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prévisions
2025
Alors que les scientifiques américains manifestent ce 7 mars face aux attaques de l'administration Trump contre la science, focus sur l'impact mondial de ces coupes budgétaires sur la science météo et climatique.
Les scientifiques s'accordent sur l'élévation du niveau de la mer, mais les estimations varient. Une équipe de chercheurs de Singapour et des Pays-Bas a développé une méthode innovante pour affiner ces prévisions. Leurs résultats, publiés dans Earth's Future, suggèrent une hausse bien plus importante que celle envisagée par le Giec.
En septembre 2022, des explosions sous-marines ont gravement endommagé les gazoducs Nord Stream 1 et 2, libérant une quantité stupéfiante de méthane dans l'atmosphère. Les dernières études publiées révèlent que les émissions de méthane dues à cet incident sont plus du double des estimations initiales, posant un risque environnemental bien plus grave que ce que l'on croyait auparavant.
2024
Une étude révèle qu’au cours des 65 dernières années, certaines régions du monde ont enregistré des vagues de chaleur extrêmes dont l’ampleur dépasse largement les prévisions des modèles climatiques.
Les modèles les plus pessimistes d’évolution du climat sont plus plausibles qu’on ne l’imaginait. C’est la conclusions de scientifiques de l’EPFL qui ont développé un système de notation des simulations climatiques dans le dernier rapport du Groupe international des Experts sur le Climat GIEC. Ces travaux sont publiés dans Nature Communications.
Devant un parterre d'investisseurs à New York, le géant pétrogazier français TotalEnergies a annoncé qu'il comptait encore augmenter sa production de pétrole et de gaz jusqu'en 2030, malgré le consensus scientifique qui presse le monde d'accélérer la sortie des énergies fossiles.Les prévisions de croissance de la production relevéesCette grand-messe était scrutée des deux côtés de l'Atlantique, dans un contexte de baisse du prix des énergies - pétrole, gaz, électricité.
La demande mondiale d'or noir ne devrait pas faiblir en dépit des incertitudes géopolitiques, indique mardi l'Opep dans son rapport mensuel sur le pétrole, qui maintient ses prévisions de croissance de la demande communiquées en avril.Le monde devrait ainsi consommer 104,5 millions de barils de pétrole par jour (mb/j) en moyenne en 2024, puis 106,3 mb/j en 2025 après 102,2 mb/j en 2023, selon les projections mensuelles de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
L'offensive russe en Ukraine va "s'intensifier" mais sans produire d'avancées "majeures", selon Washington
L'appétit pour les transports, notamment aériens, devrait continuer à soutenir la demande mondiale d'or noir en 2024, indique jeudi l'Opep dans son rapport mensuel sur le pétrole qui maintient inchangées ses projections communiquées en mars.
De la corrosion, phénomène qui avait immobilisé une partie du parc nucléaire français l'hiver dernier, a été décelée sur le réacteur de Blayais 4 (Gironde), a indiqué jeudi EDF, confirmant une information du Parisien mais soulignant que cela n'affectait pas sa prévision de production nucléaire pour cette année.
La demande mondiale de pétrole devrait connaître une croissance marquée en 2024, nourrie par les pays non-membres de l'OCDE, en premier lieu la Chine, et les besoins de transport, estime l'OPEP dans son rapport mensuel publié mardi.Enchaînant les années record, le monde devrait consommer 104,4 millions de barils par jour (mb/j) en moyenne cette année, puis 106,2 millions en 2025, après avoir appelé 102,1 mb/j en 2023, selon les estimations de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, identiques à son rapport de janvier.
On fait le point sur les dernières informations liées aux intempéries qui touchent la Belgique.
2023
Pour sa pénultième édition de l’année 2023, la revue “Science” met à l’honneur la façon dont l’intelligence artificielle au service des prévisions météorologiques peut contribuer à anticiper les événements extrêmes.
Tout fioul camp. L’organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) table toujours sur une croissance ininterrompue de la demande en or noir au cours des prochaines décennies. Ses nouvelles prévisions, totalement incompatibles avec les impératifs climatiques, sont officialisées à quelques semaines de la COP28 sur le climat.
L'Arabie saoudite a revu à la baisse ses prévisions budgétaires et s'attend désormais à enregistrer un déficit pour l'année en cours, en raison de l'augmentation des dépenses et la baisse des recettes pétrolières, a annoncé le ministère des Finances.
De son côté, le prince Abdulaziz bin Salman, ministre saoudien de l'énergie, a tenté de saper les dernières prévisions de l'Agence internationale de l'énergie selon lesquelles la demande mondiale de combustibles fossiles atteindrait le Pic Oil d’ici à 2030, alors que les énergies renouvelables, moins chères et plus propres, augmentent rapidement. Il est clair que si l’AIE annonce un pic oil, certains pays vont réfléchir à deux fois à continuer dans le pétrole et les investisseurs vont se gratter la tête.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) revoit à la hausse ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole en 2023 qui s'achemine vers son "niveau le plus élévé jamais enregistré" pour atteindre 102,2 millions de barils par jour, selon son rapport mensuel publié vendredi.
Trop alarmantes, erronées ou encore orientées politiquement: les prévisions météorologiques sont souvent critiquées cet été. La télévision alémanique SRF est même accusée de truquer les températures pour créer la panique.
Les prévisions météo pour les prochaines semaines ne sont pas bonnes pour nos forêts. Selon de nombreux experts, les conditions climatiques actuelles tendent vers un été à haut risque d'incendie, et il faut s'y préparer. "Je crois qu'il va falloir équiper nos pompiers en termes de matériel et d'expertise pour pouvoir faire face à de grands feux de forêts", note Xavier Fettweis, climatologue. Forte chaleur, manque d'eau et végétations très sèches : les menaces sont multiples, en particulier dans nos Ardennes.
D’après l’Organisation météorologique mondiale (OMM), il y a 98% de chances que l’une des cinq prochaines années soit la plus chaude jamais enregistrée, battant l’année record de 2016. La probabilité qu’au moins une des cinq prochaines années dépasse 1.5 °C au-dessus des niveaux préindustriels est estimée maintenant estimée à 66%.