– Outil de recherche de références documentaires –
Recherche : Articles Audio – podcast Fiches Livres Sites Vidéos retour Veille
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.
Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Résultats pour:
focusbiodiversité pollutions
Espèces trébuchantes. Pollutions, surexploitation, changements climatiques… le «Giec de la biodiversité» identifie plusieurs grandes causes de l’effondrement du vivant. Alors que la conférence mondiale (COP16) sur la biodiversité touche à sa fin ce vendredi, Vert vous présente quatre espèces menacées en France.
Omniprésents dans l’environnement, les microplastiques pénètrent profondément dans l’organisme des poissons, jusqu’à se retrouver en grand nombre dans les filets que nous mangeons, révèle une étude canadienne réalisée près de Toronto.
Chaque année, des dizaines de milliers de filets de pêche sont perdus ou abandonnés dans les océans avec des conséquences désastreuses.
Des milliers de filets de pêche perdus ou abandonnés traînent dans les mers du globe, avec des conséquences désastreuses. Ils sont dangereux pour de nombreux animaux, soit parce qu’ils les entravent et les noient, soit parce qu’en se dégradant ils sont absorbés par la faune océanique.
Une étude montre une baisse de 21 % de la biodiversité en moyenne dans les parcelles de banane fréquemment traitées avec du glyphosate. Le glyphosate perturbe également davantage les espèces natives.
Des actions directes et intentionnelles continuent de détruire l’air, l’atmosphère, les sols et l’eau, ainsi que la faune et la flore, jusqu’à des écosystèmes entiers… et des populations humaines avec eux. Un mouvement existe pour criminaliser les actes de destruction à grande échelle et lui donner le nom d’écocide. La criminalisation pourrait toutefois ne pas suffire, surtout au Canada.
Près de 50 000 hectares sont partis en fumée en juillet en Grèce. Une partie de la faune a été affectée par ces incendies, notamment à Rhodes où des cervidés ont été retrouvés carbonisés. Les feux ont aussi engendré la diffusion de particules polluantes à des niveaux "record".
oiseaux et déchets, photographies.
L’an dernier, le nombre de phoques échoués et retrouvés morts sur le littoral belge a doublé, passant à 100 en 2021 contre une moyenne de 44 au cours de la période 2018-2020. Nos 65 kilomètres de côtes sont donc des endroits que les spécialistes des mammifères marins observent tout particulièrement. Ce matin, Sophie Brems interrogeait à ce sujet Thierry Jauniaux, vétérinaire à l’ULiège et expert de la question.
Celles-ci ont ouvert une enquête, soupçonnant un possible lien avec une pollution. Au total, "65 tortues ont été dénombrées, majoritairement de l'espèce des tortues olivâtres (Lepidochelys olivacea), et 14 dauphins", a indiqué à l'AFP le Conseil national des aires protégées.
Six ONG ont publié leur évaluation des progrès réalisés par l'UE pour garantir la santé des océans d'ici à 2030. Selon l'analyse, les progrès de l'année dernière sont minimes et ne suffisent pas à atteindre les objectifs du Blue Manifesto, feuille de route publiée en 2020.
Une solide expertise scientifique le confirme : les pesticides détruisent la biodiversité et contaminent largement les écosystèmes, jusque dans les fonds marins.
Les médicaments ont permis d'augmenter l'espérance de vie humaine, mais leurs résidus induisent une importante pollution des rivières.
L’Institut national de l’environnement industriel et des risques et l’Office français de la biodiversité ont évalué les concentrations de 141 contaminants organiques sur 1 600 sites de rivières françaises entre 2016 et 2018.
Les sols sont sans doute les écosystèmes les plus complexes et les plus riches en biodiversité sur terre, contenant près d’un quart de la diversité de la planète (Ram, 2019). Une poignée de terre contient environ de 10 à 100 millions d’organismes appartenant à plus de 5.000 taxons [espèces et/ou familles spécifiques] (Ramirez et al., 2015), dont seul un petit pourcentage a été décrit (Adams et Wall, 2000).
Les pollutions des eaux douces sont multiples. Industrielles, agricoles, mais aussi médicamenteuses. En effet, nombreux sont les médicaments qui, une fois administrés, ne sont pas complètement métabolisés par le corps. Une partie non négligeable de ces molécules est excrétée indemne dans les urines et les fèces, et passe au travers des techniques d’assainissement des eaux des stations d’épuration. Les rivières se muent ainsi en un bouillon médicamenteux. Quel en est l’impact sur la faune et la flore ?
La Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) est à l’origine d’une action en justice au tribunal judiciaire de Lyon contre les fabricants et distributeurs d’imidaclopride. Ce puissant pesticide fait partie des néonicotinoïdes à l’origine du déclin de plusieurs espèces en zone rurale, en particulier des oiseaux.
Agricultural pesticide use and its associated environmental harms is widespread throughout much of the world. Efforts to mitigate this harm have largely been focused on reducing pesticide contamination of the water and air, as runoff and pesticide drift are the most significant sources of offsite pesticide movement. Yet pesticide contamination of the soil can also result in environmental harm.
Shanna Swan, spécialiste étasunienne de santé environnementale, s’attaque à un sujet « dont on ne veut pas parler » : les liens entre pollution chimique et problèmes de fertilité. Les perturbateurs endocriniens, issus notamment des plastiques, altèrent profondément la santé reproductive des femmes, des hommes et de bien d’autres espèces.