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"À l’heure actuelle, nous savons qu’au moins plusieurs centaines de ressortissants chinois combattent au sein des forces d’occupation russes", a déclaré M. Zelensky, qui s’exprimait par vidéo lors d’une réunion des chefs militaires des pays alliés de l’Ukraine à Bruxelles. Le dirigeant ukrainien a accusé la Russie de tenter ainsi de "prolonger la guerre" en "utilisant des vies chinoises".
Deux soldats chinois combattant pour la Russie ont été arrêtés en Ukraine, a annoncé mardi sur ses réseaux sociaux le président ukrainien Volodymyr Zelensky, accompagnant son message d'une vidéo de l'un des deux soldats. Le chef de l'État a réclamé des explications à Pékin, et une "réaction" des Occidentaux, notamment des États-Unis.
Le président ukrainien affirme détenir les documents de ces prisonniers, arrêtés dans la région de Donetsk. Il aurait également que leurs cartes bancaires et leurs données personnelles. Depuis le début de la guerre, ce serait une première. Le président Volodymyr Zelensky a déclaré ce mardi 8 avril que les troupes ukrainiennes avaient capturé deux citoyens chinois combattant aux côtés des forces russes et a déclaré que Kyiv exigerait des explications de Pékin et une réaction de ses alliés.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a remercié mardi la Belgique pour son nouveau paquet d'aide militaire d'une valeur d'un milliard d'euros.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a regretté dimanche labsence de réponse américaine au refus par le président russe Vladimir Poutine dun cessez-le-feu complet et inconditionnel en Ukraine, après de nouvelles frappes meurtrières notamment à Kiev.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé samedi la "faible" réaction de l'ambassade américaine en Ukraine à une frappe meurtrière la veille à Kryvyï Rig, lui reprochant notamment d'avoir "peur" de dire que le missile l'ayant causé venait de la Russie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué samedi des "progrès tangibles" et de "premiers détails" concernant le déploiement d’un contingent européen sur le sol ukrainien en cas de cessez-le-feu, au lendemain de la venue des chefs d’état-major des armées françaises et britanniques à Kiev. Français et Britanniques proposent de déployer un contingent de pays européens en Ukraine pour constituer une "force de réassurance" destinée à prévenir une reprise du conflit une fois un cessez-le-feu mis en place.
Pressée de faire main basse sur les ressources naturelles de l’Ukraine, l’administration américaine a remis à Kiev une nouvelle version de l’accord sur les minerais stratégiques, que le gouvernement ukrainien examine de près. Les discussions se poursuivent et la version finale pourrait varier. « Nous devons obtenir l’avis de nos conseillers juridiques », a déclaré le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, lors d’une conférence de presse, vendredi 28 mars, laissant entendre que le document ne serait pas signé aussi vite que Washington le souhaitait, soit « d’ici à la semaine prochaine », c’est-à-dire entre le 31 mars et le 6 avril, selon le secrétaire au Trésor américain, Scott Bessent.
Ce n’est plus un bruit de fond, c’est une ritournelle. Américains et Russes se sont acoquinés pour avoir la tête de Volodymyr Zelensky, afin de briser la colonne vertébrale de la résistance ukrainienne à leur plan de normalisation. Dernier développement, l’interview accordée par Steven Witkoff, le représentant spécial des Etats-Unis pour la Russie, au podcast du journaliste ultraconservateur Tucker Carlson. Durant l’entretien, entre deux âneries et imprécisions dramatiques, l’homme de confiance de Donald Trump déclare que des élections en Ukraine sont «indispensables», bien que la Constitution ukrainienne interdise tout scrutin en période de loi martiale et que deux tiers des électeurs sont contre la tenue d’élections.
"Les sanctions doivent rester en place jusqu'au début du retrait russe de notre territoire et tant que la Russie n'aura pas entièrement compensé les dommages causés par son agression", a plaidé le président ukrainien lors d'un échange vidéo avec les dirigeants des 27 Etats membres de l'UE réunis en sommet à Bruxelles. Le président russe Vladimir Poutine doit mettre fin à ses exigences "inutiles", qui prolongent la guerre en Ukraine, a affirmé jeudi dans un message vidéo le président ukrainien Volodymyr Zelensky, devant les 27 réunis en sommet à Bruxelles.
