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Hamas

janvier 2025

Le pouvoir palestinien en Cisjordanie a ordonné le 1er janvier la suspension de la diffusion d’Al-Jazeera. Une décision qui intervient après que Ramallah a critiqué la couverture médiatique par la chaîne panarabe des opérations menée à Jénine contre des groupes armés proches du Hamas.
Plusieurs dizaines de personnes ont été tuées jeudi dans la bande de Gaza par des frappes israéliennes, dont le chef de la police du Hamas, Mahmoud Salah, et son adjoint Hussam Shahwan, a annoncé le porte-parole de la Défense civile.

décembre 2024

Un bébé de trois semaines est mort ce dimanche 29 décembre en raison du froid, ont annoncé les autorités sanitaires de l’enclave, alors que le dernier hôpital fonctionnel du nord de la bande a été bombardé et vidé.
Le président français Emmanuel Macron a annoncé mardi qu'il allait coprésider avec le prince héritier et dirigeant de facto de l'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane une conférence sur la création d'un Etat palestinien en juin 2025.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas et le Fatah, parti du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, se sont mis d'accord sur la formation d'un comité chargé d'administrer la bande de Gaza après la guerre, a appris mardi l'Agence France-Presse.

novembre 2024

Le ministère de la Santé du Hamas pour Gaza a averti vendredi que tous les hôpitaux du territoire palestinien devraient cesser ou réduire leurs activités "sous 48 heures" faute de carburant dont l'entrée est bloquée, selon lui, par les autorités israéliennes.

octobre 2024

Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a annoncé que la mort du chef du Hamas marquait « le début de la fin » de la guerre menée depuis plus d’un an dans la bande de Gaza.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a appelé dimanche le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, à mettre les Casques bleus de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) "à l'abri immédiatement".
Après onze mois de guerre d’usure, septembre 2024 a vu une nette intensification du conflit, qui semble désormais impliquer plus que jamais la plupart des alliés régionaux de l’Iran face à Israël.
« 7-Octobre, un an après. » Les mineurs, les femmes et les personnes de 60 ans et plus représentent plus de 60 % des 41 870 morts recensés par les autorités de santé de l’enclave palestinienne.
L’obstination du premier ministre de l’Etat hébreu et de ses alliés dans la guerre qu’ils mènent à Gaza et au Liban va à l’encontre des intérêts à long terme de son pays, explique l’historien israélien, dans une tribune au « Monde ».
En excluant les assaillants du décompte, autour de 1 200 personnes ont péri lors des attaques ou des suites de blessures infligées la journée du 7 Octobre. Une grande majorité étaient des civils.
Nonante-sept otages sont toujours retenus par le Hamas à Gaza. Et au moins une trentaine d’entre eux sont morts selon l’armée israélienne. Leurs familles se battent depuis un an, sans cesse, pour obtenir leur libération mais aussi pour maintenir l’attention des autorités sur le sort de leurs proches.
Israël a à nouveau bombardé vendredi la capitale libanaise ainsi que la principale route menant en Syrie. La ville de Tulkarem, en Cisjordanie, a également été visée. L’Iran affirme que ses alliés du Hezbollah et du Hamas ne reculeront pas.
France, États-Unis, Russie, ONU... La communauté internationale a condamné d'une seule voix mardi les tirs de missiles par l'Iran sur Israël. Seul le Hamas palestinien a salué une "vengeance pour nos martyrs héroïques".
Quelque 200 missiles auraient été lancés par Téhéran sur l’État hébreu, qui mène au Liban une guerre contre le Hezbollah, allié de l’Iran. L’attaque avait été annoncée par les services de renseignement américains plus tôt dans la journée.

septembre 2024

Le Hezbollah libanais a confirmé samedi, dans un communiqué, que son chef, Hassan Nasrallah, a été tué et s'est engagé à poursuivre la bataille contre Israël "en soutien à Gaza et à la Palestine". Pour l'heure, l'État hébreu et des soutiens du mouvement chiite ont notamment commenté l'assassinat du leader chiite. Les réactions de l'Occident se font bien plus discrètes.
Depuis le début de la guerre contre le Hamas à Gaza et le Hezbollah dans le Sud-Liban, l’armée israélienne a renforcé ses opérations de brouillage des télécommunications. Et notamment des signaux GPS qui permettent de guider les missiles et drones. Quitte à perturber profondément la vie quotidienne des Libanais et des Israéliens.
Un document, publié le 16 septembre égrène sur 649 pages la liste des morts identifiés au 31 août, et souligne le lourd tribut payé par les moins de 18 ans. En mai, les autorités israéliennes annonçaient quant à elles « la mort de 14 000 terroristes et de probablement 16 000 civils ».
La Défense civile de Gaza a fait état dans la nuit de lundi à mardi de la mort de 40 personnes dans une attaque israélienne sur la zone humanitaire d'Al-Mawasi à Khan Younès, Israël soulignant avoir visé un "centre de commandement" du Hamas.


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