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Selon Keith Kellogg, il faudra répartir présences russe et européenne dans le pays après le conflit. Ou alors envisager une «zone démilitarisée» sur le modèle de ce qui perdure entre les deux Corées depuis les années 50.
L’envoyé américain pour l’Ukraine, l’ex-général Keith Kellogg, a suggéré une partition de l’Ukraine sur le modèle “de Berlin après la Seconde Guerre mondiale” pour mettre fin au conflit avec la Russie, révèle “The Times”. En déplacement en Russie, Steve Witkoff, l’émissaire de Donald Trump aurait de son côté proposé de donner “la propriété” de quatre régions ukrainiennes à Moscou.
Le gouvernement de Donald Trump, ouvertement climatosceptique, veut éliminer la branche de recherche de l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique, la NOAA, une entité jouant un rôle incontournable dans les sciences mondiales du climat, a dénoncé vendredi une élue démocrate.
Les Etats membres de l’Organisation mondiale de la santé annoncent ce samedi 12 avril s’être accordés sur un texte visant à anticiper et à réagir collectivement face aux futures pandémies. Il devra être adopté définitivement en mai à Genève.
L'Ukraine post-conflit pourrait ressembler au "Berlin d'après la Deuxième Guerre mondiale", avec une présence à la fois de forces européennes et russes, séparées par le fleuve Dniepr, a décrit l'émissaire des Etats-Unis Keith Kellogg au quotidien britannique Times samedi.
Un accord de trois ans renouvelable a été signé entre le Panama et les États-Unis, stipulant que les installations seront la propriété de l’Etat panaméen et seront destinées à une « utilisation conjointe » par les forces des deux pays. Le canal « est et restera panaméen », a précisé le président, Jose Raul Mulino.
A la tête d’une commission pour «l’efficacité gouvernementale», le patron de Tesla avait à l’origine annoncé qu’il réduirait les dépenses fédérales de 2 000 milliards de dollars. Il s’est finalement satisfait de 150 milliards, jeudi 10 avril.
Depuis son investiture le 20 janvier dernier, Donald Trump ébranle la démocratie américaine en gouvernant à coups de décrets présidentiels. Coupes drastiques dans les budgets, retrait d’accords internationaux, licenciements massifs d’employés fédéraux… Il va si vite que les tribunaux sont saturés par les procès en contestation, dont les décisions pourraient prendre des années à être rendues. L’objectif affiché de l'administration Trump est de tailler dans les dépenses publiques, mais il existe aussi une volonté sous-jacente de remodeler les institutions selon une idéologie de droite identitaire et religieuse. Reportage de notre correspondante aux Etats-Unis, Fanny Allard.
Les économistes américains Scott Baker, Nick Bloom et Steven Davis ont mis en place un indicateur d’incertitude de politique économique, basé notamment sur la lecture de milliers d’articles de journaux. Plus il est élevé, plus la situation est chaotique. Il existe un indice mondial et un indice pour les États-Unis.
Dans une tribune au « Monde », un collectif de chercheurs et d’anciens ambassadeurs appelle, en Europe, à dénoncer sans ambiguïté l’idéologie suprémaciste qui anime désormais le gouvernement de l’Etat hébreu : il vient de créer une « Autorité d’émigration », visant à « relocaliser » plusieurs millions de Palestiniens de Gaza puis, probablement, de Cisjordanie.
Mercredi, Donald Trump a signé un décret pour lever les restrictions sur le débit des pommeaux de douche. Sans ça, impossible de laver ses «beaux cheveux».
Rien ne laissait présager le revirement du président américain au sujet des surtaxes douanières avec les partenaires commerciaux des États-Unis.
Victoire pour le président des États-Unis, qui se bat depuis des années contre les restrictions d’eau sur le sol américain, qui l’empêchent de prendre une «bonne douche pour prendre soin de ses beaux cheveux». Rendre leur grandeur aux douches américaines, c’était une des priorités de Donald Trump mercredi, au milieu de la tempête diplomatique et financière entraînée par la guerre commerciale qu’il livre au reste du monde. Le président américain a signé un décret levant les restrictions de débit des pommeaux de douche, qui avaient été imposées pour limiter la consommation.