L'Ukraine ne "discutera pas" d'un transfert aux Etats-Unis de la propriété de ses centrales nucléaires, y compris celle occupée de Zaporijjia, a déclaré jeudi le président Volodymyr Zelensky, au lendemain de sa conversation téléphonique avec Donald Trump qui avait suggéré que son pays pourrait en prendre "possession". "Nous n'en discuterons pas. Nous avons 15 réacteurs nucléaires en service aujourd'hui. Tout cela appartient à notre État", a martelé M. Zelensky lors d'une conférence de presse à Oslo.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé que son pays avait fait mardi soir l'objet de nouvelles frappes russes, qui ont notamment visé un hôpital, quelques heures après l'annonce par Washington et Moscou d'un accord en vue d'une trêve limitée. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui n'est pas associé aux pourparlers américano-russes, a estimé que "Poutine a en réalité refusé (mardi) la proposition d'un cessez-le-feu complet". L'Ukraine avait accepté, sous la pression de Washington, l'idée d'un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours, rejeté par Moscou.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé samedi Moscou de retarder les discussions sur l'instauration d'une trêve de 30 jours proposée par Kiev et Washington afin de renforcer ses positions sur le champ de bataille.
We must learn from the past. We cannot remain silent in the face of authoritarian attacks on our peers, even if they have not yet come for us.
La balle est dans le camp de la Russie et Volodymyr Zelensky ne compte pas lui laisser une once sur le terrain diplomatique. Au lendemain de l’accord sur la proposition de cessez-le-feu construite avec les États-Unis, le président ukrainien a répété sa défiance à l’égard de son grand voisin. L’Ukraine ne fait pas «confiance» à la Russie au sujet d’une trêve, a redit le dirigeant, qui a par ailleurs confirmé prendre «très au sérieux» l’accord conclu la veille. Une méfiance qui s’exprime après que le porte-parole du Kremlin a fait savoir que Moscou attendait d’être instruit de l’entièreté de la proposition avant de se positionner.
Au moins 14 personnes sont mortes en Ukraine samedi dans des raids russes. Moscou revendique par ailleurs des avancées dans sa région de Koursk.
Le ministre de la Défense Theo Francken a proposé jeudi lors d'une rencontre avec le président ukrainien une proposition concrète d'aide militaire à hauteur d'un milliard d'euros, a-t-il indiqué vendredi sur les ondes de la VRT-radio.
Les États membres de l'Union européenne et Volodymyr Zelensky se retrouvent jeudi pour un sommet extraordinaire sur l'Ukraine. Cette réunion est destinée à rassurer le pays, suite à son invasion par la Russie il y a plus de trois ans, et à muscler la défense européenne après l'altercation spectaculaire entre Donald Trump et le président ukrainien.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est déclaré mardi prêt à "travailler sous le leadership" de Donald Trump pour "obtenir une paix durable" en Ukraine. Il a également proposé "une trêve" dans les airs et en mer, ainsi qu'un échange de prisonniers avec la Russie, comme "premières étapes" visant à "mettre fin à la guerre".
Deux jours après son altercation avec Donald Trump et J.D. Vance à la Maison Blanche, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est redit prêt, dimanche, à signer l'accord sur les minerais négocié avec les États-Unis.
Le président ukrainien, qui était à Londres avec ses partisans occidentaux après la réunion catastrophique de vendredi à Washington, a également rappelé qu’il n’était pas opposé à un départ dans le cas d’une adhésion de l’Ukraine à l’Otan.
Une quinzaine de dirigeants alliés de Kiev se réunissent à Londres dimanche pour un sommet sur l'Ukraine et la sécurité. Quelques heures avant son ouverture, le Premier ministre britannique Keir Starmer a annoncé que Londres et Paris travaillaient avec Kiev à un "plan" pour un cessez-le-feu entre l'Ukraine et la Russie, qui sera ensuite soumis aux États-Unis.
