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guerres
« L’avenir n’est pas un destin écrit, c’est une décision collective. » L’humanité a franchi toutes les frontières visibles. Du feu à la roue, de la poudre à canon à la bombe atomique, de la voile au saut vers la Lune. Nous avons ouvert la croûte terrestre pour en extraire des minéraux, construit des villes qui brillent comme des étoiles artificielles, connecté la planète entière en quelques secondes, et pourtant nous sommes toujours prisonniers des mêmes guerres tribales d’il y a 3 900 ans, aujourd’hui maquillées de drones, d’algorithmes et d’ogives nucléaires.
En 2024, pour la première fois, la température moyenne de la Terre a dépassé 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels, un seuil critique dans la crise climatique. Dans le même temps, des conflits armés majeurs continuent de faire rage en Ukraine, à Gaza, au Soudan et ailleurs. Ce qui devient de plus en plus clair, c’est que la guerre doit désormais être comprise comme se déroulant dans le contexte de la crise climatique. La relation entre la guerre et le changement climatique est complexe. Voici trois raisons pour lesquelles la crise climatique doit remodeler notre façon de penser la guerre.
Le président du comité Nobel a donné sa version des faits, tandis que la Maison Blanche a également commenté cette décision.
Des importations européennes de gaz et de pétrole russes à l’énergie éolienne chinoise, en passant par le réchauffement climatique, le discours de Donald Trump devant l’Assemblée générale des Nations Unies ce 23 septembre a été émaillé de fausses affirmations et de simplifications. Voici une analyse de cinq des plus marquantes.
Earth’s average temperature rose more than 1.5°C above pre-industrial levels in 2024 for the first time – a critical threshold in the climate crisis. At the same time, major armed conflicts continue to rage in Ukraine, Gaza, Sudan and elsewhere. What should be increasingly clear is that war now needs to be understood as unfolding in the shadow of climate breakdown. The relationship between war and climate change is complex. But here are three reasons why the climate crisis must reshape how we think about war.
Les guerres sont souvent menées au nom de conceptions religieuses. Mais que disent vraiment les textes fondamentaux du christianisme, de l’islam et du judaïsme sur la guerre et ses justifications ?
Ça chauffe pas mal sous les maillots de camouflage ces derniers mois et années : Ukraine, Moyen-Orient, Taiwan, Pakistan, RDC, Darfour… Dès lors, dans les salons de l’armement, ça va Bourget, car les dépenses gonflent telles des bulles spéculatives pour soutenir l’industrie de la guerre. Comment l’exploitation mondialisée des ressources (énergétiques ou non) influencent les relations avec son prochain mais également les objectifs du service militaire : à quoi sert-il ? Qui dessert-il ce … service ?
L’invasion de l’Ukraine par la Russie le 24 février 2022 a constitué un tournant brutal, à la fois géopolitique et intellectuel. Alors que j’étais engagé dans ma deuxième année de post-doctorat à l’École Polytechnique, menant des recherches sur les méthodes d’anticipation des conflits armés, j’ai été confronté à l’échec cuisant des outils classiques de prévision. En janvier, les discussions allaient bon train parmi les experts, mais le consensus était clair : la Russie ne franchirait pas le pas. Elle bluffait, et les signaux d’alerte émis par les États-Unis étaient interprétés comme de la surenchère stratégique. En vérité, nos analyses, si savantes soient-elles, n’étaient guère plus pertinentes que celles que l’on aurait pu entendre dans un café parisien — et sans doute bien moins éclairantes que celles échangées dans un bistrot du Donbass. Ce décalage soulignait le poids des grilles d’analyse dominantes. Nombre d’entre nous restions prisonniers d’un cadre rassurant, forgé notamment par les thèses de Steven P
La planète a connu en 2024 le nombre de conflits armés le plus élevé depuis 1946, détrônant 2023 qui était déjà une année record, selon une étude norvégienne publiée mercredi, qui met en lumière les risques liés à un désengagement américain.
Militaries are huge energy users whose greenhouse gas emissions (GHG) make a significant contribution to the climate crisis. However, countries do not systematically record and report their military emissions so the real share of this source of emissions remains unclear. The Conflict and Environment Observatory (CEOBS) and Scientists for Global Responsibility estimate that everyday military activity could be responsible for around 5.5% of global emissions, meaning that if the world’s militaries were a country, they would be the fourth largest emitter in the world.6 Furthermore, as military spending increases and the rest of society decarbonises, that proportion is set to rise.
Le nombre de déplacés a bondi de 50 % en six ans, selon l’Observatoire des situations de déplacement interne et le Conseil norvégien pour les réfugiés. En cause, les guerres et les catastrophes naturelles.
