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barrage

avril 2024

La rupture d'un barrage à une centaine de kilomètres au nord-ouest de Nairobi, au Kenya, en raisons de fortes inondations, a fait lundi au moins 42 morts, selon la gouverneure locale. Cette catastrophe fait passer le bilan total de la saison humide (mars-mai) dans ce pays à 120 morts.
De nombreuses villes de l'Oural, en Russie, se retrouvent inondées après la rupture d'un barrage à Orsk voilà deux. Les autorités russes ont déjà fait évacuer des milliers de personnes et elles s'attendent à une dégradation de la situation au cours des prochains jours.
Le pic de la crue dans la ville proche de la frontière avec le Kazakhstan est attendu mercredi. Selon une première estimation, le coût des dégâts engendrés pourrait atteindre près de 2,1 milliards d’euros.

mars 2024

Les missiles ont infligé des « dégâts très importants » sans provoquer de danger immédiat. « Il s’agit de l’attaque la plus massive contre des installations énergétiques [ukrainiennes] » en 2024, selon le procureur général d’Ukraine.
La Cour des comptes demande des investissements supplémentaires pour adapter les 18 centrales nucléaires, les barrages et le réseau de distribution d'électricité français au réchauffement climatique.Le changement climatique "est largement intégré dans les référentiels et normes de sûreté, mais l'adaptation fait peser des exigences nouvelles pour les exploitants", en particulier la Compagnie Nationale du Rhône (CNR), gestionnaire de barrages, et EDF, souligne la Cour dans son rapport publié mardi.
EDF a signé une contrat avec l'Arabie saoudite pour bâtir une centrale hydroélectrique en plein désert afin d'alimenter la cité futuriste "The Line", qui doit voir le jour d'ici à 2030. En interne, la participation de l'énergéticien à ce projet suscite beaucoup d'interrogation chez les salariés, qui appellent à une droit de retrait.
Le projet de chantier déployé dans le cadre du projet Neom génère une forte opposition en interne, des salariés s’alarmant de son incompatibilité avec les engagements de l’entreprise pour l’environnement ou les droits de l’homme.

février 2024

Le déploiement de petites centrales hydroélectriques sur les torrents alpins est en pleine croissance selon les données recueillies par Reporterre. Bien des maires sont ravis mais la biodiversité trinque.
Près de Luang Prabang, la construction d'un barrage sur le fleuve Mékong bouche l'avenir de la capitale touristique du Laos, où les défenseurs de l'environnement et du patrimoine peinent à se faire entendre."Aujourd'hui, le paysage est magnifique. Vous pouvez voir les rochers, le fleuve, les jardins sur la rive", décrit un guide conférencier, sous couvert d'anonymat, pour se protéger vis-à-vis du gouvernement autoritaire."Une fois qu'ils auront terminé le barrage, le Mékong sera différent", concède-t-il.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a juré de faire barrage au géant pétrolier américain ExxonMobil dans les eaux riches en pétrole du territoire administrée par le Guyana mais revendiqué par le Venezuela."On vous attend ici ExxonMobil, quand vous voulez, où vous voulez", a menacé M. Maduro dans des déclarations retransmises à la télévision lundi soir. Ajoutant "ExxonMobil n'entrera pas dans cette mer... il faut qu'il le sache".

janvier 2024

C’est un chantier d’une ampleur inédite aux États-Unis : quatre barrages hydroélectriques construits le long de ce cours d’eau, sur la frontière entre l’Oregon et la Californie, sont en train d’être démantelés. Une bonne nouvelle pour la tribu amérindienne yurok, qui pourrait ainsi renouer avec son mode de vie traditionnel et voir revenir la faune et la flore endémiques, surtout les saumons, dont la population a été mise à mal par les ouvrages, rappelle le “Los Angeles Times”.

