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Le mouvement islamiste palestinien Hamas a prévenu ce samedi 2 août 2025 qu'il ne déposera pas les armes à moins qu'un État de Palestine indépendant soit officiellement établi. "La résistance et ses armes sont un droit légal tant que l'occupation (israélienne) se poursuit", a-t-il indiqué par voie de communiqué, précisant qu'il demandait en premier lieu "la création d'un État palestinien souverain et indépendant avec Jérusalem comme capitale".
Dans le sillage d’Emmanuel Macron, le Royaume-Uni, le Canada et le Portugal ont pris un engagement similaire, aggravant l’isolement du gouvernement israélien de Benyamin Nétanyahou.
Face au jusqu’au-boutisme israélien, la volonté de la France a le mérite de réintroduire de la politique alors que l’absence de toute perspective sert les extrêmes depuis des années. Mais rien ne garantit que le frémissement constaté porte ses fruits.
Lisbonne annonce ce jeudi 31 juillet que le Président et le Parlement seront consultés sur la question, emboîtant ainsi le pas de Paris, Londres et Ottawa.
La reconnaissance devrait intervenir en septembre à l’Assemblée générale de l’ONU, aux côtés de la France et du Royaume-Uni. Un changement de politique condamné vigoureusement par Israël.
La France et 14 nations occidentales ont lancé un "appel collectif" aux autres pays du monde à exprimer leur volonté de reconnaître un État de Palestine, a indiqué, mercredi, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Un appel lancé à l'issue d'une conférence ministérielle à l'ONU pour une solution à deux États pour sortir du conflit israélo-palestinien.
Mardi 29 juillet, le premier ministre britannique, Keir Starmer, a annoncé que le Royaume-Uni reconnaîtrait l’Etat de Palestine lors de la prochaine Assemblée générale de l’ONU, en septembre. D’autres Etats comme le Canada, l’Australie et le Portugal pourraient suivre. Une « dynamique » dont Paris se félicite.
Le Premier ministre britannique Keir Starmer a déclaré que le Royaume-Uni reconnaîtra en septembre l’État de la Palestine… à moins que le gouvernement israélien de Benjamin Netanyahou ne prenne des mesures substantielles pour mettre fin à la "situation épouvantable" dans la bande de Gaza et réponde à d’autres conditions. Israël a directement rejeté l'annonce britannique.
C'est ce qu'a annoncé mardi le Premier ministre britannique.
Poussée par la France et l’Arabie saoudite, l’ONU se penche à partir de lundi sur l’avenir menacé de la solution à deux Etats, israélien et palestinien, au moment où la pression internationale sur Israël s’intensifie pour mettre un terme à la guerre à Gaza.
La conférence convoquée lundi par l'Assemblée générale des Nations unies et coprésidée par la France et l'Arabie saoudite espère enclencher une dynamique pour la reconnaissance de l'État de Palestine. Cette réunion intervient alors que "la perspective de l'existence" d'un tel État "n'a jamais été aussi menacée", selon le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot.
A travers une carte et des images satellites, « le Monde » montre le quotidien des 2,1 millions de Gazaouis, réduits à vivre dans les trois zones, fragmentées, de l’enclave qui ne sont pas soumises aux ordres d’évacuation ou à la présence militaire israélienne.
Le Hamas "doit abandonner le contrôle" de la bande de Gaza et rendre les armes, a plaidé lundi le Premier ministre palestinien Mohammad Mustafa à la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU.
Des soldats israéliens sont montés samedi à bord du Handala, un bateau exploité par le mouvement propalestinien "Flottille pour la liberté" qui se dirigeait vers Gaza, pour en prendre le contrôle selon une retransmission en direct diffusée par le groupe.
Alors qu’Emmanuel Macron vient d’annoncer que la France allait reconnaître l’Etat de Palestine en septembre - comme 148 pays de l’ONU avant lui - «Libération» retrace la chronologie des évènements.
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