Veille 2.1

OA - Liste OA - Liste

Sélection du moment:


Langue(3/3)
Médias(8/8)
Résultats pour:
bouteille

avril 2024

Sophie Ressouche, spécialiste de la nappe où est pompée l’eau de Perrier, explique comment des contaminations ont pu se produire.
Deux millions de bouteilles de Perrier ont été détruites par Nestlé sur décision du préfet du Gard. En cause : une pollution de la source par des bactéries fécales. L’ONG Foodwatch redoute une contamination des bouteilles déjà vendues. Perrier a-t-elle mis en vente, en connaissance de cause, des eaux contaminées par du caca ? Mercredi 24 avril, l’entreprise Nestlé Waters, qui possède la marque Perrier, a en tout cas annoncé à l’AFP avoir, « par précaution », détruit une partie de sa production. En cause : (...)
Nestle s’enfonce dans la crise et ce n’est pas une surprise… Avec une note ESG moyenne, il fait figure de mauvais élève du secteur.
Le groupe a observé une dégradation de la qualité de l’eau après de fortes pluies dans l’un de ses puits du Gard, suspendu jusqu’à nouvel ordre. Il assure que toutes les bouteilles sur le marché «peuvent être consommées en toute sécurité».
De l’eau dans le gaz. Décharges sauvages, traitements illégaux, perquisitions, commission sénatoriale… Le géant de l’eau en bouteille Nestlé Waters connait des turbulences depuis plusieurs semaines. Vert vous explique.
Plus de deux mois après les révélations sur le traitement non autorisé de 30 % des eaux en bouteille, l’Etat reste muet face au scandale. Un déficit de transparence peu compatible avec l’impératif sanitaire.
Vittel, Contrex, Hépar, Perrier... Le géant Nestlé Waters est pointé du doigt pour son vaste recours à des traitements interdits en France.

mars 2024

Le Conseil Supérieur de la Santé (CSS) vient de rendre un avis important au sujet des PFAS, ces polluants éternels dont la présence hors norme a été mise en évidence dans les eaux wallonnes grâce au reportage de l’émission RTBF Investigation.

février 2024

Malgré ses conséquences pour la planète, malgré l’existence d’une eau du robinet sûre et peu chère, le marché de l’eau en bouteille est en plein boom à l’échelle mondiale. La conséquence d’une privatisation au long cours.
L’association de défense des consommateurs dépose ce mercredi 21 février une plainte contre les deux groupes pour les traitements de désinfection auxquels ils ont eu recours sur leurs eaux telles que Vittel ou Perrier.
Le groupe Les Mousquetaires a retiré, depuis le mercredi 14 février, les bouteilles d'eau des marques "Fiée des Lois" et "Premier prix" à cause d'une "non-conformité réglementaire sans risque pour la santé".

janvier 2024

Une nouvelle technique de microscopie permet de détecter la présence de nanoplastiques dans l’eau. Or, l'eau en bouteille contient également.
Nestlé Waters a reconnu lundi avoir utilisé des traitements interdits pour garantir la "sécurité alimentaire" certaines de ses eaux minérales, et assure en avoir informé les autorités françaises en 2021. Environ un tiers des marques seraient concernées dans l'Hexagone, ont révélé mardi Le Monde et Radio France.
Pendant des années, des eaux vendues comme « de source » ou « minérales naturelles » ont subi des techniques de purification interdites. Selon une enquête conjointe du « Monde » et de Radio France, un tiers au moins des marques françaises sont concernées, dont celles de Nestlé, qui a reconnu ces pratiques. Informé depuis 2021, le gouvernement a assoupli la réglementation dans la plus grande discrétion.
Près d’un tiers des bouteilles d’eau vendues comme de l’eau minérale naturelle ou de source subissent en réalité des traitements illégaux pour être purifiées de la même manière que l’eau du robinet, révèlent Radio France et «le Monde».
Une nouvelle étude montre que les taux de pollution aux micro-plastiques sont 100 à 1000 fois plus élevés qu’on ne le pensait jusque là. Des résultats qui tranchent avec l'image d'un produit pur et sain véhiculé par les industriels.
L'eau des bouteilles en plastique contient jusqu'à 100 fois plus de minuscules particules de plastique qu'estimé jusqu'ici, selon une nouvelle étude publiée lundi.
En utilisant une technique novatrice, les scientifiques de la revue « PNAS » ont comptabilisé en moyenne 240 000 fragments de plastique détectables par litre d’eau, après avoir testé le produit de trois marques populaires. Ce qui soulève des questions sur les conséquences pour la santé.
Selon une nouvelle étude parue dans une revue américaine, la pollution aux nanoparticules dans l’eau en bouteille est 100 fois plus élevée qu’estimée auparavant. Un coauteur de l’étude «ne recommande pas de ne pas boire d’eau en bouteille quand c’est nécessaire».
Dans des bouteilles d’eau achetées au supermarché aux États-Unis, des chercheurs ont détecté une quantité importante de plastiques, dont 90 % sont de taille nanométrique.
Ils pèsent moins de 10% du poids de la pollution plastique en mer mais représentent 90% des objets qui s’y trouvent. Ce sont les microplastiques. Depuis des décennies, ces minuscules fragments de plastique ont colonisé tout l’environnement, de l’atmosphère aux sols en passant par la chaîne alimentaire et l’eau en bouteille. Et ce, à des quantités bien plus importantes que celles estimées jusqu’à présent. C’est ce que révèle une étude publiée ce lundi 8 janvier 2024 dans la revue PNAS.