décembre 2023

Le gouvernement veut débloquer l'investissement dans les barrages hydroélectriques, toujours au coeur d'un bras de fer avec Bruxelles quant au respect du droit de la concurrence, a déclaré mercredi la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher."Nous avons engagé avec Bruno Le Maire (ministre de l'Economie et des Finances, NDLR) et les entreprises concernées des discussions avec la Commission européenne et je ne vous cache pas qu'elles ne vont pas être simples", a précisé la ministre.
Le projet de barrage hydroélectrique de Mphanda Nkuwa sur le Zambèze au Mozambique a franchi une nouvelle étape avec la signature annoncée mercredi d'accords entre le gouvernement mozambicain et le consortium choisi pour le projet, qui associe les groupes français EDF, TotalEnergies et japonais Sumitomo.Cette centrale au fil de l'eau, d'une capacité projetée de 1.500 MW, doit être implantée à environ 60 kilomètres de la ville de Tete (nord-ouest du Mozambique).

novembre 2023

Une consultation publique sur un projet de barrage hydroélectrique sur le Rhône va être lancée vendredi, marquée déjà par une opposition forte en raison du site choisi, un des rares espaces non aménagés du fleuve en amont de Lyon.La Compagnie nationale du Rhône (CNR) a présenté mercredi, après une phase d'étude et avant la consultation, les contours du "projet Rhônergia" qui pourrait voir le jour d'ici 2033 entre l'Ain et l'Isère, si l'Etat donne son feu vert.
Kenneth Darlington, un ancien avocat et professeur, a abattu deux militants qui effectuaient un barrage routier au Panama.

octobre 2023

Une ONG australienne a vu mercredi son action en justice contre la ministre australienne de l'Environnement Tanya Plibersek, qu'elle accuse de favoriser la poursuite de l'exploitation du charbon, aux dépens de la protection de l'environnement, rejetée.

septembre 2023

Les deux barrages qui ont rompu à Derna, provoquant des inondations meurtrières dans l’est de la Libye, présentaient dès 1998 des fissures qui n’ont jamais été réparées, selon plusieurs rapports et études.
Le Caire demande à Addis-Abeba d’attendre un accord tripartite, avec le Soudan, pour exploiter cette infrastructure. L’Egypte s’inquiète grandement du barrage car elle dépend du Nil pour 97 % de ses besoins en eau.

juillet 2023

C'est une énergie renouvelable sous-exploitée: sous l'impulsion d'EDF, la France veut libérer le "potentiel" de production électrique de ses barrages, un patrimoine national endormi du fait d'un vieux contentieux avec Bruxelles.Poids lourd historique et méconnu de la production électrique, l'hydroélectricité est au coeur d'une discrète bataille à Bruxelles où la Commission européenne presse depuis le milieu des années 2000 Paris de remettre en concurrence ses concessions de barrages.

