Le climat est la distribution statistique des conditions de l’atmosphère terrestre dans une région donnée pendant une période donnée. L’étude du climat est la climatologie. Elle se distingue de la météorologie qui désigne l’étude du temps dans l’atmosphère à court terme et dans des zones ponctuelles. source : wikipedia
COPERNICUS – Mises à jour

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La Cour des comptes alerte sur le mur financier auquel est confronté l’électricien : 460 milliards d’euros à trouver d’ici à 2040. Mais personne ne devrait être surpris, à commencer par le chef de l’Etat : c’est la facture des futurs EPR et du nucléaire français.
Les mesures de soutien public aux combustibles fossiles peuvent encourager la production et l’utilisation de ces combustibles, ce qui augmente les émissions et renchérit le coût de l’atténuation du changement climatique. Ces politiques peuvent aussi fausser les coûts et les prix, générant ainsi des inefficiences dans la production et l’utilisation de l’énergie.
Le texte complet de la décision de la Commission européenne, qui a donné son feu vert à cet accord le 21 février, est désormais public, et donne des chiffres à ce sujet, selon le journal. L'accord comporte notamment un volet, le MOCP (minimum opex and capital payment") qui sera déclenché si les réacteurs sont indisponibles pendant une "période significative" et ce, pour garantir la stabilité financière de Be-Nuc, la société commune à l'État belge et à Electrabel, propriétaire de 89,91% des deux réacteurs prolongés.
Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville en France, raccordé samedi au réseau électrique, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et en Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française:- 1992: naissance en France -
Milton, Helene, Beryl, Boris, Kong-rey, Kirk… Ces noms résonnent pour les assureurs et les pays comme des gouffres à milliards, causés en l’espace de quelques heures par des inondations et des intempéries extrêmes. L’Europe, l’Asie et le nord de l’Amérique, aucun territoire n’est à l’abri. Ces événements mettent en question la viabilité et la pérennité des régions touchées au hasard des vents. Si le nombre de morts reste pour l’instant supportable par la communauté, les coûts financiers explosent et la quantité d’hydrocarbures et d’électricité nécessaires à la remise en état grimpe de manière exponentielle.
Qui paiera la facture du nucléaire existant et futur ? La réponse à cette question, abordée lors de l'examen du projet de loi de finances, reste floue, dénonce le député LFI Maxime Laisney.
Sur un chantier naval de la mer du Nord, des ouvriers s'affairent au pied de blocs de béton de la taille d'un immeuble. La Belgique se targue de construire la "première île artificielle au monde" d'énergies renouvelables, un projet pharaonique dont l'explosion des coûts fait grincer des dents.
Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville, qui a reçu lundi le feu vert pour commencer à produire ses premiers électrons, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et en Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française:- 1992: naissance en France -
La Chine poursuit sa course à l'atome à un rythme sans équivalent dans le monde et à un coût bien moins élevé qu'ailleurs, grâce à une industrie mature et un accès au capital privilégié, deux éléments dont le nucléaire français est pour l'instant dépourvu.Pékin a donné mardi le feu vert à 11 nouveaux réacteurs, pour un investissement de moins de 28 milliards d'euros, selon le média chinois Jiemian.En comparaison, le coût prévisionnel du programme de construction des six nouveaux réacteurs (EPR) commandés par l'Etat français est de 67,4 milliards d'euros, selon les Echos.
Conçu pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, le réacteur nucléaire EPR de Flamanville, qui poursuit ses opérations de démarrage, a connu de multiples retards et surcoûts, après les déboires des premiers EPR en Chine et Finlande.Voici les dates-clés de cette technologie principalement française, qui doit commencer à produire de l'électricité cet été en Normandie.- 1992: naissance en France -
Conçus pour offrir une plus grande puissance et une sécurité accrue, les réacteurs nucléaires EPR ont connu de multiples retards, surcoûts et déboires. Voici les dates-clés de cette technologie principalement française utilisée aujourd'hui en Chine, et en Finlande, avant des démarrages prévus en France et au Royaume-Uni. 1992 : naissance en France
Ryanair a vu ses coûts s'envoler lors de son troisième trimestre décalé, pesant sur son bénéfice et conduisant la compagnie aérienne irlandaise à revoir à la baisse sa prévision de résultat annuel pour 2023/2024.Le bénéfice net part du groupe a chuté de 93% à 14,8 millions d'euros sur le trimestre, malgré une hausse du chiffre d'affaires de 17% à 2,7 milliards d'euros.Le résultat a pâti d'une envolée des coûts du kérosène mais aussi d'une hausse des salaires, frais d'aéroports, entre autres, souligne la compagnie à bas coûts lundi dans un communiqué.
