Veille 2.1

OA - Liste OA - Liste

Sélection du moment:

Alors que les gouvernements se préparent à se réunir pour le Sommet du Futur de septembre prochain - une réunion de haut niveau des Nations Unies qui vise à "offrir un meilleur présent et à préserver l'avenir" - de récentes négociations ont supprimé deux mots du projet de résultat : les combustibles fossiles.
En tant qu'anciens chefs de gouvernement et lauréats du prix Nobel du monde entier, nous écrivons avec un sentiment commun d'urgence et de responsabilité concernant l'avenir de notre planète. Nous félicitons les Nations unies pour leur intention d'organiser un Sommet de l'avenir en septembre prochain - une réunion historique des Nations unies qui vise à garantir un avenir durable et équitable pour tous.
La Chine a indiqué mercredi avoir suspendu des discussions avec les Etats-Unis sur le contrôle des armes et la non-prolifération nucléaire, précisant que cette décision venait en représailles à des ventes d'armes par Washington à Taïwan.
Au pouvoir depuis août 2022, le président de gauche Gustavo Petro veut engager son pays sur la voie d’une ambitieuse transition énergétique.
La Colombie est devenue samedi le premier pays continental et producteur majeur de pétrole à rejoindre une coalition menée par des petits pays insulaires pour demander un traité de non-prolifération des énergies fossiles, lors de la COP28 à Dubaï. "La science dit aux COP que c'est le pétrole (...) qui, dans la grande machine industrielle, se convertit en émissions de gaz à effet de serre responsables de la crise climatique", a déclaré pour justifier sa décision le président colombien Gustavo Petro.
Plus de 300 scientifiques, parmi lesquels Valérie Masson-Delmotte et Jean Jouzel, signent une tribune pour rappeler que continuer d’investir dans les énergies fossiles nous empêchera d’atteindre les objectifs fixés par l’accord de Paris d’un réchauffement de 1,5 °C ou de 2 °C.
Une centaine de personnes se sont rassemblées jeudi en face des institutions européennes à Bruxelles. Toutes réclamaient aux dirigeants européens la ratification d’un traité de non-prolifération des énergies fossiles.
Une centaine d'élus européens a demandé mardi à la Commission européenne d'interdire aux groupes énergétiques de l'UE de lancer de nouveaux projets fossiles face au "péril climatique", dans une lettre consultée par l'AFP."L'Union européenne doit passer à la vitesse supérieure en contraignant par la loi les multinationales fossiles et les acteurs financiers à renoncer à tout nouveau projet dans le charbon, le pétrole et le gaz", demandent les signataires, dont des eurodéputés, des élus français ainsi que plusieurs maires.
Ce projet de traité, soutenu par le Vanuatu, Tuvalu, 100 Prix Nobel et l’OMS, vise à arrêter l’expansion du charbon, du pétrole et du gaz, puis à réduire progressivement la production existante de manière équitable.
Les députés européens se sont prononcés pour une résolution appelant «à la préparation d’un traité de non-prolifération des énergies fossiles» et à une élimination progressive de toutes les subventions en faveur des combustibles fossiles au sein de l’UE.
Le petit État insulaire du Vanuatu menacé par la montée des océans a lancé vendredi à l’ONU la bataille pour la création d’un « traité de non-prolifération des énergies fossiles », visant à débarrasser à terme la planète des principaux responsables du réchauffement.
La prochaine pandémie se nomme « changement climatique ». Plus de 1 000 professionnels de la santé et 200 organisations du monde entier ont appelé, mercredi 14 septembre, les gouvernements à élaborer « un traité de non-prolifération des combustibles fossiles ». Les signataires – dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’Association internationale de pédiatrie, l’Association médicale mondiale – ont réclamé « un plan mondial juridiquement contraignant pour éliminer progressivement l’utilisation des combustibles fossiles ». Il s’agirait de contrôler très strictement la production et la consommation de charbon, pétrole et gaz, « des substances dont on sait qu’elles sont nocives pour la santé humaine ».
The World Health Organization (WHO) and almost 200 other health associations have made an unprecedented call for a global fossil fuel non-proliferation treaty. A call to action published on Wednesday, urges governments to agree a legally binding plan to phase out fossil fuel exploration and production, similar to the framework convention on tobacco, which was negotiated under the WHO’s auspices in 2003. “The modern addiction to fossil fuels is not just an act of environmental vandalism. From the health perspective, it is an act of self-sabotage,” said the WHO president, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Le petit État insulaire du Vanuatu menacé par la montée des océans a lancé vendredi à l’ONU la bataille pour la création d’un « traité de non-prolifération des énergies fossiles », visant à débarrasser à terme la planète des principaux responsables du réchauffement.
La Russie a empêché vendredi l'adoption d'une déclaration commune à l'issue des quatre semaines de la conférence d'examen à l'ONU du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), dénonçant des termes "politiques".
Une référence à Zaporijjia pousse la Russie à bloquer l’adoption d’un texte de l’ONU sur la non-prolifération La délégation russe a affirmé que le document présenté par la 10e Conférence des parties au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires favorisait Kiev. Elle a rejeté la responsabilité de l’échec des négociations sur “les protecteurs” de l’Ukraine.
Alors que la COP26 s’ouvre ce dimanche à Glasgow, des responsables écologistes, dont le candidat à la présidentielle Yannick Jadot, appellent, dans une tribune dans le Journal du dimanche, la France à montrer l’exemple face aux lobbys «rivés à leurs intérêts de courts termes», réitérant leur soutien à un traité international de non-prolifération des énergies fossiles.
Le candidat écologiste à la présidentielle Yannick Jadot a proposé vendredi "un traité international de non-prolifération des énergies fossiles" pour être "à la hauteur du défi climatique", à deux jours de l'ouverture de la COP26 à Glasgow (Ecosse).
Une initiative internationale pour l'abandon des combustibles fossiles et le soutien à une transition juste
Nous devons aujourd’hui impérativement coopérer à l’échelle internationale pour progressivement abandonner toute production de combustibles fossiles et trouver des solutions plus sûres et efficaces, et ce, dans trois domaines principaux : la non-prolifération, un désarmement mondial, une transition pacifique et juste.
Après Vancouver, la ville de Barcelone a rejoint le traité sur la non-prolifération des combustibles fossiles, qui entend faire des énergies fossiles une menace aussi dangereuse que les armes nucléaires.


