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Page de l’Observatoire de l’Anthropocène dédiée au groupe FaceBook

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Résultats pour:
plastique océan

2024

Dans notre société actuelle, les produits en plastique sont omniprésents. Ils ont envahi tous les aspects de notre quotidien, notamment en raison de leur faible coût et de leur grande polyvalence. Pourtant, ces avantages ne suffisent pas à compenser le terrible fléau que représente la pollution plastique pour notre environnement. Une quantité alarmante de déchets plastiques dans les océans
Les océans vont contenir plus de plastiques que de poissons en 2050. Scientifiques et militants s'associent pour la préservation des océans.
Plastics in the marine environment have become a major concern because of their persistence at sea, and adverse consequences to marine life and potentially human health. Implementing mitigation strategies requires an understanding and quantification of marine plastic sources, taking spatial and temporal variability into account. Here we present a global model of plastic inputs from rivers into oceans based on waste management, population density and hydrological information. Our model is calibrated against measurements available in the literature. We estimate that between 1.15 and 2.41 million tonnes of plastic waste currently enters the ocean every year from rivers, with over 74% of emissions occurring between May and October. The top 20 polluting rivers, mostly located in Asia, account for 67% of the global total. The findings of this study provide baseline data for ocean plastic mass balance exercises, and assist in prioritizing future plastic debris monitoring and mitigation strategies. Rivers provide a m
Alors que 175 pays se préparent à se réunir à Ottawa pour discuter de la pollution plastique, la Fondation Tara Océan appelle à un traité mondial de réduction de la production de plastique. Objectif : -50 % d'ici 2040.
Les océans sont essentiels à notre survie, assurant la moitié de l'oxygène mondial. Savez-vous quelle est sa plus grande menace ?
Les crédits carbone ont fait des émules. Il existe aujourd’hui sur le marché tout un tas de crédits pour “protéger” l’océan, la forêt, les pandas… Les entreprises désireuses d’afficher une bonne empreinte environnementale acquièrent ces crédits dont la fiabilité n’est pas toujours démontrée. Tout l’enjeu est de ne pas répéter les erreurs du marché carbone.

