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Les mesures de soutien public aux combustibles fossiles peuvent encourager la production et l’utilisation de ces combustibles, ce qui augmente les émissions et renchérit le coût de l’atténuation du changement climatique. Ces politiques peuvent aussi fausser les coûts et les prix, générant ainsi des inefficiences dans la production et l’utilisation de l’énergie.
Investir dans de nouveaux projets pétroliers et gaziers pourrait s'avérer indispensable, rapporte mardi l'Agence internationale de l'Energie, alors que l'administration du président Donald Trump exerce une forte pression pour qu'elle adopte des prévisions moins défavorables aux énergies fossiles. Dans un rapport fondé sur l'analyse des données de 15.000 champs d'hydrocarbures, l'agence de l'OCDE basée à Paris fait le constat que les déclins de production des sites pétroliers et gaziers existants, liés à l'épuisement naturel des réservoirs, "se sont accélérés, avec des implications pour les marchés et la sécurité énergétique". Environ 90% des investissements actuels servent à "compenser les pertes d'approvisionnement dans les champs existants", détaille Fatih Birol, le directeur exécutif de l'AIE, dans un communiqué, mais cela ne suffit pas, selon ses analystes.
Les pays du monde entier se trouvent à un moment critique de la bataille contre la pollution plastique. Alors que les négociations autour d’un traité mondial sur les matières plastiques touchent à leur fin, l’OCDE présente, dans ce rapport, les résultats d’un exercice de modélisation de scénarios d’action fondés sur différents types d’intervention : limiter la production et la demande, promouvoir l’écoconception, augmenter le recyclage et fermer les voies de rejet. Ce rapport éclaire sur les avantages environnementaux et les conséquences économiques qui pourraient découler des actions engagées pour mettre fin à la pollution par les plastiques d’ici à 2040, selon différents niveaux d’ambition : quels pays agissent, le caractère rigoureux des mesures et les phases du cycle de vie des plastiques auxquelles elles s'appliquent.
Dans leur rapport annuel sur l’agriculture publié mardi 15 juillet, la branche alimentation et agriculture des Nations unies et l’organisation intergouvernementale d’études économiques appellent à accélérer les pratiques durables pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.
Conséquence extrême du réchauffement climatique, la sécheresse menace de nombreuses régions aux quatre coins du globe. Or, Paris et l’Île-de-France ne font pas exception, comme le souligne un rapport publié par l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) le 17 mars 2025. Selon l’organisation, la raréfaction de l’eau pourrait coûter jusqu’à 2,5 milliards d’euros d’ici moins de trois décennies.
Dans son rapport trimestriel, publié lundi 17 mars, l’organisation met en garde quant aux effets de la politique protectionniste du président américain sur l’inflation aux États-Unis et révise à la baisse ses prévisions pour 2025. Le climat d’incertitude pèse sur les entreprises, sur le moral des ménages et sur la production.
Le rapport 2025 sur les états de fragilité se penche sur un monde marqué par des rapports de force en pleine recomposition : c’est dans les 61 contextes présentant un degré élevé ou extrême de fragilité que les effets les plus dramatiques des crises, des conflits et de l’instabilité trouvent leur point de convergence. La fragilité multidimensionnelle est en effet au cœur d’évolutions géopolitiques qui mettent à mal des décennies d’équilibre des forces à l’échelle mondiale ; tant les défis que les possibilités qu’elle apporte appellent une réflexion approfondie et une adaptation rapide de l’ensemble des sphères de l’action humanitaire, du développement et de la paix.
Le président des Etats-Unis a donné mandat à son secrétaire au Trésor, Scott Bessent, d’organiser le retrait des Etats-Unis de l’accord fiscal mondial négocié par l’Organisation de coopération et de développement économiques.
Les pays développés de l'OCDE ont échoué à trouver un accord sur l'arrêt progressif des mesures publiques de soutien financier aux industries fossiles, à quelques jours de l'investiture du climatosceptique Donald Trump à la Maison-Blanche.
Des émissaires des pays développés sont réunis cette semaine à l'OCDE pour discuter de l'arrêt d'un soutien financier public aux industries fossiles, espérant une évolution de la position américaine avant l'arrivée du climatosceptique Donald Trump à la Maison Blanche en janvier.Ces discussions qui ont démarré lundi se poursuivent jusqu'à jeudi auprès de l'Organisation de coopération et de développement économiques, basée à Paris, "mais il est possible qu'elles se poursuivent après", a indiqué à l'AFP une source proche des négociations.
La croissance des pays émergents va davantage pâtir que celle des pays développés de la transition énergétique à long terme, prévoit l'OCDE dans un rapport, soulignant eur plus forte dépendance aux énergies fossiles. L'effet des efforts en matière de transition pourrait coûter jusqu'à 11% de PIB d'ici 2050 aux pays émergents membres du G20, a calculé l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) dans un rapport publié jeudi présentant ses scénarios économiques à long terme.
L'OCDE a émis une liste de recommandations en cas de nouvelles crises sanitaires en Belgique.
