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A une semaine du sommet de l’ONU sur les océans, la ministre de la Transition écologique a écrit à ses homologues pour les inviter à faire pression sur deux compagnies d’extraction minière, The Metals Company et Allseas, qui veulent s’allier avec les Etats-Unis de Donald Trump.
Excalibur fait partie du projet triennal Project Cetus, une initiative stratégique britannique visant à intégrer la robotisation dans la guerre sous-marine, domaine longtemps réservé aux sous-marins habités classiques.
Le 27 mai 2025, dans le port militaire de Cherbourg, un géant silencieux a été mis à l’eau. Son nom : De Grasse. Ce n’est pas seulement un sous-marin nucléaire d’attaque de plus — c’est le dernier-né d’un programme de 10 milliards d’euros qui redéfinit la puissance navale française pour les décennies à venir. Ce lancement marque une étape majeure dans la modernisation de la flotte française, mais aussi dans l’équilibre stratégique des forces sous-marines au sein de l’OTAN.
À l’ère des tensions croissantes sous les mers, la Royal Navy britannique mise sur l’intelligence artificielle pour surveiller les profondeurs. Son nouveau système baptisé Lura, conçu pour traquer les sous-marins ennemis, promet une révolution dans la guerre sous-marine. Et le tout… sans torpilles ni humains à bord.
Invité à débattre sur les «défis de la France» dans une émission diffusée mardi soir sur TF1, Emmanuel Macron a été brièvement questionné sur l’écologie. Une très courte séquence, que Vert vous résume.
Les gigantesques feux de forêt qui ont ravagé l’Australie à la fin 2019 ont eu des répercussions jusqu’à l’autre bout de l’océan Austral, à des milliers de kilomètres plus à l’est. C’est la conclusion d’une étude inédite dirigée par l’université américaine Duke et publiée le 15 septembre dans la revue Nature.
La notion de « transition énergétique » a été dévoyée, estime l’historien des sciences Jean-Baptiste Fressoz. Il explique pourquoi charbon et pétrole n’ont jamais remplacé le bois. Et que la lutte contre le changement climatique doit se fonder sur des techniques disponibles et bon marché.
L’océan, vaste et souvent silencieux, devient progressivement un terrain de jeu pour les technologies militaires les plus avancées. Parmi les innovations qui façonnent la guerre navale du futur, les drones sous-marins (ou véhicules sous-marins autonomes – VSA) figurent en tête de liste. Ces appareils furtifs et autonomes pourraient bien redéfinir l’équilibre des forces en mer, au point de rendre obsolètes certaines tactiques navales traditionnelles. Bien plus qu’un simple gadget technologique, ces drones représentent une véritable révolution stratégique qui pourrait bouleverser la manière dont les nations se préparent et se battent en mer.
La Chine vient de franchir un nouveau cap dans sa course à la suprématie maritime avec la mise en service opérationnelle de sa deuxième frégate de type 054B. Baptisée Qinzhou (numéro de coque 555), cette nouvelle unité n’est pas un simple ajout à la flotte : c’est une plateforme technologique avancée, conçue pour la guerre moderne, et en particulier pour la traque des sous-marins nucléaires américains qui sillonnent les océans.
Have you ever thought about what would happen if all life in the ocean disappeared? A recent study explores this extreme scenario to understand how ocean biology shapes the past, present, and future climate. The ocean plays a critical role in regulating Earth's climate. It is a massive carbon store that absorbs about 25% of human-caused emissions and thus helps maintain a relatively low CO2 level in the atmosphere. But what would happen if all marine life—from the tiniest plankton to the largest whales—disappeared? A recent study delves into this extreme scenario to uncover the crucial role that ocean biology plays in mitigating climate change.
Alors que l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM) a pris du retard sur l'adoption d'un code minier, Donald Trump et le Canadien The Metals Company se sont engouffrés dans la brèche pour lancer la toute première exploitation commerciale minière en fonds marins, au détriment des impacts environnementaux.
Alors que la société canadienne The Metals Company et les Etats-Unis s’allient en vue d’extraire des minerais des grands fonds océaniques, les experts avertissent sur les quantités exploitables limitées, le coût et les risques de la production.
Jeudi dernier, le président américain a annoncé lancer l’extraction à grande échelle des métaux présents dans les profondeurs de l’océan, y compris dans les eaux internationales. Une première mondiale qui chamboule le droit de la mer et relance le bras de fer diplomatique sur la préservation de ces écosystèmes uniques au monde.
Des ONG environnementales déposent plainte ce mardi auprès de la Commission européenne. Plusieurs pays européens continuent à pratiquer le chalutage de fond dans des zones marines censées être protégées.