décembre 2023

Nous sommes tous contaminés aux perturbateurs endocriniens. En cause : le plastique, une bombe sanitaire négligée par les pouvoirs publics.

novembre 2023

Jusqu’à maintenant, 2 litres d’eau étaient distribués chaque jour aux 50 000 personnes considérées comme les plus vulnérables de l’archipel.

août 2023

Une décision qui ne coule pas de source. Depuis plusieurs mois, des riverains se mobilisent contre l’exploitation d’une nappe d’eau souterraine par la société Alma, l’un des leaders sur le marché de l’eau embouteillée de France qui commercialise entre autres Cristaline. À l'heure où de nombreux habitants sont dépourvus d’eau potable au robinet et que les trois quarts des nappes phréatiques françaises sont au plus bas, la polémique enfle.

mai 2023

2023, année de toutes les restrictions. Confrontées à une sécheresse intensifiée par la crise climatique, les eaux en bouteille sont contraintes de réduire leurs productions. Wattwiller en Alsace, Hépar dans les Vosges ou encore Volvic en Auvergne… l'avenir du secteur se trouble.
la consigne pour recyclage promue par le gouvernement depuis près de quatre ans ne parvient à convaincre ni les collectivités locales, ni les associations environnementales. Ces dernières prônent une consigne pour réemploi, à laquelle les industriels sont réticents. Derrière un débat en apparence technique, différents intérêts et différentes visions de la politique écologique s’y expriment.

avril 2023

Une nouvelle étude épingle l’impact environnemental de ChatGPT. Le chatbot aujourd’hui sur toutes les lèvres serait à l’origine d’une consommation d’eau de plusieurs milliers, voire plusieurs millions, de litres d’eau. La faute aux data centers des grandes entreprises de la tech qui tardent à prendre en considération ces enjeux.
Les IA génératives comme ChatGPT sont particulièrement gourmandes en eau, concluent des chercheurs américains, qui craignent les répercussions sur l’approvisionnement des populations.

février 2023

Une enquête publique est ouverte à Vittel (Vosges) sur l’avenir de la nappe souterraine surexploitée, notamment par Nestlé. Pour un collectif local, il s’agit d’une « démarche écocidaire ». Nestlé continue de provoquer des remous à Vittel. La multinationale, qui exploite les nappes de la cité thermale depuis des années, pompe beaucoup trop d’eau. Et les sous-sols se vident peu à peu. « Pour garantir la préservation de ce patrimoine commun inestimable » qu’est l’or bleu, un schéma d’aménagement et de gestion (...)

janvier 2023

La barquette plastique s’accroche aux plateaux repas des patients. Mais la vaisselle fait doucement son retour, malgré les nombreuses contraintes que cela implique. Depuis novembre dernier, les patients de la clinique Claude Bernard - Elsan d’Albi dégustent leur repas dans une barquette en plastique, et non plus dans une assiette traditionnelle. Plus exactement, le plat principal est servi dans un contenant en CPET (polyéthylène téréphtalate cristallin), recyclable et recouvert d’un film en (...)