A new survey from YouGov asked Americans for their thoughts on climate change, including what they believe its potential impacts could be and whether they believe they and their country are doing enough to tackle climate change. The findings suggest that most Americans anticipate dire consequences to climate change, but many believe there are still ways to avoid the worst of it.
Iran, Égypte, Yémen, Arabie Saoudite... d'ici 2050 ces zones pourraient devenir invivables pour les êtres humains selon des chercheurs de la NASA. Ils ont pris en compte à la fois l'indice de température de l'air mais aussi l'indice de température du "thermomètre mouillé". Ce dernier est particulièrement important car largement sous-estimé. S'il est trop élevé, l'humidité empêche la transpiration nécessaire pour se refroidir. À plus de 35°C, cela pourrait être fatal.
Le Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) estime qu'avec une augmentation de la température globale du globe de 1,5 °C d'ici la fin du siècle par rapport au niveau préindustriel, la fréquence des épisodes de chaleur extrême sera multipliée par quatre ! Aux États-Unis, la chaleur est déjà le phénomène météo qui tue le plus depuis une trentaine d'années : de 1991 à 2020, la chaleur a causé la mort directe de 143 personnes par an en moyenne, suivie par les inondations, puis les tornades, les ouragans, la foudre, et enfin le froid et la neige. Dans ce pays, les épisodes de chaleur extrême ont d'ailleurs plus que doublé au cours des 40 dernières années.
Au XXIe siècle, est-ce vraiment possible de vivre dans un pays développé en émettant moins de 2 tonnes de CO2e par an ? Petit rappel : cette étape est indispensable pour pouvoir atteindre la neutralité carbone, respecter les engagements de notre pays et conserver une planète habitable. Pour être franc : oui et non.
Si les décisions actuelles ne sont pas assez fortes pour couper les émissions, des régions entières de la planète risquent de devenir inhabitables pour l’être humain et les autres espèces. Une nouvelle étude se projette jusqu’en l’an 2500 avec des illustrations.
Cela fait désormais plus de 30 ans que 2100 représente pour les politiques, une sorte d'horizon lointain lorsqu'il s'agit de se projeter sur une Terre qui se réchauffe. Mais l'échéance se rapproche désormais dangereusement. Les enfants nés en 2021 n'auront même pas 80 ans à la fin de ce siècle.
Les activités humaines sont en train de changer le climat de notre planète et les écosystèmes de manière dangereuse et perturbatrice pour l’Homme. Les concentrations de gaz à effet de serre ne cessent d’augmenter dans l’atmosphère ce qui aura des conséquences pour plusieurs siècles et bien au-delà de 2100.
Les jeunes vivant en République centrafricaine, au Tchad et au Nigeria sont les plus exposés aux effets des changements climatiques : une situation qui menace leur santé, leur éducation et leur sécurité, et leur fait courir le risque de contracter des maladies mortelles, selon un rapport de l’UNICEF publié aujourd’hui.
Last month, the United Nations Intergovernmental Panel on Climate Change issued its latest report, sounding a “code red for humanity.” The IPCC stressed the need for drastic emissions cuts immediately if we want to maintain a habitable planet and warned that we are running out of time to act to avoid climate catastrophe.
Le rapport du GIEC, qui fait beaucoup parlé de lui, expose deux régions du monde qui sont devenues trop chaudes pour être habitables.
- La Libre
Mais ces inondations fréquentes ne sont que le signe avant-coureur d'un problème bien plus important. La ville de plus de 24 millions d'habitants pourrait bien devenir inhabitable d'ici la fin du siècle en raison de l'élévation du niveau de la mer, provoqué par le changement climatique.
Dans son rapport soumis à 195 pays, le GIEC - Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat - explique que désormais, deux régions du globe sont trop chaudes et donc inhabitables.
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Les scientifiques mentionnent neuf limites planétaires au-delà desquelles nous ne pouvons pas pousser les systèmes terrestres sans mettre nos sociétés en danger : le changement climatique, la perte de biodiversité, l’acidification des océans, l’appauvrissement de la couche d’ozone, la pollution atmosphérique par les aérosols, l’utilisation d’eau douce, les flux biogéochimiques d’azote et de phosphore, le changement d’utilisation des sols, et le rejet de nouveaux produits chimiques. L’humanité vit déjà en dehors de l’espace de fonctionnement sûr pour au moins quatre des neuf limites
Une vie sous plus de 35 degrés au thermomètre, avec 90% d'humidité dans l'air : une vie où chaque geste compte, et où travailler comme faire du sport n'est plus possible. Deux régions du globe ont déjà atteint ce seuil, invivable pour les humains : Jakobabad au Pakistan, et Ras Al Khaimah, dans le golfe Persique.
