– Outil de recherche de références documentaires –
Recherche : Articles Audio – podcast Fiches Livres Sites Vidéos retour Veille
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.
Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Résultats pour:
ocusclimat focuscollaps
Le changement climatique rend plus probables les conditions météorologiques nécessaires à la propagation des incendies de forêt, selon le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Cette semaine, les dirigeants du monde se sont réunis à Bakou, en Azerbaïdjan, pour COP29 – le dernier cycle de négociations de l’ONU sur le climat. Et le Dr Goodall affirme qu’il est plus urgent que jamais d’agir pour ralentir le réchauffement de notre planète.
Hystérie, escroquerie, catastrophisme… Les mots ne manquent pas pour accabler ceux qui tentent d’alerter l’Humanité sur la possibilité d’un effondrement lié au climat. Pourtant, le réchauffement global pourrait nous faire entrer dans des zones d’incertitudes très importantes.
En 2051, il y aura beaucoup moins d'humains, les catastrophes y auront veillé. Le climat sera plus chaud qu'aujourd'hui. Les très grandes villes avec plusieurs millions d'habitants, ne seront plus fonctionnelles...
Human pressures have pushed the Earth system deep into the Anthropocene, threatening its stability, resilience and functioning. The Planetary Boundaries (PB) framework emerged against these threats, setting safe levels to the biophysical systems and processes that, with high likelihood, ensure life-supporting Holocene-like conditions. In this Review, we synthesize PB advancements, detailing its emergence and mainstreaming across scientific disciplines and society. The nine PBs capture the key functions regulating the Earth system. The safe operating space has been transgressed for six of these. PB science is essential to prevent further Earth system risks and has sparked new research on the precision of safe boundaries. Human development within planetary boundaries defines sustainable development, informing advances in social sciences. Each PB translates to a finite budget that the world must operate within, requiring strengthened global governance. The PB framework has been adopted by businesses and informed
Sans amertume, mais avec lucidité, notre chroniqueuse Corinne Morel Darleux réagit à la réélection de Donald Trump. « Car le jour où l'on cessera de voir la beauté du monde, alors il n’y aura plus aucune raison de continuer. »
If despair is the most unforgivable sin, then hope is surely the most abused virtue. That observation feels particularly apposite as we enter the Cop season, that time of United Nations megaconferences at the end of every year, when national leaders feel obliged to convince us the future will be better, despite growing evidence to the contrary.
À quel point le Monde est-il proche d’un changement climatique irréversible ? Les points de basculement critiques du système climatique sont les ombres au tableau lorsqu’il s’agit…
Ça y est, la bascule est en cours. Nous sommes entrés dans une phase grave, inimaginable et irréversible de notre présence humaine sur la planète.
Un rapport scientifique alerte sur l'aggravation critique de la crise climatique. Il souligne des records inquiétants pour 25 des 35 indicateurs suivis, dont les températures, émissions et déforestations.
Selon les chercheurs, les puits de carbone naturels sont au bord de l’effondrement, avec une baisse fulgurante de la capacité des sols, des océans et des forêts à absorber le dioxyde de carbone. À ce stade, le dérèglement climatique pourrait suivre un rythme beaucoup plus rapide que celui prédit par les modèles climatiques actuels.
Des émissions, des températures et une population record signifient que de plus en plus de scientifiques envisagent la possibilité d’un effondrement de la société, selon un rapport
Wetenschappers waarschuwen voor een "kritische en onvoorspelbare nieuwe fase van de klimaatcrisis”. Van de 35 ‘vitale functies van de planeet’ die de groep bestudeert, hebben vorig jaar 25 nieuwe records bereikt.
Des travaux de l’EPFL montrent que les modèles les plus pessimistes sont plus plausibles qu’on ne l’imaginait concernant le dérèglement climatique.
Les modèles les plus pessimistes d’évolution du climat sont plus plausibles qu’on ne l’imaginait. C’est la conclusions de scientifiques de l’EPFL qui ont développé un système de notation des simulations climatiques dans le dernier rapport du Groupe international des Experts sur le Climat GIEC. Ces travaux sont publiés dans Nature Communications.
Le World Wildlife Fund (WWF) a publié son nouveau rapport Planète vivante. L'ONG alerte notamment sur les populations de vertébrés sauvages qui se sont effondrées de 73% en moyenne en seulement 50 ans.
Le rapport 2024 sur l’état du climat souligne que la Terre est désormais au bord d’une catastrophe climatique irréversible. Sur les 35 signes vitaux planétaires identifiés et suivis de près chaque année par les chercheurs, 25 sont désormais aux niveaux les plus bas jamais enregistrés.
