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religion
Vu de la France laïque, les États-Unis donnaient déjà beaucoup dans le religieux. Mais avec le second mandat de Trump, on dépasse le symbolique : les chrétiens nationalistes peuplent les lieux de pouvoir et dictent l’agenda politique.
Le deuxième mandat présidentiel de Donald Trump marque le retour en force de la religion aux États-Unis. Une montée en puissance en politique et dans l’espace public comme en témoignent les 65.000 personnes rassemblées dans le stade de Gendale en Arizona pour rendre hommage au "martyr" Charlie Kirk. Trump a séduit les électeurs évangéliques et une partie des chrétiens conservateurs. Il est soutenu par l’extrême droite antisémite mais aussi par la droite juive pro-israélienne, une "synthèse que seul Trump est capable de faire". Le 47e président américain a réussi à convaincre cet électorat malgré sa personnalité extravagante, éloignée des préceptes religieux. Calcul politique ? À n’en pas douter. Et depuis son investiture, le conservatisme religieux se déploie.
Les guerres sont souvent menées au nom de conceptions religieuses. Mais que disent vraiment les textes fondamentaux du christianisme, de l’islam et du judaïsme sur la guerre et ses justifications ?
C’est une question qui obnubile certains éditorialistes sur les plateaux télé : l’écologie serait-elle devenue une nouvelle forme de religion ? Pour y répondre, Vert a interrogé la philosophe Laurence Hansen-Love et la chercheuse en philosophie et en écologie politique Céline Marty.
ces politiques visent à transformer en profondeur l’État et la société. C’est tout particulièrement le cas en ce qui concerne la politique religieuse de la nouvelle administration, avec la création à la Maison Blanche d’un « bureau de la foi » (White House Faith Office (WHFO)), chargé de faire des recommandations au président et de consulter sur diverses questions des leaders religieux, qui a autorité sur l’octroi de subventions publiques aux institutions religieuses développant des activités sociales d’aide aux plus démunis.
Nous vivons en excès de production, de consommation. Notre économie du contentement produit ce dont nous n'avons pas vraiment besoin. Or, les dommages sont nombreux pour la planète, pour le règne des vivants, pour l'humanité en tant que famille humaine et pour le bien de chacun.
Les catholiques votent-ils davantage pour Les engagés (ex-cdH) ? Le MR reçoit-il un maximum de votes de professions...
Après son passage en France, le souverain pontife doit publier un nouveau texte évoquant la défense de la nature début octobre. Cette nouvelle prise de position intervient après un été marqué par des vagues de chaleur historiques.
le consensus qui semble a posteriori s’être imposé en faveur du « progrès » technique a incité plusieurs penseurs à diagnostiquer un transfert de sacralité des religions traditionnelles vers les technologies contemporaines. L’historien britannique Arnold J. Toynbee notait au milieu du siècle dernier combien « la technologie a pris la place de la Religion comme intérêt suprême et objet d’aspiration (1) ». Jacques Ellul creusait la même idée en affirmant dans les années 1970, alors que grandissaient de nombreux doutes à l’égard du système technique industriel, que « ce n’est pas la technique qui nous asservit mais le sacré transféré à la technique (2) ».
Dans L’Innovation, mais pour quoi faire ? Essai sur un mythe économique, social et managérial (Seuil, 2023), Franck Aggeri, professeur de management à l’école Mines ParisTech, propose une généalogie érudite de la culture de l’innovation, tout en invitant à renoncer à notre biais technosolutionniste pour être à la hauteur de l’urgence écologique.
Dans les deux pays africains qu'il a récemment visités, le Pape a partagé avec les jésuites locaux ses principales préoccupations la dérive guerrière du monde, et la nécessité d’une approche synodale pour la sauvegarde de l'environnement.
Dans un message signé le 20 août par Mgr Angelo Massafra, responsable de la section Sauvegarde de la Création, le Conseil des Conférences épiscopales d'Europe (CCEE) relance l'urgence d'une conversion des habitudes et des attitudes pour enrayer le désastre auquel la planète est confrontée en termes de pollution, d'incendies et de guerres.
La science se démarque d’autres discours de connaissance, comme la religion ou la politique, pour lesquels traquer et résorber les possibilités d’être dans le faux n'est pas pas une préoccupation constante.
La défense de la planète, c'est aussi une affaire de religion. Le Pape François et des dignitaires religieux de tous bords se sont réunis au Vatican pour faire entendre leur voix à l'approche de la COP26, la Conférence des Nations Unies sur le climat.
Dans le cadre du cycle "Chocs et effondrements : quels imaginaires, quelles résiliences ?", conférence d’ouverture qui interrogera les ressorts symboliques très anciens qui nourrissent voire déterminent largement les modes contemporains pluriels de mobilisation de scénarios d’effondrement : que signifient ces récits ? quel a été leur rôle sociétal ? Comment ont-ils dialogué dans l’histoire, d’une religion à l’autre ?
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