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bilan
Depuis trente ans, l’écologie mondiale a eu un visage, celui du changement climatique. Mais il est temps d’élargir notre regard.
À moins d'un mois de la COP30 à Belém, ville portuaire d'Amazonie, Lula affiche un bilan climatique encourageant. Depuis son retour au pouvoir en janvier 2023, le président brésilien a fait de la protection de l'environnement l'une de ses priorités : il a ralenti la destruction de la forêt amazonienne, relancé le Fonds Amazonie ou encore créé un ministère des Peuples indigènes.
D’importantes précipitations ont frappé l’est et le centre du pays jeudi. La présidente du Mexique a ordonné le déploiement de 10 000 militaires pour aider les services de secours.
Journaliste et écrivain franco-libanais né en 1983, Nabil Wakim compte parmi les journalistes marquants qui abordent rigoureusement et frontalement les questions énergie / climat. Reporter puis rédacteur au Monde depuis plus de vingt ans, animateur du podcast Chaleur Humaine, il a couvert tour à tour la politique, les médias, les questions de société, avant de devenir l’un des principaux relais du débat climatique en France. Engagé pour la diversité, critique des élites et du système médiatique, défenseur de la liberté d’expression et d’une laïcité inclusive, Nabil Wakim s’est imposé comme une figure singulière : à la fois journaliste, mais aussi véritable analyste. Il conserve néanmoins les pieds sur terre et utilise son regard en tant que citoyen concerné par l’effondrement écologique et social en cours et à venir. Dans cet épisode, il revient sur son parcours, ses prises de conscience, et sa manière de concevoir le rôle du journalisme au temps des limites planétaires. Nous explorons avec lui les tensions e
Si cette mesure venait à être confirmée, la majorité des secteurs polluants ne seraient plus tenus de déclarer leurs émissions polluantes.
L'administration Trump envisage de lever l'obligation faite aux industries américaines les plus polluantes de calculer leurs émissions de gaz à effet de serre. Une mesure qui empêcherait de tenir pour responsables de leurs actions les entreprises au bilan carbone dévastateur – à commencer par celles du secteur pétrolier.
Alors que le pays lutte toujours contre les feux, qui mobilisent 2 600 pompiers, les critiques sur la gestion des incendies s’intensifient et l’opposition réclame des explications au gouvernement.
De nouvelles pluies torrentielles ont frappé, lundi, la région montagneuse du Khyber-Pakhtunkhwa, à la frontière afghane. En cinq jours, la mousson a fait plus de 350 morts et des centaines de disparus. Les autorités redoutent une aggravation de la situation dans les prochaines semaines.
Ces deux derniers jours, les pluies diluviennes les plus meurtrières ont eu lieu dans différents districts de la province montagneuse du Khyber Pakhtunkhwa. Les secours tentent de recouvrer les corps encore ensevelis dans les décombres.
La Grèce, le Portugal et l’Espagne luttaient toujours contre de violents incendies mercredi, tandis que la situation s’améliorait en France et en Italie, après que des dizaines de milliers d’hectares ont été ravagés ces derniers jours en Europe méridionale.
Une étude publiée dans le « Journal of the American Medical Association » estime que la surmortalité totale liée aux grands incendies inclue « des morts partiellement attribuables au phénomène ainsi que la mortalité indirecte provoquée par exemple par les perturbations du système de soin ».
Le bilan pourrait encore s’alourdir avec 12 personnes portées disparues après cinq jours d’averses intenses. La plupart des victimes ont été recensées dans le comté de Sancheong, comté rural de 33 000 habitants.
L'agence météorologique nationale et les autorités du comté de Kerr se reprochent mutuellement le défaut d'information qui a coûté la vie à plus de cent personnes.
Les recherches se poursuivent pour retrouver dix fillettes et un moniteur portés disparus. Le président Donald Trump dit avoir « signé une déclaration de catastrophe » et devrait se rendre sur place vendredi.
Le bilan provisoire des inondations qui se sont abattues sur le Texas ce week-end fait état de plus de 80 morts et de nombreux disparus. Si les alertes ont bien été émises, la coordination sur le terrain pour mettre à l'abri les citoyens semble avoir été défaillante. En cause, les coupes budgétaires de l'administration Trump au sein du Service météorologique national.
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