juin 2023

Les inondations causées par l’explosion du barrage augmentent le risque de faire apparaître des maladies hydriques particulièrement dangereuses, dont le choléra ou la typhoïde.
Les Russes sont accusés par les Nations unies de bloquer les opérations de sauvetage internationales autour du barrage détruit de Kakhovka. Pour le Kremlin, il s’agit avant tout d’assurer la sécurité des représentants de l’ONU.
Dans un communiqué publié dimanche 18 juin, la coordinatrice des Nations unies pour l'Ukraine, Denise Brown, déplore de ne pouvoir accéder à certaines zones.
Le chef de l’Agence internationale pour l’énergie atomique est arrivé à Zaporijjia pour évaluer les dégâts suite à l’effondrement du barrage de Kakhovka.
L'AIEA a réitéré dimanche, face à des données divergentes, sa demande d'accès au site où est mesuré le niveau de l'eau du réservoir utilisée pour refroidir les réacteurs de la centrale nucléaire de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine.Les experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), présents de manière permanente sur place, "ont besoin d'y accéder pour clarifier la raison de l'écart significatif observé entre diverses mesures", selon un communiqué de cette instance onusienne.
En cours d'évacuation, Kherson subit toujours les tirs d’artillerie russes, ininterrompus depuis des mois. Dans la zone occupée, où les inondations sont les plus graves, les secours russes trient parmi les habitants en détresse.
La destruction du barrage de Kakhovka, dans le sud de l’Ukraine, a inondé 48 localités le long du Dniepr. D’après les autorités russes, la montée des eaux pourrait durer encore 10 jours.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé le monde à réagir, accusant la Russie d’un "écocide brutal" après la destruction du barrage de Kakhovka, près de Kherson, ce mardi 6 juin. Une nouvelle catastrophe qui laisse craindre de graves répercussions sur la faune et la flore locales.
Près de 5.900 personnes ont été évacuées des zones inondées à la suite de la destruction du barrage de Kakhovka dans le sud de l'Ukraine, ont affirmé mercredi les autorités ukrainiennes et celles d'occupation russe, qui contrôlent chacune une rive du Dniepr. La destruction de ce barrage hydroélectrique, dont Moscou et Kiev se rejettent la responsabilité, a inondé des villes et villages situés sur les deux rives du fleuve, dont des quartiers de la capitale régionale, Kherson.
Un premier convoi d’une dizaine de tonnes de produits demandés de santé, d’hygiène et d’assainissement d’eau doit partir dans les prochaines heures.
La destruction du barrage de Kakhova dans la nuit de lundi à mardi a fait de nombreux dommages collatéraux.
La destruction du barrage de Kakhovka, mardi dans le sud de l'Ukraine, pourrait avoir des conséquences environnementales et humaines "sans précédent", estiment mercredi plusieurs experts et associations de défense de l'environnement.
La Russie a provoqué "l'une des pires catastrophes environnementales de ces dernières décennies", a affirmé mercredi le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal après la destruction du barrage de Kakhovka, dans le Sud de l'Ukraine.
La destruction mardi du barrage ukrainien de Kakhovka, attribuée à la Russie par Kiev et l’Union européenne (UE), pourrait entraîner “la pire catastrophe écologique en Ukraine depuis Tchernobyl”, selon les autorités. Le procureur général du pays a ouvert une enquête pour “écocide”.
Des modèles scientifiques réalisés avant l'incident montrent l'ampleur potentielle des dégâts.
Kiev accuse Moscou d'avoir fait exploser le barrage de Kakhovka
L’infrastructure située sur le fleuve Dnipro, dans le sud-ouest ukrainien, aurait été en partie détruite par une explosion ce mardi 6 juin au matin. De vastes inondations et des coupures d’électricité sont redoutées.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et la Russie ont estimé mardi que la centrale nucléaire Zaporijjia, occupée par Moscou, n'était pas menacée après la destruction partielle d'un barrage hydroélectrique, l'Ukraine affirmant au contraire l'existence d'un risque croissant de catastrophe.La Russie et l'Ukraine s'accusent mutuellement d'avoir fait exploser le barrage de Kakhova sur le fleuve Dniepr, dans la partie occupée par la Russie de la région ukrainienne de Kherson.