Une étude analyse les aspects irréversibles d’un dépassement de la limite la plus ambitieuse fixée par l’accord de Paris. Et rappelle l’urgence de réduire les émissions carbones maintenant plutôt que de miser sur d’hypothétiques technologies d’élimination du CO2 atmosphérique.
We are on the brink of an irreversible climate disaster. This is a global emergency beyond any doubt. Much of the very fabric of life on Earth is imperiled. We are stepping into a critical and unpredictable new phase of the climate crisis. For many years, scientists, including a group of more than 15,000, have sounded the alarm about the impending dangers of climate change driven by increasing greenhouse gas emissions and ecosystem change (Ripple et al. 2020).
Record emissions, temperatures and population mean more scientists are looking into possibility of societal collapse, report says
« Nous sommes au bord d’une catastrophe climatique irréversible. Il s’agit sans aucun doute d’une urgence mondiale. Une grande partie du tissu même de la vie sur Terre est en péril. » Les années passent et les alertes catastrophées des scientifiques s’empilent dramatiquement. Celle-ci est issue du Rapport sur l’état du climat 2024, publié dans la revue BioScience le 8 octobre par une équipe internationale de chercheurs, dirigée par l’université d’État de l’Oregon, aux États-Unis.
La députée écologiste et le rapporteur spécial de l’ONU sur les droits humains et l’extrême pauvreté rappellent, dans une tribune au « Monde », que la protection de la planète passe par la réduction des inégalités.
Une septième «limite planétaire» - l’acidification de l’océan -, est en passe d’être franchie, nous apprend l’Institut de Potsdam pour la recherche sur l'impact du climat, dans son dernier rapport.
Saitō Kōhei | Vers un communisme écologique ? Extrait du manifeste marxiste décroissant "Moins ! La décroissance est une philosophie"
Visiter les plus beaux lieux de la nature avant qu’ils ne disparaissent. À l’heure où les preuves du réchauffement climatique se font chaque jour plus évidentes, le "tourisme de la dernière chance", nouveau phénomène touristique, séduit de plus en plus de touristes. Rendu populaire par la fonte des glaciers, cette nouvelle forme de voyage n’est toutefois pas sans conséquences.
Artisans d’un devenir technologique qui façonne nos existences et structure nos sociétés, les ingénieurs sont aujourd’hui de plus en plus nombreux à ressentir de la dissonance cognitive. Quelque chose en eux sait que leur travail creuse le sillon de trajectoires insoutenables pour nos vies et pour la Terre. Pourquoi alors n’y a-t-il pas plus d’ingénieurs qui désertent ? C’est la question que je me propose d’élucider dans ce livre, en me plaçant dans une perspective résolument politique
Pendant deux siècles, l'homme a cru pouvoir dominer la Nature. Aujourd'hui, nous savons que nous allons devoir vivre en fonction de ses propres lois. C'est une époque unique dans l'histoire de l'Humanité qui est en passe de se terminer d'ici… 25 ans. Nous ne pouvons plus tergiverser. Il faut agir.
Réduire les émissions de gaz à effet de serre pour atteindre la neutralité carbone d'ici à la fin du siècle est essentiel pour assurer la stabilité de la planète à long terme et éviter des conséquences catastrophiques, mettent en garde des chercheurs dans une étude publiée jeudi.
En 2024, le jour du dépassement est le 1er août, selon l’ONG Global Footprint Network. A compter de cette date, l’humanité prélève plus de ressources que la planète ne peut générer en un an. Natacha Gondran répond à nos questions.
Aux bains des Pâquis à Genève.
Alors que depuis les temps modernes, l’horizon était clair, évident, la crise écologique bouscule notre capacité à imaginer l’avenir. Le futur, prédisant une Terre inhabitable, nous saute au visage. Le futur est-il en train de disparaître ?
Or, il y a des circonstances, par exemple, ce qu’on appelle la « capacité de charge d’une espèce par rapport à son environnement », qui font que quand on dépasse les limites et qu’on produit du réchauffement climatique, la montée des eaux des océans, la disparition des espèces animales : baisse de la biodiversité, ce qu’il faudrait dire aux gens sur comment on va arranger les affaires, c’est des choses que les gens n’ont pas envie d’entendre.
Traduction ... Le climatologue Wolfgang Knorr est une voix inhabituelle dans cette cacophonie, car il a dénoncé la science climatique elle-même et la manière dont elle est communiquée. Son point de vue n’a pas trouvé d’adeptes fortunés ni de plateformes grand public, et sa voix n’a donc pas été beaucoup entendue, c’est pourquoi je tiens à la porter à votre attention ici.
Si nous devions faire croître l’économie mondiale de 3 % par an, comme le prévoient la plupart des institutions et gouvernements, il faudrait donc 23 ans et des poussières pour que la taille du l’économie double. (70/3 = 23.33, je vous laisse vérifier). Dit comme ça, on ne voit pas le problème...