De mauvais rendements, une énergie coûteuse et une forte concurrence étrangère ont fait plonger dans le rouge les trois usines de raffinage de l’archipel, où près de 25 % des emplois dépendent de la mine et de la métallurgie.
En 2022, les LCOE des nouvelles installations solaires photovoltaïques, éoliennes terrestres ou encore géothermiques ont en moyenne baissé au niveau mondial malgré des hausses de coûts de matériaux et équipements, selon
La SFEN (Société française d'énergie nucléaire) vient de publier ses dernières estimations sur les coûts du nucléaire existant et du « nouveau » nucléaire en France, dans une note technique(1). La filière souhaite ainsi « éclairer les débats à venir de la CPDP(2) sur le programme de construction de nouveaux réacteurs, la concertation en cours sur la stratégie énergie-climat ainsi que les débats parlementaires à venir en 2023 sur la loi d’orientation énergie-climat ». LCOE et taux d'actualisation
Le temps de la pandémie, quand une chute de la demande et une production qui n'arrivait plus à trouver ses débouchés avaient fini par faire passer (brièvement) le prix du baril sous la drôle de barre des zéro dollar, semble loin: ainsi que l'explique Bloomberg, l'ère actuelle du pétrole cher est partie pour durer et, le cas échéant, vos pleins d'essence risquent de plomber de plus en plus lourdement votre budget.
Les collectifs "On ne paiera pas" et "Wij betalen niet" ont annoncé lundi le lancement d’une campagne nationale pour dénoncer la hausse des prix de l’énergie, à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre la pauvreté. Ils demandent une baisse des montants sur les factures mais également que le secteur de l’énergie quitte les marchés privés.
Quelque 64% des Belges redoutent de ne pas arriver à payer leurs factures d'énergie, selon le Grand Baromètre Le Soir-RTL-Ipsos relayé par le quotidien lundi. C'est au sud du pays que cette peur est la plus prégnante puisque 73% des Wallons vivent dans cette crainte (pour 59% des Flamands et 70% des Bruxellois). Face à cette flambée des prix et la peur de ne pouvoir y faire financièrement face, une majorité de Belges disent toutefois avoir modifié certains comportements. Près de huit personnes interrogées sur dix disent ainsi utiliser "moins d'électricité, de gaz, d'eau ou de combustible de chauffage".
Facture d'électricité bientôt multipliée par dix: comme beaucoup d'entreprises, la fonderie Aluminium Sabart, dans l'Ariège, voit sa viabilité compromise, faute de pouvoir répercuter sur ses clients du secteur aéronautique la hausse du coût de production. "En 2001, ma facture d'électricité était de 25.000 euros par mois. Elle est passée à 50.000 euros en 2022, ça pique, mais ça passe. Maintenant, mon fournisseur m'annonce 600.000 à 800.000 euros par mois à partir du 1er janvier", déplore le directeur général de cette usine, Thierry Cavinato. "Je n'ai pas la marge dans mon chiffre d'affaire pour absorber l'augmentation et mes clients iront voir ailleurs si je répercute proportionnellement la hausse. Nos produits vont devenir invendables", souligne cet homme de 52 ans, précisant que "l'énergie représente déjà 25% du coût de production".
Plutôt ne rien planter que de ne pas pouvoir payer ses factures d’électricité : telle est aujourd’hui la situation à laquelle font face un grand nombre d’agriculteurs européens, constate le “Financial Times”. Si bien que les étals des supermarchés risquent d’être bien vides dans quelques mois.

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