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focusclimat croissance décroissance

2024

La catastrophe écologique est-elle inéluctable ? Allons-nous droit vers un effondrement de la civilisation ? De plus en...
Des économistes ont, pour la première fois, calculé précisément les effets (positifs) d’une diminution de la croissance sur l’évolution du climat, observe l’historien Jean-Baptiste Fressoz, dans sa chronique.
Historien, Jean-Baptiste Fressoz ne "prône rien du tout". Il estime cependant que la décroissance serait le moyen le plus efficace de faire baisser rapidement nos émissions de CO2.

2023

Pour faire face au défi du changement climatique, le chercheur en économie écologique Timothée Parrique prône la décroissance et la transition vers une économie post-capitaliste.
Cet article avait été commencé sous la forme d’un court fil Twitter sur la mise-à-jour en cours des projections de PIB et de population des scénarios SSP, les scénarios socioéconomiques utilisés comme base pour une majeure partie des projections climatiques, notamment dans les rapports du GIEC. Ce fil est rapidement devenu beaucoup trop long, car pour montrer l’intérêt de cette actualité, il faut expliquer ce que sont les scénarios SSP, comment ils sont élaborés, ce à quoi ils servent, leur intérêt ainsi que leurs limites. De plus, comme Twitter bloque désormais l’accès à celles et ceux qui n’ont pas de compte, en voici une version sous forme d’article, bien plus développée. Ce sujet permet de revenir sur l’origine de la croissance économique dans les scénarios climatiques, et sur les alternatives actuellement développées avec des scénarios limitant la demande en énergie, voire décroissants.
Plusieurs dossiers restent clivants chez les militants, voire chez certaines figures écologistes qui prennent leur distance avec la ligne d’EE-LV.
Convaincus de la possibilité d'une croissance infinie dans un monde fini les cornucopiens considèrent que l'intelligence humaine et les innovations technologiques pourront palier la rareté des ressources et le dérèglement climatique.
Nouveau #TALK sur LIMIT avec Philippe Lamberts, député belge au parlement Européen depuis 14 ans. Ingénieur civil de formation spécialisé en mathématique et modélisation. Il est aujourd'hui président du groupe des verts au parlement européen.
Entrevue avec l’écologiste Hugo Séguin.
L’année 2022 a été marquée par des catastrophes climatiques et par la guerre énergétique liée à la guerre en...

