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Alors que le fascisme a pris le pouvoir aux États-Unis et que l’extrême droite prospère en Europe, notre planète continue de brûler et des millions de vies s’en retrouvent brisées. Pourtant, de plus en plus de responsables politiques font tout pour nous le faire oublier tout en jetant de l’huile sur le feu.
Salomé Saqué est une journaliste française connu pour ses chroniques sur la chaîne Blast, où elle traite de sujets économiques et sociétaux. En 2023, elle publie son premier livre, Sois jeune et tais-toi, qui dresse un portrait des difficultés de la jeunesse en France, confrontée à des crises économiques, sociales, et climatiques. Elle est également très présente sur les réseaux sociaux, où elle s'exprime régulièrement sur ces thématiques, bien qu'elle ait dénoncé le harcèlement en ligne auquel elle fait face, en particulier de la part de l'extrême droite. Dans son nouveau livre, Résister, Salomé Saqué tente de déconstruire les discours et les stratégies imposées par l'extrême droite, qui s'étend à travers le monde. Dans cette vidéo, nous allons analyser les thèmes récurrents, les récits construits, ainsi que le vocabulaire d'une extrême droite qui est, plus que jamais, à nos portes.
Dans cette nouvelle ère politique où la confusion et l’extrême droite marquent des points, le climat n’est plus seulement une affaire de polémiques : il devient un objet de bataille culturelle. Aux États-Unis, Donald Trump a fait de l’écologie une ennemie, une menace pour l’économie, le bouc émissaire parfait pour justifier sa politique de dérégulation totale. Mais en Europe aussi, l’écologie est de plus en plus décrite comme uniquement « idéologique », et « punitive» ; la droite et l’extrême droite du Parlement européen s’échinent à démanteler les politiques pour le climat ; et les scientifiques spécialistes du climat ou de la biodiversité sont attaqués pour leurs études. Comment et par qui ce grand déni est-il organisé ? Comment se protéger contre cette grande désinformation sur le climat et la biodiversité ?
"L'Observatoire des multinationales vient de sortir un rapport. Un rapport qui nous a beaucoup intéressé pour Rhinocéros parce qu'il détaille les ramifications d'un réseau qui s'étend sur toute la planète et qui est bien sûr présent en France. Le but de ce réseau, c'est de peser sur le débat public, d'influencer les politiques publiques et d'installer un climat favorable aux idées de la droite. La plus dure, la droite des libertariens. Ce réseau, c'est le réseau Atlas."
Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Olivier De Schutter, juriste belge et professeur de droit international à l'université catholique de Louvain. Il est depuis 2020 rapporteur spécial des Nations Unies pour les droits de l'homme et l'extrême pauvreté et grand spécialiste de l’alimentation durable. En 2017, il a été le premier non-résident des États-Unis à recevoir le Leadership Award (appelé par les médias l'"Oscar de l'alimentation") de la James Beard Foundation, une fondation basée à New York qui promeut l'alimentation durable.
Afin d’évoquer en détail le travail de recherche de Sonya Djemni-Wagner sur son étude « droit(s) des générations futures » publiée à L’Institut des Etudes et de la Recherche sur le Droit et la Justice (IERDJ), notre invitée, aux multiples casquettes (magistrate, inspectrice générale de la justice, déléguée au développement stratégique de l’IERDJ, et autrice de l’étude), répond à l’articulation de ce(s) droit(s) avec les droits des générations présentes, mais aussi avec des droits phares de notre panel juridique et, dans un second temps, à son application concrète.
C’est un débat qui a créé la polémique mais qui en réalité pose des questions bien plus larges sur l’écologie politique. Le 13 avril, Hugo Clément est allé débattre d’écologie avec le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, chez Valeurs actuelles. La présence du journaliste à une soirée organisée par un média d’extrême droite condamné pour injure raciste et provocation à la haine a enflammé les réseaux sociaux. D’un côté, les personnes qui le soutiennent et trouvent courageux et nécessaire d’aller débattre avec l'extrême droite sur ces sujets, de l’autre celles qui l’accusent de banaliser et légitimer le Rassemblement national. Au-delà des affrontements, cet événement raconte l’évolution de l’écologie politique. Le Rassemblement national comme tous les autres partis commencent aujourd’hui à parler d’urgence écologique. Ses figures comme Jordan Bardella, mettent de plus en plus en scène leur volonté d’agir sur le sujet tout en décriant les autres partis et donc en cherchant à s'approprier l’éco
avec Sébastien Jodoin, (Associate Professor, McGill University), Tendances et obstacles judiciaires des procès climatiques menés par la jeunesse • Paul Mougeolle (Doctorant et juriste pour Notre affaire à tous et Global Legal Action Network), Le procès des « jeunes portugais » devant la Cour européenne des droits de l’Homme • Clémentine Bladon (Avocate), Le combat des jeunes contre le Traité sur la Charte de l’énergie à Strasbourg • Hélène Leleu (Avocate), Présentation du recours en inaction environnementale mené par les parents d’élèves drômois et le collectif « parents pour la planète » • Laure-Marine Vioujard (coordinatrice diplomatique World's Youth for Climate Justice (WYCJ)) et (sous réserve) Émilie Gaillard (Maîtresse de conférences en droit privé, Sciences Po Rennes, Chaire Normandie pour la Paix), L’activisme des jeunes pour une demande
"Consommer et produire face au défi d'une planète aux ressources limitées" avec Fabrice Bonnifet, Céline Puff Ardichvili et Marine Calmet autour de Justine Muridi.
Cyrus Farhangi, brillant vulgarisateur sur les questions environnementales, partage 11 de ses 17 mesures, proposées à titre d'exemple de ce qui serait à la hauteur des enjeux. Selon lui, il est impossible d'éviter les catastrophes à venir si nous ne limitons pas la consommation et la production, à commencer par celle des pays riches.
Session 2 - Métamorphose des responsabilités : des entreprises multinationales au prétoire Cycle de séminaires "L’urgence écologique au prétoire » ANR PROCLIMEX"
Session 1 « Justice pour le vivant » - Fabrique du procès en responsabilité de l’État en matière de biodiversité Cycle de séminaires « L’urgence écologique au prétoire » ANR PROCLIMEX Christel Cournil, Professeure de droit public, Sciences Po Toulouse
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Dans cette conférence, donnée devant des étudiants du master EEET de l'Université Paris-Saclay, Laurent Mermet développe ses réflexions à partir du livre "Où atterrir?" de Bruno Latour. Il critique la cartographie politique proposée par l'auteur, très stimulante, mais fort imparfaite, pour la débarrasser de son manichéisme, pour maintenir la pertinence des tensions entre droite et gauche, entre "local" et "global" (ou modernité), et pour apaiser la phobie du concept de Nature.
Un débat avec Jean-Marc Jancovici, ingénieur, auteur de «Dormez tranquilles jusqu’en 2100», Philippe Bihouix, ingénieur, auteur de «L'Age des Lowtech ?», Genevieve Ferone, spécialiste du développement durable, auteur du «Crépuscule fossile» , Francis Dusseux, président de l'Union française des industries pétrolières (Ufip), Alix Mazouni, responsable politiques internationales au Réseau action climat et Pascal Canfin ancien ministre du développement auteur de "Climat – 30 questions pour comprendre la conférence de Paris"