Les pays développés de l'OCDE doivent abandonner toutes les énergies fossiles d'ici 2040, et le reste du monde d'ici 2050, selon une réévaluation de climatologues réputés, qu'ils ont adressée vendredi au patron de l'ONU et à l'ONU Climat, en pleines négociations de la COP28.Cette note, consultée par l'AFP, conclut à la nécessité d'adopter un tel calendrier, plus serré que prévu, si le monde veut limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle, coeur des négociations qui se tiennent à Dubaï jusqu'au 12 décembre.
Une quinzaine de ministres ont rendez-vous à Paris jeudi et vendredi pour une conférence internationale, sous l'égide du gouvernement français et de l'OCDE, en vue d'accélérer le retour du nucléaire et encourager les institutions internationales à le financer.Les responsables ainsi que des industriels du nucléaire sont attendus, venus du Japon, du Canada, des Etats-Unis, du Royaume-Uni et de l'Union européenne: Bulgarie, République tchèque, Pologne, Roumanie, Suède...
Dans un nouveau rapport, l’organisation internationale appelle à intensifier les efforts d’adaptation au changement climatique pour limiter les coûts économiques, sociétaux et environnementaux des incendies de forêt à l’avenir.
L’OCDE a revu ses prévisions à la hausse à la suite de l’augmentation de la rentabilité des entreprises.
L'OCDE donne la priorité à la lutte contre l'inflation pour relancer la croissance.
L’Organisation de coopération et de développement économiques a publié, le 26 septembre, des prévisions économiques sombres pour les pays européens en 2023. L’Allemagne devrait connaître une récession, ainsi que plusieurs autres États européens, en cas d’aggravation de la crise énergétique actuelle. Les températures de cet hiver joueront un rôle important dans ce scénario. Explications.
La guerre va continuer à coûter cher aux États du monde: l'OCDE a nettement dégradé sa prévision de croissance mondiale l'an prochain devant les effets plus durables qu'anticipé de la guerre en Ukraine, l'Europe payant la plus grande facture.
Les subventions aux combustibles fossiles, néfastes pour la planète, ont presque doublé en 2021 et devraient encore progresser fortement en 2022. Cela s'explique par la hausse des prix de l'énergie, exacerbée depuis février dernier par la guerre en Ukraine. En réponse, de nombreux gouvernements ont mis en place des dispositifs de soutien public aux consommateurs et/ou aux producteurs. L'OCDE et l'AIE appellent à mettre en place des mesures ciblées et à investir dans la transition bas-carbone.
Les objectifs d'éradication de la faim et de réduction des émissions de gaz à effet de serre agricoles ne seront pas atteints en 2030 si l'agriculture ne "gagne pas en efficacité", estiment l'agence des Nations unies pour l'alimentation (FAO) et l'OCDE dans un rapport.
L'OCDE abaisse fortement sa prévision de croissance mondiale pour 2022 à 3 % et double sa prévision d'inflation pour ses pays membres à 8,5 %.
La production et les déchets plastiques vont fortement augmenter d'ici à 2060, même si des mesures d'encadrement fortes sont prises au niveau mondial, a averti vendredi l'OCDE. Si rien n'est fait, la production de plastique va quasiment tripler par rapport à 2019, de 460 millions de tonnes à 1 231 millions de tonnes (Mt), et celle des déchets plastiques augmenter dans les mêmes proportions, de 353 à 1 014 Mt, selon ce rapport sur les "perspectives mondiales des plastiques : scénarios d'action à l'horizon 2060".
Si des mesures ne sont pas mises en œuvre contre ce fléau qui menace l’environnement et contribue à l’effondrement de la biodiversité, sa production pourrait quasiment tripler.
Les pays riches créent des conditions de vie dangereuses pour les enfants du monde entier, selon un rapport du Centre de recherche Innocenti de l’Unicef publié mardi, qui les appelle à réduire la production de déchets, la pollution atmosphérique et aquatique. Le Centre a analysé 39 pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et de l’Union européenne (UE) selon différents critères : pesticides, humidité du domicile, plomb, accès à la lumière, déchets…
Même si le rôle de Kyiv et de Moscou dans l’économie de la planète reste faible, leur poids dans les matières premières est important et pourrait faire reculer le PIB mondial et faire augmenter de 2,5 points l’inflation. L’Europe sera la région la plus touchée.
En à peine deux décennies, la production annuelle de déchets plastiques dans le monde est passée de 156 à 353 millions de tonnes, s'alarment les experts de l'OCDE. Seulement 9 % de toute cette matière sont recyclés.
Tandis que les subventions aux énergies fossiles pourraient de nouveau fortement progresser sur l'ensemble de l'année 2021, l'OCDE et l'Agence internationale de l'énergie (AIE) appellent à les réorienter vers des investissements plus favorables à la protection du climat.
L'OCDE a annoncé vendredi un accord entre plusieurs pays permettant d'interdire l'octroi de crédits à l'exportation pour les centrales électriques conventionnelles au charbon, à quelques jours de la COP26 à Glasgow.
Lancée à l’occasion d’un événement en ligne co-organisé par l’Internationale de l’Éducation, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et l’UNESCO le 1er juillet dernier, l’initiative Global Teaching InSights (Perspectives mondiales d’enseignement) s’inscrit dans le cadre de la campagne de l’Internationale de l’Éducation Enseignez pour la planète.