2023

Désormais omniprésents sur Terre, les microplastiques ont récemment fait l'objet d'une étude concernant leur possible lien avec les ouragans. Selon les résultats, les océans ne sont pas nécessairement une destination finale pour les microplastiques.
A Marseille, les invités du Climat Libé Tour ont tenté ce samedi de répondre à une question cruciale : comment arrêter l’hémorragie plastique qui pollue les mers, les airs, et nos organismes ?
Plastic waste in aquatic environments may be severely disrupting the reproductive behavior of marine animals. 
Un nouveau rapport révèle que vingt entreprises sont responsables de 55 % de la production de déchets plastiques à usage unique dans le monde, avec en tête ExxonMobil, Dow et Sinopec. Et 19 % de ces déchets auraient directement été rejetés dans l’environnement.
Plusieurs ONG et associations travaillent sans relâche pour lutter contre ce fléau qu’est le plastique dans nos océans. Découvrez les principales.
La quantité de déchets plastiques déversée chaque année dans les océans devrait tripler d’ici 2040, atteignant 29 millions de tonnes métriques.
Rivers are a major source of plastic waste in the oceans. We estimate that 1000 rivers, are accountable for nearly 80% of global annual riverine plastic emissions, which range between 0.8 – 2.7 million metric tons per year, with small urban rivers amongst the most polluting.
Pour autant, plus de 8 millions de tonnes de plastique y pénètrent chaque année, et avec, les polluants qui les constituent. Portés par les courants, ces déchets se délitent en une multitude de micro- et nanoparticules qui envahissent écosystèmes et organismes marins, sans que nous ayons fini d’en cerner les ravages. Aujourd’hui nous le savons, nous aussi nous mangeons, buvons et respirons du plastique. Pourtant, des solutions existent.
Le plastique ne pollue malheureusement pas que les plages et les fonds océaniques. De la Sierra Nevada colombienne jusqu'au Tibet en passant par les Pyrénées et les Alpes, les microplastiques colonisent les sommets montagneux les plus escarpés. Les vents, la pluie charrient ces particules qui rentrent dans le cycle de l'eau naturelle et se retrouvent ainsi en hautes montagnes.
Il y a peu un rapport a paru dans la revue scientifique Nature Communications et ses résultats sont assez inattendus car bien plus inquiétants que prévu. Entre 2014 et 2015, une équipe de scientifiques de l’Institut Alfred-Wegener pour la recherche polaire et marine a mené trois expéditions dans l’océan arctique à bord d’un brise-glace pour récolter différents échantillons de la banquise sur cinq zones différentes.
Des microplastiques, il y en a partout. Ce n’est malheureusement presque plus une surprise d’en trouver dans des endroits retirés. Mais ceux que des chercheurs viennent de trouver au cœur d’agrégats d’algues du côté de l’Arctique les inquiètent encore un peu plus.
Protégée (à première vue) de la pollution humaine, elle est la seule source de nourriture pour une grande faune présente dans les régions arctiques. Maillon central de l’écosystème marin arctique, cette algue est au commencement de la chaîne alimentaire. Mais en étudiant ces algues de plus près, les scientifiques ont fait une découverte inquiétante. Ils viennent de publier leurs conclusions dans la revue Environmental Science and Technology. Selon cette étude, la concentration en microplastique est bien plus importante au cœur des algues que dans l’eau de mer environnante.
Lancée en 2013, l’organisation à but lucratif The Ocean Cleanup a pour objectif de nettoyer les océans des déchets plastiques.
Le WWF publie un nouveau rapport qui dresse un constat alarmant sur la pollution plastique en Méditerranée et analyse la responsabilité des 22 pays méditerranéens face à ce fléau.
Des images choquantes ont été diffusées montrant des « tsunamis de déchets » s’écoulant dans les cours d’eau d’Indonésie, alors que les déchets plastiques s’accumulent dans ce haut lieu du tourisme. Dans les clips partagés sur les réseaux sociaux, on peut voir des masses d’ordures dévaler les canaux et les collecteurs d’eaux pluviales, l’eau qui les transporte […]
Ce que nous voyons dans les océans en terme de pollution aux microplastiques "n'est que la pointe de l’iceberg", explique à l'AFP le professeur Richard Thompson, spécialiste de cette pollution et directeur de l'Institut marin et de l’École des sciences biologiques et marines à l’université de Plymouth (sud de l’Angleterre). QUESTION: Qu’est-ce qu’un nurdle, à quoi ça sert et pourquoi les trouve-t-on dans l’environnement ? "Un nurdle est un type de microplastique qui ressemble à une lentille
Quels sont les pays qui rejettent le plus de plastique dans l'océan ? Pourquoi ? Qu'est-ce que cela signifie pour les solutions de lutte contre la pollution plastique ? Voici un regard de côté pour comprendre l'ampleur et les moteurs de la pollution plastique océanique, afin de mettre en œuvre les interventions les plus efficaces pour la réduire.
Environ 8 millions de tonnes de plastique sont déversées chaque année dans les océans. Ce plastique constitue un danger pour la vie marine et pour la santé des personnes. Les déchets de plastique non collectés ou intentionnellement déversés dans les fleuves se retrouvent dans les océans. Des études commencent à être conduites afin de cartographier les zones concernées et déterminer l'origine de ce plastique.
Une nouvelle étude parue dans la revue PLOS One estime que 170 000 milliards de morceaux de plastique flottent à la surface des océans.
Alors qu'un traité international visant à renforcer la protection des océans vient d'être négocié à New York, Pascale Ricard, spécialiste du droit international de l’environnement et de la mer, revient sur les réglementations en vigueur et sur la difficulté, à travers le cas de la pollution plastique, de les mettre en œuvre.
Les auteurs d'une étude, publiée mercredi dans la revue américaine PLOS One, estime à 170 000 milliards le nombre de morceaux de plastique à la surface des océans, principalement des microplastiques, en grande partie rejetés en mer depuis 2005.
La pollution plastique des océans du globe a atteint des 'niveaux sans précédent' depuis 15 ans, alerte une étude, qui...
Une nouvelle étude de grande ampleur sur la pollution des mers révèle que plus de 2,3 millions de tonnes de microplastiques y flottent actuellement. Et c’est depuis 2005 que la concentration de ces petits morceaux de plastique s’est particulièrement accrue.
L’accumulation de particules de plastique dans les océans a connu une hausse galopante, d’après une nouvelle étude. Les scientifiques estiment que les eaux contiennent plus de 2 millions de tonnes de cette matière toxique.
L’accumulation de déchets en plastique à la surface des océans augmente de façon inquiétante depuis 2005. Les auteurs d’une étude appellent à la mise en place sans tarder de politiques pour contrer cette pollution dramatique.
Les larmes de sirène ont envahi les plages de Pornic, vendredi 13 janvier 2023. Une « pollution catastrophique » selon les élus et les associations environnementales. Ces granulés plastiques industriels ont été retrouvés en très grande quantité sur le littoral. Christelle Morançais annonce que la Région portera plainte contre X.
Récemment, une nouvelle solution a fait son apparition en Corée du Sud et pourrait tout changer concernant la dépollution des océans.
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2022