Langue(3/3)
Médias(8/8)
Résultats pour:
non-prolifération

août 2024

Alors que les gouvernements se préparent à se réunir pour le Sommet du Futur de septembre prochain - une réunion de haut niveau des Nations Unies qui vise à "offrir un meilleur présent et à préserver l'avenir" - de récentes négociations ont supprimé deux mots du projet de résultat : les combustibles fossiles.
En tant qu'anciens chefs de gouvernement et lauréats du prix Nobel du monde entier, nous écrivons avec un sentiment commun d'urgence et de responsabilité concernant l'avenir de notre planète. Nous félicitons les Nations unies pour leur intention d'organiser un Sommet de l'avenir en septembre prochain - une réunion historique des Nations unies qui vise à garantir un avenir durable et équitable pour tous.

juillet 2024

La Chine a indiqué mercredi avoir suspendu des discussions avec les Etats-Unis sur le contrôle des armes et la non-prolifération nucléaire, précisant que cette décision venait en représailles à des ventes d'armes par Washington à Taïwan.

décembre 2023

Au pouvoir depuis août 2022, le président de gauche Gustavo Petro veut engager son pays sur la voie d’une ambitieuse transition énergétique.
La Colombie est devenue samedi le premier pays continental et producteur majeur de pétrole à rejoindre une coalition menée par des petits pays insulaires pour demander un traité de non-prolifération des énergies fossiles, lors de la COP28 à Dubaï. "La science dit aux COP que c'est le pétrole (...) qui, dans la grande machine industrielle, se convertit en émissions de gaz à effet de serre responsables de la crise climatique", a déclaré pour justifier sa décision le président colombien Gustavo Petro.

septembre 2023

Plus de 300 scientifiques, parmi lesquels Valérie Masson-Delmotte et Jean Jouzel, signent une tribune pour rappeler que continuer d’investir dans les énergies fossiles nous empêchera d’atteindre les objectifs fixés par l’accord de Paris d’un réchauffement de 1,5 °C ou de 2 °C.

mars 2023

Une centaine de personnes se sont rassemblées jeudi en face des institutions européennes à Bruxelles. Toutes réclamaient aux dirigeants européens la ratification d’un traité de non-prolifération des énergies fossiles.

février 2023

Une centaine d'élus européens a demandé mardi à la Commission européenne d'interdire aux groupes énergétiques de l'UE de lancer de nouveaux projets fossiles face au "péril climatique", dans une lettre consultée par l'AFP."L'Union européenne doit passer à la vitesse supérieure en contraignant par la loi les multinationales fossiles et les acteurs financiers à renoncer à tout nouveau projet dans le charbon, le pétrole et le gaz", demandent les signataires, dont des eurodéputés, des élus français ainsi que plusieurs maires.

novembre 2022

Ce projet de traité, soutenu par le Vanuatu, Tuvalu, 100 Prix Nobel et l’OMS, vise à arrêter l’expansion du charbon, du pétrole et du gaz, puis à réduire progressivement la production existante de manière équitable.

octobre 2022

Les députés européens se sont prononcés pour une résolution appelant «à la préparation d’un traité de non-prolifération des énergies fossiles» et à une élimination progressive de toutes les subventions en faveur des combustibles fossiles au sein de l’UE.

septembre 2022

Le petit État insulaire du Vanuatu menacé par la montée des océans a lancé vendredi à l’ONU la bataille pour la création d’un « traité de non-prolifération des énergies fossiles », visant à débarrasser à terme la planète des principaux responsables du réchauffement.
La prochaine pandémie se nomme « changement climatique ». Plus de 1 000 professionnels de la santé et 200 organisations du monde entier ont appelé, mercredi 14 septembre, les gouvernements à élaborer « un traité de non-prolifération des combustibles fossiles ». Les signataires – dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’Association internationale de pédiatrie, l’Association médicale mondiale – ont réclamé « un plan mondial juridiquement contraignant pour éliminer progressivement l’utilisation des combustibles fossiles ». Il s’agirait de contrôler très strictement la production et la consommation de charbon, pétrole et gaz, « des substances dont on sait qu’elles sont nocives pour la santé humaine ».
The World Health Organization (WHO) and almost 200 other health associations have made an unprecedented call for a global fossil fuel non-proliferation treaty. A call to action published on Wednesday, urges governments to agree a legally binding plan to phase out fossil fuel exploration and production, similar to the framework convention on tobacco, which was negotiated under the WHO’s auspices in 2003. “The modern addiction to fossil fuels is not just an act of environmental vandalism. From the health perspective, it is an act of self-sabotage,” said the WHO president, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Le petit État insulaire du Vanuatu menacé par la montée des océans a lancé vendredi à l’ONU la bataille pour la création d’un « traité de non-prolifération des énergies fossiles », visant à débarrasser à terme la planète des principaux responsables du réchauffement.

août 2022

La Russie a empêché vendredi l'adoption d'une déclaration commune à l'issue des quatre semaines de la conférence d'examen à l'ONU du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP), dénonçant des termes "politiques".