La commissaire européenne chargée de la préparation et de la gestion des crises, Hadja Lahbib, a présenté mercredi 26 mars plusieurs mesures que la population devrait suivre pour anticiper une crise. Elle appelle les Etats membres à créer une stratégie commune sur le sujet. [...] Se préparer aux crises en stockant chez soi trois jours de conserves et d’eau, une lampe torche et un couteau. Mercredi 26 mars, l’Union européenne a présenté sa première «stratégie de préparation» comme le rapporte le Guardian. L’objectif, explique la Commission européenne dans un communiqué, est de prendre «des mesures proactives pour se préparer aux crises, telles que l’élaboration de plans d’urgence pour les ménages et la constitution de stocks de produits de première nécessité».
L’hebdomadaire conservateur polonais “Wprost” consacre la une de son édition datée du 3 janvier 2025 à l’Union européenne, qui, à bas bruit, est en train de diluer son Pacte vert sur fond de guerres commerciales et de menace russe.
A première vue, vous pourrez probablement penser que l’auteur de ces lignes est soit en train de traverser un épisode de déprime passagère nourri par un doomscrolling trop intensif, soit qu’il s’aventure bien loin de ses terrains d’expertise habituels. Les deux seraient inquiétants, cela va sans dire. Pourtant, je souhaite que nous considérions un instant … Continuer la lecture de Et si la troisième guerre mondiale avait déjà commencé ? →
Invoquant des risques de guerre, la Norvège a annoncé vendredi vouloir rétablir l'obligation de construire des abris antiaériens dans les nouveaux bâtiments, l'une d'une centaine de mesures proposées pour accroître l'état de préparation du pays. "À l'avenir, nous devons tenir compte et nous préparer à gérer des crises et des guerres", a déclaré la ministre norvégienne de la Justice, Émilie Enger Mehl, également en charge des situations d'urgence.
"Au vu de la situation dans le monde, est-il vrai que nous devons nous préparer pour une guerre. Réserves, abris… ?”
Catastrophes naturelles liées au réchauffement climatique, guerres… une vaste campagne de sensibilisation va être lancée en Belgique dès 2025.
Les dirigeants du G20 se retrouvent lundi à Rio de Janeiro pour un sommet sous forte pression, entre besoin d'un compromis...
Les États membres de l'ONU se sont engagés dimanche à dessiner "un avenir meilleur" pour l'humanité éprouvée par les guerres, la misère et le réchauffement climatique, malgré l'opposition d'une poignée de pays dont la Russie à l'adoption de ce "Pacte pour l'avenir".
La rencontre, en présence des représentants des six confessions reconnues officiellement dans le pays – islam, protestantisme, catholicisme, bouddhisme, hindouisme et confucianisme – est l’un des temps forts de la visite de trois jours du pape en Indonésie.
Voici une réaction à l'opinion "La victoire posthume d'Hitler" parue récemment dans "La Libre". Au regard du droit international, les accusations de génocide à Gaza ne sauraient être considérées comme absurdes ou infamantes à l'égard d'Israël. Elles sont au contraire alarmantes et méritent d'être prises au sérieux et examinées avec soin.
Les forces armées russes et leurs supplétifs recourent de manière systématique à la torture dans les territoires...
Les guerres et tensions géopolitiques en cours correspondent à l’un des pires scénarios du Giec sur l’avenir du climat. Ce modèle a ses limites et n’a pas de valeur prédictive à long-terme, modèrent toutefois des scientifiques.
Il ne reste que 90 secondes avant la fin du monde, à en croire l'horloge de l'apocalypse. Celle-ci utilise l'analogie du décompte vers minuit pour dénoncer le danger qui pèse sur l'humanité. Cette année, les scientifiques pointent les menaces que représentent les guerres, la prolifération nucléaire, le changement climatique ou encore l'intelligence artificielle.
Leurs décisions ne reposent plus essentiellement sur des mécanismes privés, dictés par les marchés, c’est-à-dire par les choix des consommateurs et des entreprises. Nous assistons à une transition vers des décisions d’ordre géostratégique pilotées par les États.
La bande de Gaza, théâtre depuis samedi d’une nouvelle guerre avec Israël, est une enclave palestinienne aux mains du mouvement islamiste Hamas éprouvée par les conflits, la pauvreté et les blocus.
Oui, je sais, il y a plein d’initiatives (sociales, culturelles, écologiques, économiques), voire de réalisations, prometteuses, qui donnent espoir. Mais tout cela reste insuffisant et parfois fragile.
Un groupe de chefs d'entreprise et d'experts, dont Sam Altman, le créateur de ChatGPT, ont averti mardi dans une déclaration en ligne des menaces d'"extinction" pour l'humanité posées par l'essor de l'intelligence artificielle (IA).
À l’occasion de la Journée internationale de la Terre nourricière, célébrée le 22 avril, le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a invité les citoyennes et les citoyens du monde entier à faire entendre leur voix et à exiger des instances dirigeantes qu’elles fassent la paix avec la nature.
Les plateformes maritimes d'extraction d'hydrocarbures comme celles que vient de frapper l'Ukraine en mer Noire sont des cibles tentantes et faciles, mais les conséquences écologiques de leur destruction peuvent être potentiellement lourdes.