Donald Trump a-t-il commis un délit d’initié ? Plusieurs élus démocrates ont émis des soupçons, estimant que le président américain avait peut-être, en encourageant à acheter des actions juste avant son revirement spectaculaire sur les droits de douane, illégalement manipulé les marchés. "Les proches de Donald Trump profitent-ils illégalement de ces énormes fluctuations du marché boursier par le biais de délits d’initiés ?", a interrogé le sénateur démocrate de Californie Adam Schiff sur son compte X mercredi. "Le Congrès doit savoir", a-t-il ajouté, appelant à une enquête parlementaire.
L’opposition démocrate accuse le président américain de délit d’initié en prévenant en amont ses alliés pour qu’ils puissent anticiper la réaction des Bourses du monde entier, qui fluctuent au gré de ses déclarations intempestives.Donald Trump a-t-il profité du chaos en Bourse pour enrichir ses proches et ses alliés ? Plusieurs élus démocrates soupçonnent le président américain de délit d’initié, estimant qu’il avait, en encourageant à acheter des actions juste avant son revirement spectaculaire sur les droits de douane, manipulé les marchés.
Les démocrates s’opposaient en bloc à ce texte qui, selon eux, augure d’un dépeçage en règle de la Sécurité sociale – qui, aux États-Unis, verse des retraites et certaines aides publiques – et de Medicaid, l’assurance santé de nombreux Américains aux revenus modestes. De nombreux experts budgétaires avertissent effectivement que, pour parvenir à une réduction de 1 500 milliards de dollars dans les dépenses de l’Etat fédéral, il faudra passer par des coupes majeures dans ces programmes fédéraux.
Une investigation « urgente » est réclamée par le sénateur Adam Schiff pour déterminer si « le président, sa famille ou d’autres membres de son administration » ont profité, mercredi, d’informations confidentielles sur le revirement de sa politique commerciale.
Le président américain Donald Trump impose depuis mercredi matin une nouvelle salve de droits de douane à l'importation à près de 60 partenaires commerciaux. La Chine se voit imposer finalement un taux monumental de plus de 100 %, ayant pour effet de provoquer une forte poussée de fièvre entre les deux premières puissances mondiales. États-Unis
Les droits de douane historiques et massifs, décidés par l’administration Trump contre la Chine – 104 % ajoutés depuis le début de mandat en janvier – sont bien entrés en vigueur, de même que ceux annoncés le 2 avril contre une soixantaine de pays. Au même moment, une surtaxe allant de 11% à 50% s’est appliquée à 60 partenaires commerciaux des États-Unis - la plus monumentale vague de droits de douane à se jour.
Le président américain Donald Trump, qui s'était retiré avec fracas en 2018 de l'accord sur le nucléaire iranien, veut désormais relancer les discussions avec Téhéran. Entretemps, l'Iran a considérablement fait monter en puissance son programme. Les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, soupçonnent depuis très longtemps le pays de vouloir se doter de l'arme nucléaire. Des allégations rejetées par la République islamique qui défend un droit au nucléaire à des fins civiles, notamment pour l'énergie.
« L’ancien président Barack Obama a appelé les universités et les cabinets d’avocats à s’opposer à l’intimidation de l’administration du président Donald Trump et a exhorté les Américains à se préparer à « éventuellement se sacrifier » pour soutenir les valeurs démocratiques. Dans un discours prononcé jeudi soir au Hamilton College à Clinton, dans l’État de New York, M. Obama a également accusé le gouvernement Trump d’œuvrer à la destruction de l’ordre international créé après la Seconde Guerre mondiale.
Architecte de la politique protectionniste du président américain, Navarro est vivement critiqué pour avoir inventé de toutes pièces un expert nommé "Ron Vara", utilisé à plusieurs reprises dans ses ouvrages pour soutenir ses thèses anti-chinoises. Présenté comme un vétéran formé à Harvard et devenu millionnaire grâce à des investissements en temps de crise, Ron Vara a en réalité été créé par Navarro lui-même. Son nom n'est autre qu'un simple anagramme de "Navarro", comme l'avait révélé la presse américaine dès 2019, notamment le New York Times.