Le quotidien américain a authentifié des images de l’infrastructure endommagée par une attaque que les autorités ukrainiennes imputent à la Russie. Des évacuations sont en cours dans le sud du pays.
Le président du Conseil européen Charles Michel a affirmé mardi que la Russie devrait rendre des comptes après la destruction partielle d'un barrage hydroélectrique en Ukraine, évoquant un "crime de guerre"."Choqué par l'attaque sans précédent sur le barrage de Nova Kakhovka", a tweeté Charles Michel. "La destruction d'une infrastructure civile est clairement un crime de guerre et nous demanderons des comptes à la Russie et à ses affiliés", a-t-il ajouté.
Le chancelier allemand Olaf Scholz a estimé mardi que l'attaque contre le barrage de Kakhovka donnait à la guerre menée par la Russie contre l'Ukraine une "nouvelle dimension".L'attaque contre le barrage "s'inscrit dans la lignée de nombreux crimes que nous avons vus en Ukraine, commis par des soldats russes", a affirmé Olaf Schoz dans une interview accordée aux chaînes WDR et ZDF. Ces crimes "font partie d'une manière de faire la guerre qui a toujours visé des cibles civiles - des villes, des villages, des hôpitaux, des écoles, des infrastructures", a souligné M. Scholz.
Les réactions à l’international se multiplient ce mardi 6 juin après la destruction partielle d’un barrage dans le sud de l’Ukraine, provoquant des inondations et des évacuations d’habitants.
Potentiellement catastrophique, l’ampleur des dégâts causés par la rupture du barrage sur les écosystèmes du sud de l’Ukraine est pour l’heure difficile à évaluer.
Quel impact va avoir la destruction du barrage ukrainien Kakhovka sur l'environnement?
Les évacuations continuent après la destruction du barrage de Kakhovka dans la nuit de lundi à mardi.
Le barrage de Kakhovka, que Kiev et Moscou s'accusent mutuellement d'avoir attaqué mardi, est un ouvrage clé du Sud de l'Ukraine qui alimente en eau la Crimée annexée et se trouve sur la route des troupes ukrainiennes vers une reconquête des territoires occupés.Pris dès le début de l'invasion car cible prioritaire des Russes, ce barrage hydroélectrique situé sur le fleuve Dniepr est aujourd'hui sur la ligne de front entre les régions contrôlées par Moscou et le reste de l'Ukraine, au moment où Kiev teste intensément les défenses russes en vue d'une offensive d'envergure.
Une attaque sur un barrage dans le Sud de l'Ukraine, dont Moscou et Kiev se rejettent la responsabilité, a provoqué mardi des inondations et des évacuations d'habitants dans les zones alentour, occupées par la Russie, suscitant un tollé international.Elle a également causé de nouvelles inquiétudes pour la centrale nucléaire de Zaporijjia, située à 150 km en amont du barrage hydroélectrique de Kakhovka, construit le long du Dniepr dans la région de Kherson et qui assure son refroidissement.
Depuis le début de l'invasion russe en Ukraine, le barrage de Kakhovka, partiellement détruit dans la nuit de lundi à mardi, faisait l'objet de toutes les attentions car l'édifice représentait une cible stratégique à de nombreux égards.
Le déluge provoqué par l’explosion du barrage hydroélectrique de Nova Kakhovka ne provoquera pas seulement des destructions sans précédent, il risque de changer durablement les écosystèmes et le climat du sud de l’Ukraine, qui pourrait devenir un désert naturel et humain
La centrale de Zaporijjia, occupée par l'armée russe, se retrouve en première ligne après la destruction partielle mardi d'un barrage du sud de l'Ukraine, dont l'eau est utilisée pour refroidir le combustible et éviter un accident nucléaire.L'attaque, dont s'accusent mutuellement Moscou et Kiev, a entraîné l'inondation d'une vingtaine de localités et l'évacuation de milliers de personnes, suscitant un tollé international.- "Pas de danger nucléaire immédiat" -
les barrages, comme en témoigne leur histoire, ne sont pas réductibles au statut d’objets techniques. Ils sont – au contraire – des éléments constitutifs d’une « machine organique » où la technique, la géographie, la biologie, le politique et le social interagissent constamment. De ce fait, ils n’ont jamais fait consensus. Leur devenir, tout comme leur passé, n’est ni prédéterminé par une approche scientifique, ni figé dans une rationalité immuable.

