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eaux usées
Un variant marocain de la rougeole a été détecté dans les eaux usées de Bruxelles, ressort-il d'une recherche menée par la KU Leuven. Il s'agit du génotype B3 du virus. [...] Le Maroc fait actuellement face à une épidémie de rougeole "historiquement importante". Plus de 25.000 cas ont été rapportés depuis la fin 2023 dans ce pays d'Afrique du Nord, avec environ 120 morts.
Le gouvernement a publié samedi un décret autorisant la réutilisation d'eaux usées au sein d'installations agricoles et industrielles classées et dans des sites nucléaires, dans le but de réduire la pression sur cette ressource. Le décret interministériel "permet l'utilisation d'eaux impropres à la consommation humaine pour certains usages domestiques, en remplacement de l'eau potable, lorsque la qualité de ces eaux n'a aucune influence, directe ou indirecte, sur la santé des usagers".
Les fabricants de médicaments estiment que d’autres secteurs industriels doivent contribuer aux coûts de traitement des polluants.
La consommation de kétamine a augmenté ces dernières années, tant dans les grandes villes qu'en zones rurales, ressort-il d'une étude du centre toxicologique de l'Université d'Anvers, publiée dans la revue Water Research. En une décennie, l'équipe de recherche a observé dans les eaux usées du nord du pays et de Bruxelles jusqu'à onze fois plus de résidus de cet anesthésiant détourné à des fins euphorisantes.
Changement climatique, pressions démographiques, inquiétudes sur la qualité de l’eau du robinet… Face à ces défis, comment garantir l’approvisionnement en eau et préserver les ressources ? Parmi les solutions : la réutilisation des eaux usées traitées (Reut).
Une étude de la VUB chiffre pour la première fois les concentrations de ce polluant dans la Senne, le canal, les égouts. En tête des microplastiques les plus fréquemment retrouvés ? Les fibres textiles.
Les épisodes de contamination de la Seine aux bactéries fécales montrent les limites du tout-à-l’égout, loin d’être une panacée sanitaire. Des solutions pour mieux confiner les pathogènes existent.
Montagnes d’ordures, étendues d’eaux usées… Des images prises dans la bande de Gaza témoignent des conditions sanitaires extrêmement difficiles au milieu desquelles vivent les habitants. L’analyse d’images satellite permet aussi de documenter la formation de décharges informelles mesurant plusieurs centaines de mètres de long. Dans un contexte de fortes chaleurs, qui favorisent la propagation des maladies, le risque d’épidémie de choléra est réel, selon Louise Wateridge, porte-parole de l’Unrwa.
La présence du virus responsable de la polio a été détectée dans plusieurs échantillons d'eaux usées de la bande de Gaza, a annoncé jeudi le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, dénonçant une "catastrophe sanitaire".
Le secteur alimentaire, très dépendant de l’eau, notamment pour laver les ingrédients et les installations, attendait avec impatience les nouvelles modalités encadrant les eaux recyclées ou réutilisées.
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