Bien que le plancher océanique soit considéré comme le puits final des microplastiques flottant à la surface de la mer, l’évolution historique de cette source de pollution dans le compartiment sédimentaire, et en particulier le taux de séquestration et d’enfouissement des plus petits microplastiques sur le plancher océanique, est inconnu. Cette nouvelle étude, publiée dans la revue Environmental Science and Technology, montre que les microplastiques sont conservés sans altération dans les sédiments marins, et que la masse de microplastiques séquestrée dans les fonds marins imite la production mondiale de plastique de 1965 à 2016.
Les baleines ingèrent des millions de microparticules de plastique par jour. Voilà ce que conclut une nouvelle étude parue le mardi 1er novembre dans la revue scientifique Nature Communications. Présent en majorité dans les proies que les cétacés chassent d’ordinaire, ce plastique se propage également à travers les différentes chaines alimentaires marines…jusqu’à atteindre nos assiettes dans certains cas. Proposée par l’équipe de recherche de la California State University, cette analyse rappelle une fois encore comment ce dérivé du pétrole a infiltré les moindres recoins de notre quotidien, mais pas seulement !
En filtrant des grandes quantités d’eau, certains cétacés sont particulièrement exposés aux microplastiques. Une nouvelle étude évalue à 10 millions les bouts de microplastiques ingérés chaque jour par les baleines bleues.
Filter-feeding whales are consuming millions of particles of microplastic pollution a day, according to a study, making them the largest consumers of plastic waste on the planet. The central estimate for blue whales was 10m pieces a day, meaning more than 1bn pieces could be ingested over a three- to four-month feeding season. The weight of plastic consumed over the season was estimated at between 230kg and 4 tonnes.
Une étude des plastiques contenus dans le “continent de plastique” qui flotte au milieu de l’océan Pacifique a permis de désigner les principaux pays pollueurs.
Au-delà des risques liés à l'ingestion de microplastiques, des scientifiques ont récemment montré que les additifs chimiques contenus dans le plastique des pneus et les divers caoutchoucs constituent un autre danger pour la vie marine. Exposées à cette contamination, les huîtres creuses voient leur capacité de reproduction et leur bilan énergétique réduits.
Plastiques, produits chimiques, marées noires… À ces pollutions qui mettent en péril l’ensemble des écosystèmes marins s’ajoutent la surpêche et les effets du changement climatique. Comment peut-on enrayer la machine ? Et si la solution venait de la terre et d’une réduction drastique de nos déchets ?
Du fonds des océans aux sommets des montagnes, les microplastiques sont partout dans l'environnement mais pas seulement. Ils se fraient aussi un chemin dans le corps humain, des poumons au placenta. Une contamination qui dérange même si son impact est incertain.
Du fonds des océans aux sommets des montagnes, les microplastiques sont partout dans l'environnement, mais pas seulement. Ils se fraient aussi un chemin dans le corps humain, des poumons au placenta, une contamination qui dérange même si son impact est incertain.
L’ONG The Ocean Cleanup va installer une clôture qui servira de filtre sur une rivière qui charrie environ 20 000 tonnes de débris par an vers la mer des Caraïbes, soit 2 % de l’ensemble des déchets plastiques déversés dans les océans du globe.
Micro-particules, additifs chimiques, enchevêtrements de déchets… la présence massive du plastique dans les océans a de nombreux effets sur les milieux marins. Si les scientifiques n’en mesurent pas encore tous les ravages, des solutions pourraient déjà être appliquées.
Selon une étude, des agents pathogènes seraient capables de voyager de la terre ferme vers les mers à l’aide des particules plastiques. Or, les chercheurs estiment que cela peut avoir des conséquences à la fois sur la santé humaine et l’environnement.
Grâce aux filtres à microparticules installés sur un monocoque du dernier Vendée Globe, les scientifiques attendaient une photographie unique de la pollution plastique de zones reculées. Mais ce sont surtout des… fibres de coton qu’ils ont récoltées, autre preuve de l’impact des humains sur les océans.
L’étude des données scientifiques collectées pendant le Vendée Globe par le skipper Fabrice Amedeo ont été analysées et le résultat de ces analyses est très surprenant : les eaux de surface de l’océan Atlantique sont deux fois plus polluées par les fibres de cellulose que par les microplastiques. Et l’Atlantique Nord est plus pollué que l’Atlantique Sud... qui, lui, l’est moins que ce qu’on craignait.
Les images chocs d'ours polaires se débattant avec des sacs plastiques ou de tortues avec des pailles dans les narines ont fait le tour du monde. Mais au-delà de ces clichés emblématiques, la pollution plastique contamine toutes les parties des océans, alerte le WWF dans un nouveau rapport. L'ONG appelle à la mise en place d'un traité international contraignant sur le plastique. Des négociations formelles pourraient être lancées à l'Onu à la fin du mois avec le soutien de la France.
Le One Ocean Summit s’est conclu avec deux annonces sur le plastique et la haute mer.
A quelques semaines d'une assemblée environnement de l'ONU qui pourrait lancer des négociations sur un tel accord, le Fonds mondial pour la nature publie un volumineux rapport sur les impacts de la pollution plastique sur les océans, la biodiversité et les écosystèmes marins. Synthèse des conclusions de plus de 2.000 études scientifiques distinctes sur ces questions.
L’image est parlante : « Du plus petit plancton à la plus grosse baleine », le plastique est omniprésent dans les océans, avertit, mardi 8 février, le WWF. Le Fonds mondial pour la nature rappelle que cette invasion de plastique menace la biodiversité marine et appelle les dirigeants du monde entier à s’engager rapidement vers un traité sur le sujet.