2022

TÉMOIGNAGE - « Je me réjouis plutôt de cette ″régression″ : manifestement, nous en prenons tous le chemin pour des raisons plus physiques que politiques, et il ne tient qu’à nous d’y voir, malgré tout, une chance » explique le jeune doctorant en géographie.
Dans le cadre de la journée spéciale "Vous avez dit sobriété ?" sur France Inter, Camille Etienne, militante écologiste, et Eloi Laurent, économiste à l'OFCE, débattent sur l'intérêt d'une politique de sobriété énergétique. Elle ne va pas encore assez loin selon eux.
J'ai tenté d'être pédagogue dans cet exposé auprès de Google France (à distance, Covid oblige), et ouvert sur les nombreux scénarios possibles. Les propos n'engagent évidemment ni Google ni mes relations de travail, même si je ne dis rien de bien méchant.
Un speech qui remet tout le monde à sa place!
Conférence à deux voix, juin 2022. Écologie, progrès et décroissance.
Plaidant pour une écologie du démantèlement, les chercheurs Emmanuel Bonnet, Diego Landivar et Alexandre Monnin préviennent, dans une tribune au « Monde », que l’humanité doit se préparer à « fermer » ce qui la détruit.
La transition écologique engendrera une hausse de l'activité économique dans tous les scénarios de neutralité carbone à 2050, souligne mardi un rapport de l'Ademe, qui relève que "la sobriété n'est pas synonyme de décroissance".
Atteindre la neutralité carbone en 2050 ne sera possible qu’à condition que le monde réussisse à décorréler l’évolution du produit intérieur brut des émissions de CO₂. Si l’Union européenne peut y parvenir, nombre d’Etats en sont encore loin.
« Surconsommation : l’impasse » (1/5). La réduction des émissions de gaz à effet de serre se heurte au maintien de nos modes de vie.
Le récent documentaire de la réalisatrice canadienne Jennifer Abbott, L’ampleur de toutes choses, aborde les changements climatiques sous l’angle de la perte et du deuil – celle de sa sœur, décédée d’un cancer, mais aussi d’une sortie de crise que les innovations technologiques ne peuvent nous offrir.
De plus en plus d’experts des changements climatiques, d’économistes et de penseurs préconisent la décroissance comme solution à la crise climatique. Plusieurs d’entre eux estiment même qu’il s’agit de la seule et unique solution. Pourquoi? On vous explique.
Pour l’économiste, contrairement à certaines interprétations rapides, le GIEC n’annonce pas la possibilité d’une « croissance verte », mais donne au contraire des arguments supplémentaires aux partisans de la décroissance.
Les crags, Carbon Rationing Action Groups, forment un réseau de collectifs locaux dont les membres se réunissent pour tenter de réduire ensemble leurs émissions individuelles de ges, en se soumettant à un rationnement volontaire. Ils revendiquent un pragmatisme apolitique et se justifient en citant parfois le pic du pétrole, et toujours le changement climatique. Ce mouvement créé en 2005 en Grande-Bretagne est en progression et comporte aujourd’hui environ 600 membres inscrits, dans une trentaine de villes.
Cette notion de sobriété est ancienne mais aujourd'hui, elle revient sur le devant de la scène. À l'inverse de la surconsommation, rechercher la sobriété vise à modérer la production et la demande d'énergie, de biens et de services pour réduire les émissions de CO2. Concrètement, cette démarche passe par la mise en œuvre de mesures politiques contraignantes qui visent à changer les modes de vie.
Est-il possible de faire croître l'économie tout en diminuant les émissions de gaz à effet de serre ? Certains économistes remettent en question la possibilité d'un tel découplage et prônent la décroissance pour préserver la planète.
Du haut de ses cent ans, le sociologue dénonce « un somnambulisme généralisé », analogue en tant qu’inconscience à celui qu’il a connu de 1933 à 1940.
Plus la « transition énergétique » et la « croissance verte » patinent, moins ces concepts seront pertinents, plus il faudra compenser par de la sobriété plus ou moins souhaitée, de la décroissance plus ou moins démocratique, des pénuries, des rationnements, des guerres, des famines, des migrations, et de la géoingénierie solaire (tout cela ne s’excluant pas forcément). C’est comme ça, ce n’est pas moi qui invente les lois de la physique et de la biologie. Ce n’est pas moi non plus qui produis les statistiques permettant de suivre où nous en sommes. Cet article dresse un état des lieux par des graphiques et données clés à scruter de près. Il est accompagné d’observations personnelles faciles à identifier.
Comme la plupart des ouvrages dédiées à la réflexion sur les incertitudes quant à l’avenir de l’humanité, le livre de Sébastien Bohler, Où es le sens ?, part d’un diagnostic très classique, c’est à dire très pessimiste quant à cet avenir : changements climatiques, perte de biodiversité, pénuries de matières premières, coût de l’énergie, pollution, migrations climatiques, nouvelles pandémies, etc.
Marc Müller, Jean-Marc Jancovici nous montrent comment les limites physiques qui viennent nous amènent tout droit vers une vie et une économie sous contrainte auxquelles on va devoir vite se préparer et s'adapter, n'en déplaise aux chantres de la croissance (verte...). Cela sous fond de critiques à peine caricaturale de la folie SUV qui gagne le monde par Thomas VDB
Cette déclaration ne semble pas tout à fait exacte. La littérature scientifique dit qu’il existe une marge de manœuvre théorique, au niveau géophysique, pour réduire l’ampleur du réchauffement climatique (voir cet article de Loïc Giaccone). Elle n’exprime pas que l’humanité en est concrètement capable.


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