Choqués par la spectaculaire altercation vendredi 28 février dans le Bureau ovale, qui a entraîné le départ prématuré du président ukrainien de la Maison Blanche, la plupart des dirigeants européens se sont empressés de le défendre.
La Belgique a assuré l'Ukraine de son soutien après l'altercation, vendredi soir à la Maison Blanche, entre le président des États-Unis Donald Trump et le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
La grande majorité des dirigeants européens ont fait bloc derrière l'Ukraine après la vive altercation ayant opposé à la Maison Blanche le président américain Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, Moscou se félicitant toutefois de ce moment "historique".
L'altercation publique entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky, vendredi à la Maison Blanche, fait éclater au grand jour le fossé qui s'est creusé entre Washington et Kiev, et interroge sur la suite, sous le regard ravi de Moscou et celui d'Européens médusés.
La plupart des médias ukrainiens, même ceux qui lui sont peu favorables, soutiennent Volodymyr Zelensky après l’échauffourée du Bureau ovale et critiquent sévèrement Donald Trump, JD Vance et leur équipe. Mais certains relèvent, aussi, deux erreurs du chef de l’État.
Le président ukrainien est arrivé à la mi-journée au Royaume-Uni, au lendemain de sa dispute avec Donald Trump et à la veille d’une réunion d’urgence sur la défense, présentée par la presse britannique comme “la plus importante depuis Yalta” pour le Vieux Continent.
Si Pékin est officiellement resté silencieux, samedi 1er mars, la presse liée au régime s’est gargarisée de la position inconfortable des alliés de Washington, coupable de s’en être remis à la première puissance mondiale pour leur sécurité.
Alors qu’ils doivent signer dans le Bureau ovale un accord sur les minerais rares, les échanges entre les présidents américain et ukrainien ont dégénéré.


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avril 2025

"À l’heure actuelle, nous savons qu’au moins plusieurs centaines de ressortissants chinois combattent au sein des forces d’occupation russes", a déclaré M. Zelensky, qui s’exprimait par vidéo lors d’une réunion des chefs militaires des pays alliés de l’Ukraine à Bruxelles. Le dirigeant ukrainien a accusé la Russie de tenter ainsi de "prolonger la guerre" en "utilisant des vies chinoises".
Deux soldats chinois combattant pour la Russie ont été arrêtés en Ukraine, a annoncé mardi sur ses réseaux sociaux le président ukrainien Volodymyr Zelensky, accompagnant son message d'une vidéo de l'un des deux soldats. Le chef de l'État a réclamé des explications à Pékin, et une "réaction" des Occidentaux, notamment des États-Unis.
Le président ukrainien affirme détenir les documents de ces prisonniers, arrêtés dans la région de Donetsk. Il aurait également que leurs cartes bancaires et leurs données personnelles. Depuis le début de la guerre, ce serait une première. Le président Volodymyr Zelensky a déclaré ce mardi 8 avril que les troupes ukrainiennes avaient capturé deux citoyens chinois combattant aux côtés des forces russes et a déclaré que Kyiv exigerait des explications de Pékin et une réaction de ses alliés.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a remercié mardi la Belgique pour son nouveau paquet d'aide militaire d'une valeur d'un milliard d'euros.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a regretté dimanche labsence de réponse américaine au refus par le président russe Vladimir Poutine dun cessez-le-feu complet et inconditionnel en Ukraine, après de nouvelles frappes meurtrières notamment à Kiev.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé samedi la "faible" réaction de l'ambassade américaine en Ukraine à une frappe meurtrière la veille à Kryvyï Rig, lui reprochant notamment d'avoir "peur" de dire que le missile l'ayant causé venait de la Russie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué samedi des "progrès tangibles" et de "premiers détails" concernant le déploiement d’un contingent européen sur le sol ukrainien en cas de cessez-le-feu, au lendemain de la venue des chefs d’état-major des armées françaises et britanniques à Kiev. Français et Britanniques proposent de déployer un contingent de pays européens en Ukraine pour constituer une "force de réassurance" destinée à prévenir une reprise du conflit une fois un cessez-le-feu mis en place.