avril 2023

Dans un contexte de sécheresses de plus en plus fréquentes, l'efficacité des barrages hydroélectriques en tant que source d'électricité est remise en question. Quels défis cette industrie devra-t-elle relever pour maintenir la production d'énergie ?
Une dizaine de villes, dont Casablanca, Rabat ou encore Marrakech et Settat, vont probablement connaître une pénurie d’eau potable l’été prochain. Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Assabah.

mars 2023

Production d'énergie, agriculture, tourisme, industrie et consommation domestique: la concertation traditionnelle autour du partage de l'eau du lac artificiel de Serre-Ponçon s'est avérée cruciale pendant la sécheresse historique de l'été 2022, lorsque la ressource s'est raréfiée dans ce département montagneux.Les plages arides du lac de barrage créé dans les années 60 sur la Durance étaient devenues un des symboles du risque de pénurie, au plus fort de la saison touristique.

janvier 2023

Une communauté autochtone du nord du Québec a annoncé mardi poursuivre en justice la compagnie publique Hydro-Québec pour avoir détruit son territoire lors de la construction d'un barrage dans les années 1960.Parlant des "impacts dévastateurs" de l'ouvrage et d'un "préjudice irréparable", le peuple innu de Uashat Mak Mani-Utenam réclame 2,2 milliards de dollars canadiens (1,5 milliard d'euros) à la société d'Etat.
Ce globe-trotter a disparu du Rhin dans les années 1950. Malgré les plans successifs, la date du retour du saumon atlantique dans les eaux suisses, en amont du Rhin, est constamment repoussée depuis 2000, alors que trois barrages français se dressent encore en obstacles insurmontables. Depuis cet automne, avec le lancement des travaux sur deux d’entre eux en Alsace, le compte à rebours est lancé.

décembre 2022

Un poisson mort à la main, Junior Pereira regarde avec tristesse une petite mare, vestige du fleuve Xingu, affluent de l'Amazone qui passait par là avant que son cours ne soit détourné par l'imposant barrage de Belo Monte. Entre rage, détresse et impuissance, cet indigène du peuple Pupekuri a du mal à contenir son émotion quand il évoque l'impact de Belo Monte, la quatrième plus grande centrale hydroélectrique de la planète, sur son quotidien.

novembre 2022

Le gouvernement a demandé à EDF, et plus largement aux autres énergéticiens, de prendre des mesures pour débrider barrages et parcs éoliens afin de faciliter l'approvisionnement électrique du pays cet hiver, après l'annonce d'une indisponibilité prolongée de certains réacteurs nucléaires. Dans un courrier au PDG d'EDF daté de vendredi, la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher lui demande "de tout mettre en oeuvre pour dégager de nouvelles marges de manoeuvre pour le passage de l'hiver", ce qui "passe, notamment, par la maximisation de la production renouvelable de l'entreprise". Cela signifie augmenter "de manière anticipée la puissance des concessions hydroélectriques".

octobre 2022

Situé à une quarantaine de kilomètres de la ligne de front, le barrage de la centrale hydroélectrique de Kakhovka, dans la région de Kherson, aurait été "miné" par les forces russes, selon Kiev. Moscou dément et accuse l’Ukraine de vouloir détruire cette infrastructure hautement stratégique. Une menace qui fait craindre une "catastrophe de grande ampleur" au président Volodymyr Zelensky.
Les jours se suivent et se ressemblent en Ukraine, au 239e jour du conflit. Une série d'explosions a touché ce vendredi matin, les villes de Kharkiv et Zaporijia. La Russie poursuit sa "guerre du froid" en s'attaquant aux infrastructures énergétiques de l'Ukraine. Le gouvernement ukrainien a décidé de limiter la consommation en électricité de sa population et ses entreprises, notamment à Kiev, après plusieurs frappes russes ces derniers jours qui ont fortement endommagé ses infrastructures énergétiques, à l'approche de l'hiver.
Alors que les conditions météorologiques extrêmes dues au changement climatique entraînent des transformations importantes dans les cours d'eau du monde, le débat concernant le rôle que devraient ou non jouer les barrages s'intensifie.