– Outil de recherche de références documentaires –
Recherche : Articles Audio – podcast Fiches Livres Sites Vidéos retour Veille
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.
Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Résultats pour:
Sibérie
Entre 1991 et 2024, le trou gigantesque perdu en Russie a plus que triplé de taille.
Nombreux points sur le globe connaissent depuis plusieurs semaines des vagues de chaleur extrêmes accompagnées d’incendies difficilement contrôlables. Des situations appelées à se multiplier.
Les cratères explosifs géants de Sibérie déconcertent les scientifiques depuis leur découverte. Une nouvelle explication solide appelée « l’effet bouchon de champagne » a été proposée, offrant peut-être l'éclairage tant attendu sur ce mystère arctique.
Les explosions souterraines qui laissent place à d'énormes trous, qui ponctuent le nord de la Sibérie, participent au cycle infernal du réchauffement climatique, alerte une nouvelle étude.
Trop chaud pour hiverner. Des ours bruns ont été aperçus errant et "à moitié endormis" fin novembre en Sibérie, alors qu’ils devraient être depuis bien longtemps endormis. Mais quelle est la raison de ce vagabondage ? Selon les scientifiques, ces pérégrinations inopportunes seraient dues aux températures anormalement élevées relevées dans la région cet automne empêchant ces plantigrades d’hiverner.
Des ours ont été aperçus errant dans un état second en Sibérie, en raison d'une perturbation de leur cycle d’hibernation provoquée par des températures anormalement chaudes.
Et si la Russie bombardait… la Russie ? Et pas avec n’importe quelle arme, puisque la proposition suggère d’utiliser une bombe thermonucléaire au-dessus de la Sibérie. Elle a été émise lundi 2 octobre par Margarita Simonian, la reine de la propagande russe et patronne de la chaîne d’information RT. Une idée qui n’a pas manqué d’entraîner depuis lors des réactions plus que mitigées de Moscou à Novossibirsk, la plus importante ville de Sibérie.
Le tracé du gigantesque gazoduc Force de Sibérie 2, censé faire transiter à terme 50 milliards de mètres de cubes de gaz de la Russie vers la Chine, sera bientôt finalisé pour sa partie russe, a annoncé mercredi le vice-Premier ministre en charge de l'Energie."(Il) est dans sa phase finale", a indiqué Alexandre Novak dans un entretien à la revue russe Energy Policy.
L’été n’est attendu que dans quelques jours sous nos latitudes et pourtant, les températures dépassent déjà les valeurs de saison, comme le confirmait il y a quelques jours Pascal Mormal, météorologue à l’IRM (Institut royal de météorologie) dans l’émission QR. Et cela n’a rien de normal, ajoutait-il. En Europe, au sud par exemple, il fait aussi très chaud, en France, au Portugal, sans oublier le sud de l’Espagne où ce vendredi on a enregistré 39.9 °C à Almonte.
Alors que les incendies ravagent toujours une partie des forêts canadiennes, la Sibérie, cette région du nord-est de la Russie, suffoque quant à elle sous des chaleurs inédites. Début juin, le mercure a dépassé plusieurs fois les 40°C. Une mauvaise nouvelle pour la planète, mais une aubaine pour la Russie.
Depuis début juin, la Sibérie est confrontée à des températures records : le 3 juin, la ville de Kourgan située à l’est de Moscou, près de la frontière avec le Kazakhstan, voyait son thermomètre monter à 38,3 °C. « L’histoire climatique mondiale écrit une nouvelle page incroyable aujourd’hui avec une vague de chaleur extrême en Sibérie », écrivait alors sur Twitter le climatologue Maximiliano Herrera, qui suit les records de températures à travers le monde. Depuis, les records tombent les uns après les autres. Le 7 juin, on relevait 40,1 °C dans la ville de Kljuci, 39,5 °C à Rubcovsk, 39 °C à Volchiha et 38,5 °C à Alejskaja.
Cette immense région de Russie est en proie à des chaleurs caniculaires. Le mercure a dépassé les 40°C début juin, accentuant un peu plus les risques d’incendies et accélérant la fonte du pergélisol, bombe à retardement pour le climat.
À Iakoutsk, en Sibérie, les températures ont atteint -62,7 degrés cette semaine.
Les températures de l’Eurasie ont atteint, ce début de janvier, des valeurs exceptionnellement froides, avec des anomalies jusqu’à -30°c avec les moyennes. Un épiphénomène qui ne remet pas en cause le réchauffement global de la planète.
Un virus a été réveillé en laboratoire après 50 000 ans passés dans le permafrost sibérien. Un phénomène qui peut se produire dans la nature suite au réchauffement climatique. Qu’en sait la science ?
Le président russe Vladimir Poutine a officiellement lancé mercredi l'exploitation du champ gazier de Kovykta, un vaste gisement situé en Sibérie qui doit permettre d'augmenter les exportations vers la Chine en pleine crise entre Moscou et les Occidentaux."Nous lançons le champ de Kovykta, le plus grand de Sibérie orientale (...) Commencez le travail", a déclaré M. Poutine lors d'une cérémonie retransmise par visioconférence en direct à la télévision.
Après plusieurs dizaines de milliers d’années de sommeil, des virus dits « zombies » sont revenus à la vie grâce au dégel du pergélisol de la Sibérie. Cette résurrection s’est faite dans le cadre de travaux menés par des microbiologistes. Or, il ne s’agit pas vraiment d’une bonne nouvelle.
La Sibérie connaît chaque été une saison des incendies. Toutefois, les brasiers survenus ces dernières années ont atteint des proportions exceptionnelles, les plaçant dans la catégorie des méga-feux. Dans quelle mesure le réchauffement climatique a-t-il contribué à leur apparition ? C’est la question posée par des chercheurs dans une étude parue dans Science ce 3 novembre.
Il s’est avéré que l’île perdait des gaz à effet de serre à un rythme alarmant. En fait, l’air s’échappant du sol contenait 100 fois plus de méthane et 25 fois plus de dioxyde de carbone, les deux gaz à effet de serre de loin les plus dévastateurs pour l’environnement.
Depuis le mois de mars, des incendies gigantesques ravagent la région russe et battent déjà des records historiques. Combattre les flammes devrait être encore plus difficile cette année, tant les ressources économiques et humaines du pays sont consacrées à la guerre en Ukraine.