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TotalEnergies va augmenter sa production globale d'énergies jusqu'en 2030 tout en réduisant ses investissements, y compris dans les énergies bas carbone, et ses coûts opérationnels pour faire face à un environnement "incertain" dans un contexte de baisse des prix du pétrole. Le géant pétro-gazier français a annoncé lundi vouloir augmenter sa production de pétrole, gaz et électricité d'environ 4% par an jusqu'en 2030.
L'hashtag #IEA a publié cette semaine un rapport peu commenté mais aux enseignements majeurs, "The Implications of Oil and Gas Field Decline Rates" On y apprend notamment que 90% des investissements du secteur Oil and Gas servent à maintenir la production, face à un taux de déclin de plus en plus important. En 2025, le "déclin naturel" annuel des champs pétroliers représente 6 millions de barils/jour.
L'industrie française, souvent fortement émettrice de gaz à effet de serre, a consacré 3,1 milliards d'euros en 2023 à réduire son impact environnemental, dont 2,7 mds d'investissements, en progression de 16% sur 2022, selon l'Insee mardi. Cet effort d'investissment à été porté par plus de la moitié (54%) des 23.000 établissements industriels de 20 salariés ou plus présents en France, détaille l'Institut national de la statistique. L'année précédente, ces dépenses s'étaient déjà accrues de 11%. 400 millions d'euros supplémentaires ont par ailleurs été dépensés pour des études consacrées à leur impact environnemental, en vue d'un investissement futur ou non.
Donald Trump a annoncé mardi des investissements d'entreprises privées dans l'énergie et les infrastructures en Pennsylvanie, Etat industriel de l'est des Etats-Unis, au moment où le secteur de la tech est confronté aux besoins toujours croissants en électricité de l'intelligence artificielle (IA). En tout, plusieurs organisations vont injecter environ 92 milliards de dollars dans des projets de centres de données (36 milliards) et de sites de production d'énergie (56 milliards). Le secteur des technologies s'est jeté à corps perdu dans le développement de l'IA générative, mais craint que les besoins massifs en électricité ne puissent être satisfaits par l'infrastructure existante, en particulier aux Etats-Unis.
Les besoins en investissements pour la transition sont énormes, chiffrés dans le plan fédéral énergie-climat de 2023 à environ 60 milliards dans l’énergie et l’isolation des bâtiments, et 22 à 27 milliards pour la mobilité décarbonée d’ici 2030. Une grande partie de ces investissements nécessaires devrait être publique, y compris au niveau fédéral. Pourtant, l’accord Arizona se distingue par l’absence de nouveaux investissements publics dans ces domaines. Pire, il acte des coupes budgétaires importantes dans des secteurs vitaux.
Donald Trump se rend mardi en Pennsylvanie, Etat industriel de l'est des Etats-Unis, pour annoncer des investissements d'entreprises privées dans l'énergie et les infrastructures, au moment où le secteur de la tech est confronté aux besoins toujours croissants en électricité de l'intelligence artificielle. Le président américain fera cette annonce lors du premier Sommet sur l'énergie et l'innovation de Pennsylvanie à l'université Carnegie Mellon de Pittsburgh. Le secteur des technologies s'est jeté à corps perdu dans le développement de l'IA générative, mais craint que les besoins massifs en électricité ne puissent être satisfaits par l'infrastructure existante, en particulier aux Etats-Unis.
L'ONG Reclaim Finance appelle mardi des grandes caisses de retraite françaises à cesser d'investir dans le secteur des énergies fossiles car cela compromet selon elle l'avenir des cotisants en contribuant à exacerber le réchauffement climatique. Ces acteurs "doivent mettre fin à leur soutien à l'expansion des énergies fossiles", déclare Agathe Masson, spécialiste de la thématique des investissements responsables de Reclaim Finance, citée dans un communiqué de l'ONG.
Apple, Google, Microsoft, Meta et Amazon ont tous promis d'être neutres en carbone d'ici cinq ou 15 ans, mais ces engagements, formulés avant l'explosion de l'intelligence artificielle, manquent de crédibilité face à leur colossale consommation d'électricité, selon une étude publiée jeudi.
Les Emirats arabes unis, suivis par l’Arabie saoudite, ont placé l’IA au cœur de la stratégie de diversification de leur économie, afin de réduire leur dépendance au pétrole. Ils multiplient les investissements à l’étranger, notamment en France.
Les investissements dans l'énergie devraient s'élever à 3 300 milliards de dollars en 2025 en dépit des incertitudes économiques, la Chine consolidant sa place de premier investisseur mondial tandis que les énergies "propres" devraient capter deux fois plus de capitaux que les fossiles, selon un rapport de l'AIE publié jeudi.
Les investissements climatiques stagnent en Europe, a mis en garde l'Institut de l'économie pour le climat (I4CE) mardi à Bruxelles, dans une étude qui pointe le retard en matière d'éolien et de rénovation énergétique des bâtiments. Après plusieurs années de croissance soutenue, les investissements publics et privés favorables au climat dans l'UE sont passés de 491 milliards d'euros en 2022 à 498 milliards en 2023, selon ce rapport, soit une quasi-stagnation.
Lors de l’assemblée générale de TotalEnergies, le 23 mai, les dirigeants de la multinationale ont jugé « bénéfiques » leurs nouveaux investissements dans les hydrocarbures.
Le président américain a été reçu en grande pompe mardi par Mohammed Ben Salman, avec qui il a signé un « partenariat économique stratégique ». La Maison Blanche a estimé le montant total des investissements saoudiens à 600 milliards de dollars.
Une étude, publiée dans « Nature Climate Change », le 7 mai, quantifie, pour la première fois, à quel point la consommation et les investissements financiers contribuent à accroître les vagues de chaleur et les sécheresses.
Les dirigeants européens planchent sur des investissements militaires de 800 milliards d’euros pour faire face à une éventuelle menace russe. Cet objectif offre l’avantage d’un resserrement des liens entre pays, et permettra de remédier partiellement à la désindustrialisation, de stimuler l’innovation et de recycler les milliers d’emplois perdus notamment dans le secteur automobile. Pour avoir une armée compétitive, un ingrédient est essentiel : du Pétrole !
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