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Au coeur des sables du Karakoum au Turkménistan, de timides langues de feu lèchent les parois des "portes de l'Enfer". Après un demi-siècle de combustion, le cratère de Darvaza qui rejette du méthane, gaz accélérant le réchauffement climatique, doit enfin être éteint. […] D'après de rares rapports scientifiques, la part de Darvaza dans les immenses rejets de méthane du Turkménistan reste marginale, mais ce cratère est le symbole d'une catastrophe environnementale. […] Si les autorités turkmènes verrouillent toute information, des satellites ont révélé que le Turkménistan détenait en 2024 le record du monde du nombre de super-émissions de méthane (ou fuites massives), d'après l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
La Nasa va accélérer ses démarches pour installer un réacteur nucléaire sur la Lune d'ici à la fin de la décennie, a confirmé mardi l'agence spatiale à l'AFP, en pleine course à l'espace entre les Etats-Unis et ses rivaux russe et chinois. "Il est impératif que l'agence agisse rapidement", insiste l'administrateur par intérim de la Nasa, Sean Duffy, dans une directive relayée par plusieurs médias américain, dont Politico, et transmise mardi à l'AFP. "Depuis mars 2024, la Chine et la Russie ont annoncé à au moins trois reprises leur intention commune d'installer un réacteur sur la Lune d'ici le milieu des années 2030. Le premier pays à le faire pourrait potentiellement déclarer une zone d'exclusion, ce qui empêcherait considérablement les États-Unis d'établir la présence prévue dans le cadre du programme Artémis", poursuit-il.
"Nous utilisons un cerf-volant pour capturer le vent, et un générateur à sa base capte l'énergie", explique à l'AFP Padraic Doherty, de l'entreprise néerlandaise Kitepower à l'origine du projet. Un modèle de 60 mètres carrés vient d'être sorti d'un hangar sur le site d'essai de Bangor Erris, petite ville du comté de Mayo, ouvert en septembre 2023. Une équipe achemine l'engin jusqu'au générateur, avant de les relier à l'aide d'un câble. Le cerf-volant, doté d'un système de cordes et de poulies, s'envole dans les airs et agit comme un "yo-yo ou un moulinet de pêche", détaille Padraic Doherty. Il peut atteindre une altitude de 400 mètres, avant de redescendre à 190 mètres. Un mouvement répété qui confère une puissance de 40 kW au cerf-volant (modèle « Hawk »).
Le géant pétrolier britannique BP, qui a recentré sa stratégie sur les hydrocarbures, a annoncé lundi avoir décelé un gisement de gaz et de pétrole au large du Brésil, sa plus grande découverte "depuis 25 ans", à la veille de la présentation de ses résultats "Nous sommes ravis d'annoncer cette découverte significative (...) la plus grande réalisée par BP depuis 25 ans", a déclaré Gordon Birrell, vice-président exécutif de BP, dans un communiqué.
Une attaque de drones ukrainiens a provoqué un incendie sans faire de victime dans un dépôt pétrolier de Sotchi, cité balnéaire du sud-ouest de la Russie connue pour avoir accueilli les Jeux olympiques de 2014, ont indiqué les autorités locales dimanche. L'Ukraine frappe régulièrement les infrastructures pétrolières et gazières russes, en réponse aux attaques menées contre son propre territoire depuis le début de l'assaut russe d'ampleur en février 2022.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas a prévenu ce samedi 2 août 2025 qu'il ne déposera pas les armes à moins qu'un État de Palestine indépendant soit officiellement établi. "La résistance et ses armes sont un droit légal tant que l'occupation (israélienne) se poursuit", a-t-il indiqué par voie de communiqué, précisant qu'il demandait en premier lieu "la création d'un État palestinien souverain et indépendant avec Jérusalem comme capitale".
Dans le sillage d’Emmanuel Macron, le Royaume-Uni, le Canada et le Portugal ont pris un engagement similaire, aggravant l’isolement du gouvernement israélien de Benyamin Nétanyahou.
Face au jusqu’au-boutisme israélien, la volonté de la France a le mérite de réintroduire de la politique alors que l’absence de toute perspective sert les extrêmes depuis des années. Mais rien ne garantit que le frémissement constaté porte ses fruits.
Lisbonne annonce ce jeudi 31 juillet que le Président et le Parlement seront consultés sur la question, emboîtant ainsi le pas de Paris, Londres et Ottawa.
La reconnaissance devrait intervenir en septembre à l’Assemblée générale de l’ONU, aux côtés de la France et du Royaume-Uni. Un changement de politique condamné vigoureusement par Israël.
Le Parlement néo-zélandais a décidé jeudi d'autoriser la prospection offshore pour le gaz et le pétrole, revenant sur une interdiction mise en place par le gouvernement de Jacinda Ardern (2017-2023). Ce projet de loi adopté par le Parlement était fortement critiqué par des organisations de défense de l'environnement. Le ministre de l'Energie et des Ressources naturelles, Shane Jones, a affirmé que de nouvelles lois permettraient de stimuler l'investissement dans l'exploration de gisements pétroliers et contribueraient à atténuer les problèmes d'approvisionnement en énergie pendant l'hiver.
La France et 14 nations occidentales ont lancé un "appel collectif" aux autres pays du monde à exprimer leur volonté de reconnaître un État de Palestine, a indiqué, mercredi, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Un appel lancé à l'issue d'une conférence ministérielle à l'ONU pour une solution à deux États pour sortir du conflit israélo-palestinien.
La catastrophe qui a fait 230 000 morts en Asie du Sud-Est en décembre 2004 a déclenché une prise de conscience internationale. En deux décennies, les modèles se sont considérablement affinés et des systèmes d’alerte ont été mis au point.
Mardi 29 juillet, le premier ministre britannique, Keir Starmer, a annoncé que le Royaume-Uni reconnaîtrait l’Etat de Palestine lors de la prochaine Assemblée générale de l’ONU, en septembre. D’autres Etats comme le Canada, l’Australie et le Portugal pourraient suivre. Une « dynamique » dont Paris se félicite.
L'accord conclu entre Washington et Bruxelles prévoit que l'Union européenne achète pour 250 milliards de dollars par an d'énergies fossiles américaines sur 3 ans (soit 750 milliards de dollars au total), une promesse qui s'annonce difficile à tenir, voire qui est "irréaliste" selon des experts de l'énergie interrogés par l'AFP. En 2024, la facture totale des importations énergétiques de l'UE s'est élevée à 375 milliards d'euros, ou 435,5 milliards de dollars, ce qui signifie que l'Europe des 27 devrait désormais acheter aux États-Unis plus de la moitié de son énergie importée.
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