2021

Transportés par des masses d’air, les polluants prélevés à l’observatoire du pic du Midi proviennent notamment du nord-ouest du continent africain, en passant au-dessus de la Méditerranée, d’Amérique du Nord ou de l’océan Atlantique.
Une étude française, publiée mardi, révèle la présence de microplastiques, issus de la pollution humaine, dans l’air dit “pur” en altitude, transportés entre les continents par le vent. Les polluants proviennent notamment du nord-ouest du continent africain, en passant au-dessus de la Méditerranée, d'Amérique du Nord ou de l'océan Atlantique.
Un nouveau rapport d’Oceana révèle qu’Amazon a généré environ 271 millions de kg de déchets provenant d’emballages plastiques l’an dernier. Il s’agit d’une augmentation de 29 % par rapport aux estimations d’Oceana pour 2019 ; une grande partie de ces déchets plastiques provient des milliards de colis qu’Amazon a livrés pendant la pandémie de COVID-19.
La pandémie a encouragé le recours au plastique à usage unique : masques, gants, équipements de protection… Cela n’a fait qu’aggraver le problème des déchets plastiques déversés par milliers de tonnes dans les océans, démontre une nouvelle étude.
Les nurdles sont l\'un des plus grands micropolluants de nos océans; pourtant, ils ne sont toujours pas reconnus comme dangereux par les autorités maritimes.. Un drame pour les écosystèmes marins !
Blouses médicales, masques ou emballages de colis… La quantité de déchets plastiques liés au Covid est colossale, selon une étude scientifique. Ils finissent majoritairement dans les océans et représentent une « nouvelle menace pour la vie animale ».
L’association The Ocean Cleanup, fondée par Boyan Slat, un inventeur néerlandais, a pour objectif d’éliminer 90 % du plastique flottant de l’océan d’ici 2040. Cet objectif ambitieux semblait à la fois réalisable et hors de portée en raison des différents résultats des systèmes de nettoyage. Mais désormais, il semble que le nouvel appareil 002 de l’association, surnommé Jenny, tienne ses promesses.
N’en jetez plus ! Le plastique est partout, jusqu’à envahir la surface et les fonds des océans. Une pollution qui nourrit notre schizophrénie de consommateur tiraillé par ses aspirations écologiques. Voici donc dix trucs à savoir sur les déchets plastiques dans l’océan. Et franchement, le plastique c’est pas fantastique.


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