Figure de la lutte internationale pour la défense des océans, Anne-Sophie Roux revient pour Vert sur le décret signé jeudi dernier par Donald Trump visant à lancer l’exploitation commerciale des fonds marins dans les eaux internationales.
Au moment où de plus en plus d'États se montrent en faveur d'un moratoire sur l'exploitation minière des grands fonds marins, la société canadienne The Metals Company a annoncé mardi avoir déposé une première demande d'exploitation minière des fonds marins auprès des États-Unis. Son objectif : aller puiser du cuivre, du zinc et autres minéraux dans les profondeurs du Pacifique.
Cinq collectifs ont saisi la Commission européenne, mardi 29 avril. Elles accusent la France, l’Italie et l’Allemagne de manquer à leur devoir de sauvegarder quinze écosystèmes marins, en violation d’une directive européenne datant de 1992.
Donald Trump a signé un décret autorisant le démarrage d’extraction minière dans les eaux internationales, violant tous les traités en cours.
Le président américain a signé un décret pour augmenter l’extraction de minerais au-delà des juridictions américaines, ce qui remet en question les compétences de l’Autorité internationale des fonds marins.
Le président américain voit dans les fonds marins une opportunité de devancer son adversaire chinois ainsi qu’une mine d’or financière. Un coup de force juridique aux conséquences extrêmement graves pour la biodiversité marine.
En l’espace de quelques jours, l’administration Trump a proposé d’assouplir la définition du "mal" fait aux espèces en voie d’extinction pour octroyer plus facilement des permis de forage et a réautorisé la pêche commerciale dans un sanctuaire marin de l’océan Pacifique. Deux mesures perçues par les scientifiques et les associations environnementales comme une "attaque contre le patrimoine".
Créé par George W. Bush et étendu par Barack Obama, le sanctuaire abrite des récifs coralliens vierges et des espèces en danger.
Alors que l’extraction de ressources y était jusqu’ici interdite depuis 25 ans, le président américain a signé un décret jeudi 17 avril pour permettre à nouveau la pêche commerciale dans un écosystème au milieu du Pacifique, qui est l’un des plus vulnérables au monde.
Selon Greenpeace et des chercheurs du CNRS qui publient un rapport ce mercredi 9 avril, atteindre 10 % d’aires marines réellement protégées en France métropolitaine ne devrait pas constituer un coût insurmontable pour la pêche. Au contraire, les professionnels pourraient en bénéficier à long terme.
Et si, après avoir déréglé le climat jusqu'à menacer l'habitabilité de notre planète, nous entreprenions d'en prendre le contrôle ? Et si, plutôt que de changer nos habitudes, de s'en prendre frontalement aux intérêts fossiles, nous poussions encore plus loin notre « aménagement » du système Terre?
Au moment où de plus en plus d'États se montrent en faveur d'un moratoire sur l'exploitation minière des grands fonds marins, la société canadienne The Metals Company a annoncé vouloir s'allier aux États-Unis pour puiser du cuivre, du zinc et autres minéraux dans les profondeurs du Pacifique.
Grondstoffen zijn een erg gevoelig thema. Het gaat over bedrijfswinsten, mensenrechten, milieuschade, corruptie en levensonderhoud. Hoe mis het soms kan lopen werd bij de annulatie van een Docville-debat duidelijk.
La Chine fait une nouvelle avancée spectaculaire dans le domaine de l’exploration énergétique. La China National Offshore Oil Corporation (CNOOC) a récemment annoncé la découverte d’un gisement pétrolier colossal au large de la mer de Chine méridionale. Situé à 170 kilomètres au large de Shenzhen, dans la province du Guangdong, ce champ pétrolier, baptisé Huizhou 19-6, pourrait contenir jusqu’à 110 millions de tonnes de pétrole.
Des parlementaires de tous horizons politiques ont déposé des propositions de loi pour mieux protéger les aires marines protégées françaises. Celles-ci sont massivement exploitées par les chaluts industriels.
Alors que l’Autorité internationale des fonds marins prépare un code minier pour les planchers océaniques est réunie en conseil, The Metals Company menace de se lancer dans l’exploitation de ces milieux fragiles et méconnus en s’en remettant au droit américain. En vertu de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer, l’instance onusienne prépare depuis plus de dix ans le futur code minier qui devra, tout en préservant l’environnement, encadrer l’exploitation de « la zone », c’est-à-dire des fonds marins et océaniques et de leur sous-sol situés dans les eaux internationales. Une durée bien trop longue au goût de The Metals Company.
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