mars 2025

Pressée de faire main basse sur les ressources naturelles de l’Ukraine, l’administration américaine a remis à Kiev une nouvelle version de l’accord sur les minerais stratégiques, que le gouvernement ukrainien examine de près. Les discussions se poursuivent et la version finale pourrait varier. « Nous devons obtenir l’avis de nos conseillers juridiques », a déclaré le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, lors d’une conférence de presse, vendredi 28 mars, laissant entendre que le document ne serait pas signé aussi vite que Washington le souhaitait, soit « d’ici à la semaine prochaine », c’est-à-dire entre le 31 mars et le 6 avril, selon le secrétaire au Trésor américain, Scott Bessent.
Ce n’est plus un bruit de fond, c’est une ritournelle. Américains et Russes se sont acoquinés pour avoir la tête de Volodymyr Zelensky, afin de briser la colonne vertébrale de la résistance ukrainienne à leur plan de normalisation. Dernier développement, l’interview accordée par Steven Witkoff, le représentant spécial des Etats-Unis pour la Russie, au podcast du journaliste ultraconservateur Tucker Carlson. Durant l’entretien, entre deux âneries et imprécisions dramatiques, l’homme de confiance de Donald Trump déclare que des élections en Ukraine sont «indispensables», bien que la Constitution ukrainienne interdise tout scrutin en période de loi martiale et que deux tiers des électeurs sont contre la tenue d’élections.
"Les sanctions doivent rester en place jusqu'au début du retrait russe de notre territoire et tant que la Russie n'aura pas entièrement compensé les dommages causés par son agression", a plaidé le président ukrainien lors d'un échange vidéo avec les dirigeants des 27 Etats membres de l'UE réunis en sommet à Bruxelles. Le président russe Vladimir Poutine doit mettre fin à ses exigences "inutiles", qui prolongent la guerre en Ukraine, a affirmé jeudi dans un message vidéo le président ukrainien Volodymyr Zelensky, devant les 27 réunis en sommet à Bruxelles.
L'Ukraine ne "discutera pas" d'un transfert aux Etats-Unis de la propriété de ses centrales nucléaires, y compris celle occupée de Zaporijjia, a déclaré jeudi le président Volodymyr Zelensky, au lendemain de sa conversation téléphonique avec Donald Trump qui avait suggéré que son pays pourrait en prendre "possession". "Nous n'en discuterons pas. Nous avons 15 réacteurs nucléaires en service aujourd'hui. Tout cela appartient à notre État", a martelé M. Zelensky lors d'une conférence de presse à Oslo.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé que son pays avait fait mardi soir l'objet de nouvelles frappes russes, qui ont notamment visé un hôpital, quelques heures après l'annonce par Washington et Moscou d'un accord en vue d'une trêve limitée. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui n'est pas associé aux pourparlers américano-russes, a estimé que "Poutine a en réalité refusé (mardi) la proposition d'un cessez-le-feu complet". L'Ukraine avait accepté, sous la pression de Washington, l'idée d'un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours, rejeté par Moscou.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé samedi Moscou de retarder les discussions sur l'instauration d'une trêve de 30 jours proposée par Kiev et Washington afin de renforcer ses positions sur le champ de bataille.
We must learn from the past. We cannot remain silent in the face of authoritarian attacks on our peers, even if they have not yet come for us.
La balle est dans le camp de la Russie et Volodymyr Zelensky ne compte pas lui laisser une once sur le terrain diplomatique. Au lendemain de l’accord sur la proposition de cessez-le-feu construite avec les États-Unis, le président ukrainien a répété sa défiance à l’égard de son grand voisin. L’Ukraine ne fait pas «confiance» à la Russie au sujet d’une trêve, a redit le dirigeant, qui a par ailleurs confirmé prendre «très au sérieux» l’accord conclu la veille. Une méfiance qui s’exprime après que le porte-parole du Kremlin a fait savoir que Moscou attendait d’être instruit de l’entièreté de la proposition avant de se positionner.