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Intrusion, blocages, manifestations… Les représentant·es autochtones mettent une pression constante sur le 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat qui se déroule aux portes de l’Amazonie brésilienne. Leur porte-voix la plus charismatique, déjà célèbre au Brésil, a su braquer sur elle les caméras du monde entier et forcer le gouvernement brésilien à réagir. Vert l’a rencontrée.
Alors que les discussions patinent à la COP30, des milliers de militants autochtones et de la société civile ont marché dans les rues de Belém, au Brésil, pour crier leur désillusion.
Le «sommet des peuples» a transformé Belém, ville brésilienne hôte de la conférence mondiale sur le climat, en capitale internationale des luttes sociales. Les militant·es ont défendu un agenda alternatif et radical lors d’une marche historique. Vert y était.
Des manifestants autochtones d'Amazonie ont bloqué, vendredi, l'entrée principale de la COP30 de Belém, au Brésil, réclamant des progrès dans la démarcation de leurs terres et contestant des projets pétroliers dans la région.
Plusieurs milliers de personnes, notamment des représentants des peuples autochtones, ont défilé afin de faire pression sur les négociateurs de la conférence mondiale climat. Ils appellent à sortir des énergies fossiles et à stopper la déforestation
Mardi soir, des représentants amazoniens ont tenté de forcer l’entrée de la « zone bleue » des Nations unies. Les Etats devront répondre aux inquiétudes de ces « gardiens de la forêt », en première ligne des dégradations de l’environnement.
C'est la première COP organisée en Amazonie. Mais à Belém, mercredi, des autochtones brésiliens, dont le célèbre cacique Raoni, ont fait entendre leur frustration, estimant que leurs voix ne sont pas suffisamment prises en compte.
Des heurts ont eu lieu entre des militants autochtones brésiliens et les agents de sécurité de la conférence sur le climat de l’ONU à Belem, au Brésil.
Dans le sud du Texas, le développement du centre spatial SpaceX d’Elon Musk fait des ravages. La faune locale souffre durement de ce voisinage industriel et les tribus autochtones se sont vues chassées de leurs terres.
L’implantation du moustique tigre dans 81 départements métropolitains inquiète les autorités, qui redoutent une propagation accrue du chikungunya et d’autres maladies vectorielles cet automne.
Si plusieurs épisodes sont désormais clos, l’été 2025 est d’une ampleur inédite en métropole pour les cas autochtones de chikungunya, dont le virus se transmet par des piqûres de moustique tigre.
Le collectif Premières Nations Mamo organise des barrages routiers et tente de s’opposer à l’exploitation de la forêt boréale, facilitée par des nouvelles lois censées stimuler l’économie en pleine guerre commerciale avec les Etats-Unis.
Trente-trois cas autochtones de cette maladie tropicale caractérisée par de vives douleurs articulaires ont été identifiés dans un quartier du sud de la ville des Bouches-du-Rhône.
Deux malades ont été identifiés en Seine-Saint-Denis, ont fait savoir les autorités sanitaires ce mercredi 13 août, une première si haut dans le nord de la France. Ils s’ajoutent à cinq autres cas autochtones enregistrés dans le Sud cet été.
Moins de deux semaines après les deux premiers cas dans l’Hexagone, les deux nouvelles infections ont été détectées ce week-end dans la commune de Grosseto-Prugna (Corse-du-Sud), a fait savoir ce mardi 24 juin l’Agence régionale de santé.
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