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RDC
L’exploitation artisanale et industrielle des minerais pour les technologies et la transition énergétique, le cobalt et le cuivre, expose des femmes à des risques pour leur santé reproductive en République Démocratique du Congo. Des cas de malformations congénitales des fœtus, des enfants morts avant la naissance ou juste après avoir vu le jour, ainsi que des infections génitales se multiplient.
Entre 2018 et 2023, la production du cobalt en RDC est passée de 104.000 tonnes à 170.000. Soit, une augmentation de 63%, due à l’accélération de l’exploitation de ce minerai stratégique pour la transition énergétique mais nuisible à l’environnement et à la santé de la reproduction. A Musonoï, un quartier de l’Ouest de la ville de Kolwezi, les femmes sont les plus exposées. Des cas d’avortements, de fausses couches et, même, de malformations congénitales y sont de plus en plus fréquents.
Deux mois après la déclaration d’urgence de l’Organisation mondiale de la santé, l’épicentre de l’épidémie vient d’obtenir les premières doses de vaccin, alors que la maladie sévit en République démocratique du Congo depuis cinquante ans.
Des turbines bloquées par des nappes de déchets en plastique : dans la grande centrale hydroélectrique alimentant l'est de la République démocratique du Congo (RDC), la production d'électricité est partiellement coupée, à cause de montagnes de détritus charriés sur l'eau par les pluies.
Alors que 511 personnes sont mortes dans le pays depuis le début de l’année, une nouvelle souche, transmissible entre humains, notamment par des rapports sexuels, se diffuse dans les pays voisins.
Le séquençage de virus de la Mpox (naguère appelée variole du singe) provenant de personnes infectées en Ouganda et au Kenya a confirmé qu’il s’agissait de la même souche que celle qui circule en République démocratique du Congo. Elle est plus létale que celle qui a provoqué une épidémie mondiale en 2022.
L’Organisation Mondiale de la Santé est inquiète, elle estime même que c’est une menace pour la santé mondiale : les cas de variole du singe, aussi appelée MPOX, augmentent de manière exponentielle en République démocratique du Congo. Une nouvelle souche plus dangereuse a déjà fait plusieurs centaines de victimes dans le pays.
Partis de Besançon le 22 juin, des militants de l’association Génération lumière ont rallié Strasbourg à pied pour sensibiliser l’opinion aux conséquences de l’extractivisme minier en République démocratique du Congo. Strasbourg (Bas-Rhin), reportage « Est-ce que vous pouvez me dire ce que c’est que l’extractivisme ? Parce que moi je ne connais pas du tout… » Sur le parvis de la gare de Strasbourg, l’atelier pancartes de la marche pour la paix en République démocratique du Congo (RDC) interpelle les passants. (...)
En un an, le nombre de cas de variole du singe a triplé en République démocratique du Congo. Le virus y a causé 300 décès depuis le début de l’année, notamment dans l’Est.
Alertant sur une "catastrophe humanitaire", des agences de l'ONU lancent vendredi un appel d'urgence pour l'est de la République démocratique du Congo, en proie à une rébellion qui, selon des sources locales, a encore fait la veille au moins trois morts civils, une mère et ses deux enfants.
La République démocratique du Congo (RDC) et le Groupement des entreprises chinoises (GEC) ont trouvé un accord amendant le contrat minier de 2008 unissant la RDC au consortium chinois. Les deux parties ont convenu d'attribuer 55% des bénéfices à la partie congolaise et 45% à la partie chinoise, a appris l'agence congolaise de presse (ACP, officielle) de sources officielles lundi.
Depuis près d’un mois, la RDC est submergée. Le fleuve qui traverse le pays et ses affluents ont inondé les deux tiers du territoire, lors d’une crue qualifiée d’exceptionnelle. Derrière cette catastrophe qui a fait des centaines de victimes, le changement climatique mais aussi la déforestation sont pointés du doigt par les scientifiques et les autorités locales.
Des pluies diluviennes ont fait au moins 22 morts et causé d'importants dégâts matériels mardi à Kananga, chef-lieu du Kasaï-Central, dans le centre de la République démocratique du Congo, selon un bilan provisoire communiqué par les autorités de la province.
La République démocratique du Congo a signalé « plus de 13 000 cas suspects » de variole du singe cette année, et plus de 600 personnes en sont mortes.
L’Organisation mondiale de la santé mène une mission d’évaluation de l’activité du virus qui se répand notamment à Kinshasa et dans l’est de la République démocratique du Congo.
En République démocratique du Congo (RDC), l’expansion de mines industrielles de cobalt et de cuivre a entraîné l’expulsion forcée de populations entières et d’autres graves atteintes aux droits humains, notamment des agressions sexuelles, des incendies volontaires et des violences.
En République démocratique du Congo (RDC), l’expansion de mines industrielles de cobalt et de cuivre a entraîné l’expulsion forcée de populations entières et d’autres graves atteintes aux droits humains, notamment des agressions sexuelles, des incendies volontaires et des violences.
Capitale mondiale du cobalt, le chef-lieu de la province de Lualaba n’en finit pas d’être grignoté par l’exploitation industrielle du minerai, aux mains d’une entreprise chinoise.
Plus de 400 personnes sont mortes après des pluies diluviennes dans des villages du territoire de Kalehe dans la province du Sud-Kivu.
Au moins dix personnes sont mortes dans un nouveau glissement de terrain survenu après une forte pluie dans la nuit de mardi à mercredi dans une zone enclavée de l’est de la République démocratique du Congo, a-t-on appris de sources locales.