Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Filtre :
filtre:
océans onu
La crise climatique menace notre droit à la vie, a alerté lundi le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, au moment où un intense phénomène de canicule se poursuit dans le sud de l'Europe. "La hausse des températures, l'élévation du niveau de la mer, les inondations, les sécheresses et les incendies de forêt menacent nos droits à la vie, à la santé, à un environnement propre, sain et durable, et bien plus encore", a déclaré Volker Türk, lors d'une discussion sur le changement climatique devant le Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève.
Le sommet de l'Onu sur l'océan s'achève ce vendredi à Nice sur une avancée, saluée par les ONG, vers une meilleure protection de la haute mer, mais sans promesses de financements de grande ampleur.
La préservation des océans, c'est un des nombreux défis pour la survie de la planète et de l'espèce humaine. Il en est actuellement question à Nice, où se tient la 3ème conférence des Nations Unies sur l'Océan. Avec un Liégeois pour nous représenter. Lui, c'est Harold t'Serstevens. Il a 26 ans, baroudeur, bio-ingénieur, et délégué ONU pour la biodiversité pour la jeunesse francophone. De conférences sur le climat en conférences sur les océans, les lignes ne bougent pas facilement. Alors, quel est l'espoir des jeunes? Que va réclamer le jeune liégeois ? Nous lui avons posé la question.
La conférence de l'ONU sur les océans s'est ouverte lundi à Nice par des appels à la mobilisation et au multilatéralisme pour éviter le chacun-pour-soi dans les eaux internationales, avec en filigrane une dénonciation de la politique unilatérale du président américain Donald Trump, absent du sommet.
La baie des Anges se transforme en haut lieu diplomatique. Une cinquantaine de chefs d’Etat internationaux, dont le président brésilien Lula, de nombreux scientifiques et des représentants de la société civile sont attendus ce dimanche à Nice à la veille de la troisième conférence de l’Onu sur les océans (Unoc 3). Emmanuel Macron entend transformer ce rendez-vous – le troisième du genre après New York en 2017 et Lisbonne en 2022 − en sommet de «mobilisation».
A une semaine du sommet de l’ONU sur les océans, la ministre de la Transition écologique a écrit à ses homologues pour les inviter à faire pression sur deux compagnies d’extraction minière, The Metals Company et Allseas, qui veulent s’allier avec les Etats-Unis de Donald Trump.
Du 9 au 13 juin se tiendra la troisième conférence des Nations unies sur l'océan, à Nice, co-organisée par la France et le Costa Rica. À cette occasion, le projet Ipos – pour Plateforme Internationale pour la Durabilité de l’Océan – sera officiellement lancé. Il s'agit d'un nouvel outil qui a pour ambition d’orienter la décision politique vers la sauvegarde des océans.
Alors que l’Autorité internationale des fonds marins prépare un code minier pour les planchers océaniques est réunie en conseil, The Metals Company menace de se lancer dans l’exploitation de ces milieux fragiles et méconnus en s’en remettant au droit américain. En vertu de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer, l’instance onusienne prépare depuis plus de dix ans le futur code minier qui devra, tout en préservant l’environnement, encadrer l’exploitation de « la zone », c’est-à-dire des fonds marins et océaniques et de leur sous-sol situés dans les eaux internationales. Une durée bien trop longue au goût de The Metals Company.
77 % des récifs coralliens mondiaux sont touchés par le phénomène de blanchissement, principalement dû au réchauffement des eaux océaniques, conséquence directe du changement climatique d'origine humaine. Il s'agit du plus grand épisode de blanchissement jamais observé.
La montée des océans va déchaîner une "marée de malheurs" pour des centaines de millions d'habitants des zones côtières, a alerté mercredi le secrétaire général de l'ONU, appelant à agir contre le réchauffement climatique pour éviter ce naufrage.
6 milliards de tonnes de sable extraites des océans chaque année, estime pour la première fois l’ONU
- Libération,AfpDans un rapport dévoilé ce mardi 5 septembre, les Nations Unies alertent de manière inédite sur l’exploitation massive du sable dans le monde. Une menace pour les écosystèmes et la biodiversité marine.
C'est une première historique : après plus de 15 années de discussions, les pays membres de l'ONU ont adopté lundi un traité international pour protéger la haute mer. Il prévoit notamment la création d'aires marines protégées dans ces eaux internationales. Chaque État doit désormais le ratifier.
Après quinze ans de discussions, les États membres des Nations unies se sont accordés sur un texte portant sur la préservation des eaux internationales. Il doit être adopté lundi.
Texte crucial pour la préservation de la moitié de la planète, ce traité de protection de la haute mer a été voté après une double décennie de discussions.