Les groupes pétroliers américains faisaient partie des plus fervents soutiens de Donald Trump, et l’arrivée du président républicain à la Maison Blanche a coïncidé avec un positionnement à droite d’une part des Big Tech. Ces deux secteurs prennent de plein fouet l'application des nouveaux droits de douane.
L’agence onusienne chargée de l’aide alimentaire, au budget déjà réduit en 2025, dénonce la résiliation par les États-Unis de l’assistance à 14 pays faisant « face à la famine » et espère les faire changer d’avis. Le Programme alimentaire mondial (PAM) de l’ONU a annoncé, lundi 7 avril, avoir été notifié par Washington de nouvelles coupes budgétaires concernant l’aide alimentaire d’urgence dans 14 pays, craignant la « peine de mort pour des milliers de personnes ».
Quatorze requérants accusent les autorités de manquer à leur obligation de protéger la population face aux impacts du réchauffement. Un recours inédit dans l’Union européenne sur les enjeux d’adaptation.
Peter Navarro, le conseiller principal en matière de commerce du président américain, cite régulièrement un certain "Ron Vara" dans ses livres. Qui est en fait inventé de toutes pièces.
Alors que les marchés financiers s'effondrent en réaction aux droits de douane réciproques imposés par le président américain, un homme persiste à défendre cette stratégie commerciale agressive. Peter Navarro, l'influent conseiller au commerce de Donald Trump, est l'artisan de cette politique qui fait vaciller l'économie mondiale. L'histoire devient surréaliste, quand il apparaît que dans ce livre, comme dans d'autres publications plus anciennes, Peter Navarro s'appuie régulièrement sur les travaux d'un certain Ron Vara pour justifier son hostilité à Pékin, et dénoncer les pratiques chinoises. Or, ce Ron Vara n'existe pas. C’est tout simplement l'anagramme de Navarro, un avatar qu'il a fini par reconnaître avoir inventé comme un "dispositif fantaisiste".
Le ministère américain de la Défense envisage de rapatrier plusieurs milliers de militaires stationnés en Europe de l'Est, révèle mardi NBC News, qui s'appuie sur six sources gouvernementales américaines et européennes. Ces troupes avaient été déployées sous Joe Biden pour protéger les pays voisins de l'Ukraine après l'invasion russe à grande échelle de ce pays.
Les textes qu'il a ratifiés, entouré de mineurs coiffés de leurs casques de chantier, visent à lever les barrières réglementaires à l'extraction de charbon, et à suspendre les fermetures prévues de nombreuses centrales à charbon à travers tout le pays.
Programmes de soutien aux victimes de la guerre par l’alimentation ou la santé, aides pour réparer les infrastructures énergétiques, construction d’abris antiaériens, aide aux ONG de la société civile, de lutte contre la corruption ou la désinformation… Les programmes de l’Agence américaine pour le développement international (Usaid) étaient tellement vastes en Ukraine que la suspension des financements par Washington a créé une onde de choc dans le pays, sans que quiconque puisse en mesurer précisément les conséquences.
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Selon Keith Kellogg, il faudra répartir présences russe et européenne dans le pays après le conflit. Ou alors envisager une «zone démilitarisée» sur le modèle de ce qui perdure entre les deux Corées depuis les années 50.
L’envoyé américain pour l’Ukraine, l’ex-général Keith Kellogg, a suggéré une partition de l’Ukraine sur le modèle “de Berlin après la Seconde Guerre mondiale” pour mettre fin au conflit avec la Russie, révèle “The Times”. En déplacement en Russie, Steve Witkoff, l’émissaire de Donald Trump aurait de son côté proposé de donner “la propriété” de quatre régions ukrainiennes à Moscou.
Le gouvernement de Donald Trump, ouvertement climatosceptique, veut éliminer la branche de recherche de l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique, la NOAA, une entité jouant un rôle incontournable dans les sciences mondiales du climat, a dénoncé vendredi une élue démocrate.
Les Etats membres de l’Organisation mondiale de la santé annoncent ce samedi 12 avril s’être accordés sur un texte visant à anticiper et à réagir collectivement face aux futures pandémies. Il devra être adopté définitivement en mai à Genève.
