La veille

Les deux incendies dévastateurs à Los Angeles ont été déclarés totalement circonscrits par les pompiers vendredi,...

Une analyse rendue publique ce mardi 28 janvier par un réseau de scientifiques internationaux, World Weather Attribution (WWA), confirme que le changement climatique a notamment contribué à retarder la saison des pluies.

Donald Trump s'est rendu vendredi dans des zones sinistrées de Californie et de Caroline du Nord, en utilisant son premier déplacement présidentiel pour transformer l'aide fédérale aux catastrophes naturelles en objet de marchandage politique.

C'est toute la question qui agite la mégapole américaine, où le nouveau président doit venir constater les dégâts vendredi.

Les flammes ravagent depuis mercredi le nord de Los Angeles et se propagent à grande vitesse, provoquant des milliers d’ordres d’évacuation dans une région déjà ébranlée par des feux dévastateurs.

Les pompiers, aidés d’avions et de bulldozers, combattent le feu près du lac Castaic, à 50 kilomètres de Los Angeles, malgré des vents d’une force inquiétante dans la région.

Le coup de fouet hydroclimatique désigne l'alternance entre un temps abondamment humide et un temps extrêmement sec.

A Los Angeles, l’un des lieux où s’est forgé l’imaginaire de la puissance du système capitaliste, les incendies mettent en évidence la question de l’habitabilité de la planète, menacée par l’expansion urbaine sans limite, souligne le géographe dans une tribune au « Monde ».

Climatologue, Peter Kalmus a vécu 14 ans près de Los Angeles, avant de partir face aux risques croissants d’incendies. Son ancienne maison vient d’être détruite. Il raconte sa colère, car « les feux n'étaient pas une fatalité ».

Los Angeles ravagé par les flammes : des images apocalyptiques qui emplissent nos écrans et sidèrent le monde entier depuis une semaine. Mais faut-il tout reconstruire ? Peut-on vraiment «s’adapter» au changement climatique ?

Des vents chauds et puissants continuent de souffler mercredi et d'attiser les flammes à Los Angeles. Selon les derniers bilans, ces feux ont fait au moins 25 morts en une semaine.

La facture des incendies en Californie pourrait atteindre 4% du PIB de l'Etat, et renforcer le risque d'inassurabilité des habitations.

La mégapole californienne se prépare au retour de vents violents menaçant d’attiser les incendies qui laissent des scènes de désolation et ont désormais fait 24 morts, selon un nouveau bilan communiqué dimanche 12 janvier au soir.

Les pompiers luttent depuis la soirée du mardi 7 janvier contre plusieurs incendies dans le comté de Los Angeles, qui ont fait au moins vingt-quatre morts. Dans la soirée du dimanche 12 janvier, les deux principaux feux, le Palisades Fire et l’Eaton fire, étaient loin d’être contenus.

L’Etat américain ne permet pas aux assureurs d’ajuster librement leurs primes dans une région qui est la proie des flammes et des tremblements de terre. Résultat, les compagnies ont plié bagage, laissant de nombreux résidents sans assurance habitation.

Alors que les feux ont poussé près de 150 000 personnes hors de chez elle, les propriétaires profitent de l’arrivée sur le marché de ces milliers de personnes désespérées pour se faire des marges folles – et illégales.

Malgré les efforts de milliers de pompiers à pied d'œuvre, les incendies monstres qui font rage à Los Angeles depuis cinq jours, continuent de s'étendre. Un nouveau bilan fait désormais état d'au moins 16 morts en Californie, alors que les flammes menacent désormais la vallée densément peuplée de San Fernando.

Le bilan humain des incendies qui ravagent depuis mardi la mégapole californienne s’est alourdi samedi, s’élevant désormais à seize morts. Alors que le brasier continue à s’étendre, la grogne contre les autorités, accusées d’incurie dans la gestion de la catastrophe, s’intensifie.

Les multiples incendies qui font rage à Los Angeles depuis ce mardi 8 janvier 2025 ont fait au moins 16 morts, et se sont étendu samedi à des zones jusqu'à présent épargnées.

Le gouverneur démocrate de Californie a qualifié de « profondément perturbants » le manque d’approvisionnement en eau et la perte de pression aux bouches d’incendie survenus dans les premières heures des feux. Il a demandé « un examen indépendant complet ».