Les Etats membres se sont enfin mis d’accord sur le premier traité international destiné à lutter contre les menaces qui pèsent sur des écosystèmes vitaux pour l’humanité. Mais il sera formellement adopté à une date ultérieure.
Le Secrétaire général de l’ONU a félicité les pays membres de l'ONU d’avoir finalisé un texte « décisif » visant à assurer la conservation et l'utilisation durable de la diversité biologique marine dans les eaux internationales.
Les Nations unies entament ce lundi des négociations pour établir un traité afin de protéger cette étendue maritime. Des aires marines protégées aux études d’impact sur l’environnement, différents outils pourraient être adoptés.
Malgré des progrès, les négociations menées dans le cadre des Nations unies ont bloqué sur la question du partage des ressources génétiques.
Aucun accord n'a été trouvé entre les États membres de l'ONU réunis depuis deux semaines pour s'entendre sur un traité de protection de la haute mer, qui passerait notamment par la création d'aires marines protégées. Greenpeace a dénoncé l'"avidité" de l'UE, des États-Unis et du Canada à garder les ressources génétiques de la haute mer pour eux.
Après quatre sessions infructueuses, les États membres de l'ONU reprennent lundi leurs négociations pour enfin accoucher d'un traité destiné à protéger la haute mer, trésor fragile et vital qui couvre près de la moitié de la planète.
Antonio Guterres a fait valoir que « l’océan n’est pas un dépotoir. Il n’est pas une source de pillage infinie. C’est un système fragile dont nous dépendons tous » et « notre échec à préserver l’océan aura des effets en cascade ».
Le monde doit se mobiliser pour préserver la santé menacée des océans et éviter ses conséquences catastrophiques pour l'environnement et l'humanité, a déclaré lundi le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres.
Des discussions vont avoir lieu dans la capitale portugaise jusqu’à samedi afin de tenter d’établir les grands axes pour la protection des espaces marins, nécessaires à la vie sur Terre mais menacés par le dérèglement climatique.
- Afp
Quatre marqueurs clés du changement climatique ont battu de nouveaux records en 2021, a indiqué mercredi l'ONU, prévenant que le système énergétique mondial conduit l'humanité à la catastrophe. Les concentrations de gaz à effet de serre, l'élévation du niveau de la mer, la température et l'acidification des océans ont tous établi de nouveaux records l'année dernière, a déclaré l'Organisation météorologique mondiale (OMM) dans son "Etat du climat mondial en 2021".
L’Organisation météorologique mondiale (OMM), dans son rapport intitulé « Etat du climat mondial en 2021 » prévient, mercredi 18 mai, que le système énergétique mondial conduit l’humanité à la catastrophe. Quatre marqueurs-clés du changement climatique ont battu de nouveaux records en 2021, mentionne le document : les concentrations de gaz à effet de serre, l’élévation du niveau de la mer, la température et l’acidification des océans. « Notre climat change sous nos yeux », a déclaré le chef de l’OMM, Petteri Taalas.
Le monde devra recourir au captage et stockage du CO2 de l'air et des océans, quel que soit le rythme auquel il parvient à réduire ses émissions de gaz à effet de serre, estime l'ONU dans son dernier rapport de référence. Longtemps perçues comme marginales ou comme un stratagème de l'industrie pour éviter de réduire ses émissions, les mesures d'élimination du dioxyde de carbone (EDC) sont désormais un outil nécessaire, selon le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec). "C'est le premier rapport du Giec à affirmer clairement que l'élimination du CO2 est nécessaire pour atteindre nos objectifs climatiques", a souligné Steve Smith, à la tête de l'initiative Oxford Net Zero, à l'Université d'Oxford.
- Belga
Les Nations unies ont commencé lundi l'inspection de la Grande barrière de corail, afin d'évaluer si le site classé au patrimoine mondial, mais qui souffre de blanchissement, est protégé du changement climatique.
La pollution des océans par le plastique nécessite une réponse. Le Programme des Nations Unies pour l’Environnement propose des solutions dans un rapport. Nous republions ici leurs solutions possibles pour mettre fin au déversement de déchets plastiques supplémentaires en mer.
La récupération d’au moins un milliard d’hectares dégradés dans la prochaine décennie est un moyen de faire face aux menaces du changement climatique, de la perte de la nature et de la pollution, indique l’ONU, dans un rapport publié aujourd’hui dans le cadre de la Décennie des Nations Unies pour la restauration de Écosystèmes 2021-2030. Les pays, ajoute l’ONU, doivent également ajouter des engagements similaires en ce qui concerne les océans,
abs_empty