Mainstream media are ignoring a scientist who is whistleblowing the climate profession. During the five years since new kinds of activism brought the climate issue into the headlines like never before, the topic has more clearly become one where people respond due to their preexisting worldviews. It’s not just believers and sceptics, but there are those who think technology can save us, those who think it’s too late; those who think the science is clear, others who think it is open; those who believe humans will muddle through and those predicting human extinction. Climate scientists themselves now range from those emphasizing ‘we can do this’ to those that express their grief and outrage by gluing themselves to buildings. Meanwhile, misleading narratives are amplified by a variety of vested interests, including fossil fuels, nuclear, and clean tech. Climatologist Dr Wolfgang Knorr is an unusual voice in this cacophony because he has been ‘blowing the whistle’ on the climate science itself and how it is being
C’est la fin avérée d’un rêve et peut-être le début d’un cauchemar. L’idéologie du « tout ira mieux », sur fond de croissance illimitée et de ressources inépuisables, est aujourd’hui à l’agonie. Pourtant, on affirme encore qu’« aucune alternative n’est possible ». Plutôt que de s’y résigner, un groupe de citoyens a choisi de faire face avec lucidité. Leur devise : « Apprendre • Comprendre • Agir ». C’est ainsi que se sont créées les Rencontres Élisée Reclus dont le nom et le slogan s’inspirent de cette figure pionnière et majeure de l’écologie du XIXe siècle, soit quelqu’un qui avait vu juste, très tôt… L’objectif de ces Rencontres est de mettre en œuvre une dynamique d’action collective, un espace constructif d’information et de dialogue. Avec une approche systémique, c’est-à-dire intégrant l’ensemble de ses dimensions, il s’agit de prendre la mesure des défis globaux, d’identifier les racines du chaos social et environnemental auquel nous faisons face et d’élaborer des plans d’action.
Changement climatique, épuisement des ressources, armes extrêmes, IA, etc. : Richard Heinberg se penche sur les différentes menaces qui composent la convergence sans précédent des risques qui nous conduisent à une polycrise mondiale. Sans trouver de réponses faciles, il en vient à la conclusion que la survie collective de l’humanité exigera que nous mettions de côté notre orgueil et que nous nous accommodions des limites environnementales et sociales.
Mardi 4 juin 2024, 5 jours avant les méga-élections 2024, où nous pourrons choisir nos représentants politiques dans de nombreuses assemblées : Parlement wallon, Parlement bruxellois, Parlement flamand, Parlement fédéral, Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Communauté française de Belgique), Parlement européen, etc. Plus quelques spécificités institutionnelles belges comme le Sénat, les assemblées bruxelloises spécifiques et la Communauté germanophone.
L’effondrement des écosystèmes serait dangereux pour l’économie. Il peut se répercuter au niveau global. La forêt amazonienne, les tourbières tropicales et les mangroves contiennent actuellement environ 220 gigatonnes de carbone. Si elles sont perturbées, elles peuvent subir des changements incontrôlables qui feraient basculer l’écosystème vers une savane non boisée. Leur effondrement provoquerait des émissions de carbone équivalentes à environ 20 ans d’émissions mondiales de CO2 actuelles. Cela pourrait empêcher le maintien d’un climatique de moins d’ 1,5°C, et aurait de nombreuses conséquences directes.
Nous avons demandé à 380 climatologues de renom ce qu’ils pensaient de l’avenir… Ils sont terrifiés, mais déterminés à continuer à se battre. Exclusif : Une enquête menée auprès de centaines d’experts révèle une image terrifiante de l’avenir, mais ils préviennent que la lutte contre le changement climatique ne doit pas être abandonnée.
Oubliez l’optimisme des leaders politiques qui répètent que le réchauffement planétaire peut encore être limité à un seuil viable. L’inaction climatique et l’influence du lobby des énergies fossiles nous ont placés irrémédiablement sur la trajectoire d’un dérèglement catastrophique pour l’avenir de l’humanité. Ce constat pour le moins inquiétant se dégage d’une enquête inédite du réputé quotidien britannique The Guardian, qui a sondé 380 auteurs et collaborateurs du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) qui ont contribué aux rapports produits depuis 2018. Ces rapports constituent l’assise scientifique des négociations climatiques mondiales. Les résultats obtenus auprès des spécialistes du climat indiquent que 77 % d’entre eux estiment que le réchauffement au cours du présent siècle dépassera les 2,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Ce réchauffement est nettement plus élevé que l’objectif convenu dans le cadre de l’Accord de Paris. En vertu de cette entente adoptée par l’