L'Ukraine post-conflit pourrait ressembler au "Berlin d'après la Deuxième Guerre mondiale", avec une présence à la fois de forces européennes et russes, séparées par le fleuve Dniepr, a décrit l'émissaire des Etats-Unis Keith Kellogg au quotidien britannique Times samedi.
Un accord de trois ans renouvelable a été signé entre le Panama et les États-Unis, stipulant que les installations seront la propriété de l’Etat panaméen et seront destinées à une « utilisation conjointe » par les forces des deux pays. Le canal « est et restera panaméen », a précisé le président, Jose Raul Mulino.
A la tête d’une commission pour «l’efficacité gouvernementale», le patron de Tesla avait à l’origine annoncé qu’il réduirait les dépenses fédérales de 2 000 milliards de dollars. Il s’est finalement satisfait de 150 milliards, jeudi 10 avril.
Depuis son investiture le 20 janvier dernier, Donald Trump ébranle la démocratie américaine en gouvernant à coups de décrets présidentiels. Coupes drastiques dans les budgets, retrait d’accords internationaux, licenciements massifs d’employés fédéraux… Il va si vite que les tribunaux sont saturés par les procès en contestation, dont les décisions pourraient prendre des années à être rendues. L’objectif affiché de l'administration Trump est de tailler dans les dépenses publiques, mais il existe aussi une volonté sous-jacente de remodeler les institutions selon une idéologie de droite identitaire et religieuse. Reportage de notre correspondante aux Etats-Unis, Fanny Allard.
Les économistes américains Scott Baker, Nick Bloom et Steven Davis ont mis en place un indicateur d’incertitude de politique économique, basé notamment sur la lecture de milliers d’articles de journaux. Plus il est élevé, plus la situation est chaotique. Il existe un indice mondial et un indice pour les États-Unis.
Dans une tribune au « Monde », un collectif de chercheurs et d’anciens ambassadeurs appelle, en Europe, à dénoncer sans ambiguïté l’idéologie suprémaciste qui anime désormais le gouvernement de l’Etat hébreu : il vient de créer une « Autorité d’émigration », visant à « relocaliser » plusieurs millions de Palestiniens de Gaza puis, probablement, de Cisjordanie.
Mercredi, Donald Trump a signé un décret pour lever les restrictions sur le débit des pommeaux de douche. Sans ça, impossible de laver ses «beaux cheveux».
Rien ne laissait présager le revirement du président américain au sujet des surtaxes douanières avec les partenaires commerciaux des États-Unis.
Victoire pour le président des États-Unis, qui se bat depuis des années contre les restrictions d’eau sur le sol américain, qui l’empêchent de prendre une «bonne douche pour prendre soin de ses beaux cheveux». Rendre leur grandeur aux douches américaines, c’était une des priorités de Donald Trump mercredi, au milieu de la tempête diplomatique et financière entraînée par la guerre commerciale qu’il livre au reste du monde. Le président américain a signé un décret levant les restrictions de débit des pommeaux de douche, qui avaient été imposées pour limiter la consommation.
Donald Trump a-t-il commis un délit d’initié ? Plusieurs élus démocrates ont émis des soupçons, estimant que le président américain avait peut-être, en encourageant à acheter des actions juste avant son revirement spectaculaire sur les droits de douane, illégalement manipulé les marchés. "Les proches de Donald Trump profitent-ils illégalement de ces énormes fluctuations du marché boursier par le biais de délits d’initiés ?", a interrogé le sénateur démocrate de Californie Adam Schiff sur son compte X mercredi. "Le Congrès doit savoir", a-t-il ajouté, appelant à une enquête parlementaire.
L’opposition démocrate accuse le président américain de délit d’initié en prévenant en amont ses alliés pour qu’ils puissent anticiper la réaction des Bourses du monde entier, qui fluctuent au gré de ses déclarations intempestives.Donald Trump a-t-il profité du chaos en Bourse pour enrichir ses proches et ses alliés ? Plusieurs élus démocrates soupçonnent le président américain de délit d’initié, estimant qu’il avait, en encourageant à acheter des actions juste avant son revirement spectaculaire sur les droits de douane, manipulé les marchés.