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Ces derniers mois, les cas de covid-19 sont hausse en Belgique.
Plus de trois ans après le début de la pandémie, la reprise du Covid-19 fait resurgir des questions parfois oubliées. «Libé» fait le point sur les gestes préventifs à adopter.
Quand commença la pandémie, j’avais immédiatement appelé à faire passer notre appareil industriel en économie de guerre, pour produire à marche forcée les masques, les respirateurs, les équipements médicaux et hospitaliers, les vaccins, qui nous faisaient alors si cruellement défaut. On ne l’a pas fait. Et on n’a pu combler tant bien que mal ces lacunes qu’à grand coup (et coût) d’importations, sauf pour les masques et le gel, pour lesquels, après un temps de latence, les industriels du textiles et du luxe se sont mis en mouvement. Le résultat est tragique : alors que plusieurs de nos voisins ont sur-accéléré leur transition industrielle, nous nous sommes contentés de leur acheter à crédit ce qu’ils produisaient.
La montagne de déchets médicaux liés au Covid-19 continue à grandir. De quoi susciter l’inquiétude de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la santé et l’environnement. Dans un nouveau rapport publié sur ce mardi, l’institution se penche sur les quelque 87 000 tonnes d’équipements de protections individuelles expédiés entre mars 2020 et novembre 2021 à travers le monde par les Nations unies pour aider les pays, en particulier les plus défavorisés, à faire face à la pandémie.
Blouses médicales, masques ou emballages de colis… La quantité de déchets plastiques liés au Covid est colossale, selon une étude scientifique. Ils finissent majoritairement dans les océans et représentent une « nouvelle menace pour la vie animale ».
Les vaches émettent beaucoup de méthanes lorsqu'elles rotent. C'est un problème plus sérieux qu'il n'y parait, car ce gaz à effet de serre est bien plus puissant que le CO2. Pour y répondre, le géant de l'agriculture Cargill va commercialiser des masques pour vaches capables de filtrer le méthane qu'elles émettent.
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Ce n’est pas un scoop : les masques chirurgicaux pour limiter la propagation du coronavirus sont également au centre d’une catastrophe écologique. À Singapour, un quotidien a publié une infographie montrant l’ampleur de ce désastre.
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- A. Dms
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- RTBF
- La Libre
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Nous sommes un groupe pluridisciplinaire et international d’experts qui concluent que la négligence de la transmission du COVID-19 par aérosol est à l’origine de la différence entre les pays qui contrôlent ou ne contrôlent pas la propagation du nouveau coronavirus. Quand une personne est infectée, sa toux, ses éternuements, mais aussi sa conversation ou ses chants vont produire un nuage de gouttelettes depuis sa bouche ou son nez.