Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Filtre :
filtre:
Jean-Pierre Filiu
L’acharnement de l’armée israélienne contre l’hôpital Nasser éclaire sur la véritable nature de la guerre menée depuis octobre 2023 contre l’enclave palestinienne, analyse l’historien Jean-Pierre Filiu, dans sa chronique.
Le projet de transformation de la bande de Gaza en « Riviera du Moyen-Orient » prend forme et substance au sein de l’administration Trump, observe l’historien Jean-Pierre Filiu dans sa chronique.
La virulente campagne des Etats-Unis contre la justice internationale vaut aveu d’une complicité de fait dans les crimes perpétrés par Israël dans la bande de Gaza, estime l’historien Jean-Pierre Filiu dans sa chronique.
Les décès par défaut d’évacuation et par manque de soins ne sont pas pris en compte dans le bilan des victimes, pas plus que les morts du fait des épidémies, de la faim, de la soif qui accablent la population, écrit l’historien Jean-Pierre Filiu dans sa chronique.
Il n’y a aucun précédent aux sanctions prises par les Etats-Unis à l’encontre de la rapporteuse spéciale des Nations unies sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés.
Le président américain mobilise des fondamentalistes chrétiens, idéologiquement proches des suprémacistes israéliens, en soutien à la campagne multiforme de destruction de Gaza, analyse l’historien Jean-Pierre Filiu dans sa chronique.
Rare témoin de la guerre que l'État d'Israël mène dans la bande de Gaza depuis près de 20 mois, l'historien Jean-Pierre Filiu a publié cette semaine le récit de son séjour en janvier dans l'enclave avec l'ONG Médecins sans frontières. Il y dénonce une "guerre inhumaine" visant au nettoyage ethnique du petit territoire. Sur France 24, il décrit l'ampleur des destructions et les souffrances quotidiennes des Gazaouis.
La guerre totale menée contre l’enclave palestinienne se caractérise par une militarisation sans précédent de l’action humanitaire et une banalisation des traitements inhumains infligés à la population civile, analyse l’historien Jean-Pierre Filiu dans sa chronique.
L’universitaire publie un livre sur son mois passé dans l’enclave palestinienne entre décembre et janvier avec MSF. Habitué des terrains de guerre, il dit n’avoir «jamais rien expérimenté de similaire».
Bayraktar signifie « porteur de drapeau » en turc, mais c’est aussi le patronyme du gendre du président Recep Tayyip Erdogan, Selçuk Bayraktar, dont l’entreprise produit, d’abord pour l’armée turque, puis pour l’exportation, des drones de plus en plus redoutables. Le Bayraktar TB2, testé à partir de 2014, peut voler pendant plus d’une journée d’affilée, dans un rayon de 150 kilomètres, avec l’électronique nécessaire pour frapper sa cible de jour comme de nuit.
La stratégie de Poutine a intégré le théâtre méditerranéen au front européen, les avancées en Syrie favorisant les coups de boutoir en Ukraine, avec envoi de renforts en Méditerranée orientale dès le début de l’offensive en cours.
Les talibans font tout pour s’emparer au plus vite de la principale zone de production d’opium en Afghanistan, source à elle seule de près de la moitié de l’héroïne mondiale.
abs_empty