Si le réchauffement global venait à dépasser les 1,5 °C, une fraction notable de la zone intertropicale serait sujette à des chaleurs excédant le seuil d’adaptabilité humaine. C’est en tout cas ce qu’indique une nouvelle étude. Des résultats signifiants qui rappellent qu’un dixième de degré au global peut faire une grande différence au niveau des territoires. Les résultats ont été publiés dans la revue Nature Geoscience ce 8 mars.
Fonte des glaces, augmentation des températures, disparition des forêts : l’Homme bouleverse le climat de la planète. D’où cette question : l’habitabilité de la terre est-elle menacée ? Pour y répondre, nous recevons Hervé le Treut, climatologue, professeur à Polytechnique, ancien membre du GIEC et ex-directeur de l’institut Pierre Simon Laplace, une organisation qui regroupe des centaines de chercheurs et d’ingénieurs travaillant sur l’évolution du climat.
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Mauvaises Mines. Combattre l'industrie minière en France et dans le monde est sorti en librairie le 12 avril 2018. Ses huit courts chapitres dévoilent les menaces du « renouveau minier » français,…
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Dans La Terre inhabitable, paru début novembre, David Wallace-Wells brosse le tableau des effets terrifiants du changement climatique. Pénuries alimentaires, sécheresses, inondations… Un monde avec 4°C de plus est beaucoup plus effroyable que ce qu’on ne croit. 20 Minutes a rencontré David Wallace-Wells qui met en garde. Le niveau de souffrance augmente à mesure que la température monte.
Nous avons longtemps considéré l’État et le marché comme deux réalités hétérogènes, l’une relevant de la sphère politique, souveraine, l’autre de la sphère économique, indépendante. Le néolibéralisme nous oblige pourtant à reconnaître l’apparition d’une souveraineté inédite puisque le marché globalisé a permis l’émergence de décideurs surpuissants, qui façonnent nos existences. Ce pouvoir nouveau échappe à tout contrôle démocratique et s’affirme au moment où nous devons affronter des menaces majeures : celles du réchauffement climatique, du déclin du vivant et de l’épuisement des ressources terrestres ; et celle du tout numérique, qui pourrait ruiner cette autre souveraineté proprement humaine que nous exerçons sur nous-mêmes en détruisant nos capabilités.
Le changement climatique provoque des phénomènes extrêmes qui, selon certains scientifiques, pourraient rendre la vie impossible dans de nombreuses grandes villes du monde.
Certaines régions du globe vont devenir de telles fournaises qu’elles seront invivables et inhabitables d’ici à 2070. C’est l’une des plus redoutables conséquences du réchauffement climatique, préviennent les scientifiques du prestigieux Institut de technologie du Massachusetts (MIT) aux États-Unis.
Selon une étude de la prestigieuse grande école américaine MIT,la plaine du nord de la Chine pourrait bientôt devenir si chaude et si humide qu'un homme en pleine santé succomberait en seulement six heures.
Le réchauffement climatique n'est pas une légende. Année après année, il s'aggrave. Et les conséquences seront très bientôt irréversibles. D'après une étude du MIT, de nombreux pays ne seront plus habitables en 2070.
fonte des glaces, famine, océans trop acides, guerre, air irrespirable, économie menacée, émergence de maladies, chaleur étouffante.. Les 8 scénarios catastrophe échafaudés par les scientifiques ont de quoi faire peur. Car, si rien n'est fait, certaines parties de notre planète ne seront plus habitables dès la fin de ce siècle
Les dystopies climatiques inondent la culture populaire, provoquant chez certains d'entre nous une forme d'angoisse du lendemain, ou de l'été qui vient. David Wallace-Wells nous apprend aujourd'hui dans le New York Magazine que ces craintes sont en deçà de la réalité...
C'est pire que ce que vous pensez... Un article paru lundi dans le New York magazine recense les risques qu'encourt l'humanité dès la fin de ce siècle. En l'absence d'un ajustement significatif de la façon dont des milliards d'humains mènent leur vie, certaines parties de la Terre seront proches inhospitalières, voire proche de l'inhabité.