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black-out
L'enquête des experts européens sur la méga-panne électrique qui semé le chaos en Espagne et au Portugal en avril met en avant les phénomènes de surtension, "une première" en Europe, voire dans le monde, mais les causes "profondes" restent toujours inconnues. « Surtensions en cascades » "Il s'agit de la panne d'électricité la plus grave qu'ait connue l'Europe au cours de ces vingt dernières années et le plus important est qu'il s'agit de la première du genre" liée à un phénomène de "surtensions en cascade", a déclaré Damian Cortinas, président du conseil de l'ENTSO-E, le réseau européen des gestionnaires de réseau de transport d'électricité, lors de la présentation à la presse de ce rapport préliminaire vendredi. "Cela ne s'est jamais produit auparavant en Europe, nous en sommes sûrs", a-t-il indiqué à Bruxelles. Et probablement "dans le monde entier", a-t-il ajouté.
Quelque 2,3 millions de personnes ont été privées d'électricité vendredi dans le sud-est du Mexique en raison d'une panne qui a semé le chaos notamment dans la ville touristique de Cancun, selon les autorités. Quatre heures après l'incident, qui s'est produit sur une ligne d'interconnexion entre plusieurs réseaux, le service était rétabli à environ 50% dans de vastes zones touchées des Etats de Yucatan, Campeche et Quintana Roo.
Pour tenter de calmer un mouvement de protestation contre les coupures d'eau et d'électricité, le président malgache a annoncé vendredi qu'il limogeait son ministre de l'Énergie, peu après l'entrée en vigueur d'un deuxième couvre-feu nocturne dans la capitale Antananarivo dévastée par des pillages. Les manifestants ont appelé à une nouvelle manifestation samedi.
Jusqu'à 55 % du réseau électrique européen présente un risque de black-out sans une amélioration de l'interconnexion électrique, avertit mercredi le think tank Ember, spécialisé dans les questions énergétiques.
Mercredi matin, un arrêt de la centrale électrique Antonio-Guiteras, située au centre de l’île, a provoqué la déconnexion du système électrique sur l’ensemble du pays.
Cinq des 15 provinces de Cuba sont affectées depuis dimanche soir par une panne de courant totale, un problème récurrent dans l'île en proie à une sévère crise énergétique, a annoncé la compagnie Union Electrica Cubana. Cette panne est due à la défaillance d'une ligne à haute tension dans l'est du pays qui a "provoqué la déconnexion du système" des provinces de Las Tunas, Granma, Holguin, Santiago de Cuba et Guantanamo, a indiqué la compagnie sur le réseau social X.
Nouvelle pénurie. Une grande partie de la population est privée d'électricité.
L'Irak a été presque totalement privé d'électricité publique pendant plusieurs heures lundi à cause d'une panne géante provoquée, selon les autorités, par des températures record, atteignant 50°C à Bagdad et dans plusieurs provinces, et une hausse de la consommation. Dans ce pays de 46 millions d'habitants, où les canicules sont de plus en plus fréquentes, la plupart des foyers peuvent néanmoins s'alimenter grâce aux générateurs, alors que la vague de chaleur actuelle devrait encore durer pendant plus d'une semaine, selon les services météorologiques.
Le réseau électrique en Irak connaît lundi une "panne totale" provoquée par "une hausse record des températures" et une augmentation de la consommation qui ont entraîné l'arrêt de deux lignes de transmission, a annoncé le ministère de l'Electricité. Si les foyers peuvent encore s'alimenter grâce aux générateurs, cette panne intervient au moment où le thermomètre atteint jusqu'à 50°C à Bagdad et dans 11 provinces du centre et du sud du pays. La hausse de la demande concerne notamment la province de Kerbala, a expliqué le ministère, où des millions de pèlerins affluent vers la ville sainte chiite à l'occasion de l'importante commémoration religieuse de l'Arbaïn.
Les oppositions ont voté contre ce décret-loi qui proposait un panel de mesures censées éviter que la panne du 28 avril ne se reproduise. La péninsule Ibérique avait été privée de courant pendant des dizaines d’heures.
Imaginez une arme capable de paralyser une ville entière sans faire exploser le moindre bâtiment, sans tirer une balle, sans faire de victimes directes. Une frappe silencieuse qui plongerait instantanément les infrastructures dans le noir, désactivant radars, communications, et lignes de défense. Ce n’est plus de la science-fiction : la Chine vient de dévoiler ce qui pourrait bien être la prochaine évolution de la guerre moderne.
Une grande partie de la République tchèque a été touchée vendredi par une panne d'électricité selon l'opérateur, qui enquête actuellement sur les raisons de l'incident ayant notamment mis temporairement le métro de Prague à l'arrêt. "Pour le moment, nous pouvons confirmer qu'il y a une panne de courant dans notre réseau électrique" qui a touché "une grande partie de la République tchèque", a déclaré à l'AFP Hana Klimova, porte-parole de l'opérateur de réseau CEPS.
A la suite d’une série d’actes de sabotage sur la principale centrale électrique du pays, la capitale haïtienne subit des coupures de courant prolongées qui compliquent davantage le quotidien des habitants, assiégés par les bandes criminelles.
La méga-panne survenue le 28 avril dans la péninsule ibérique a été provoquée par des "surtensions" ayant entraîné "une réaction en chaîne", selon un rapport publié mardi par le gouvernement espagnol, qui pointe des erreurs d'appréciation du gestionnaire du réseau électrique et de certaines entreprises.
La coupure de courant avait paralysé pendant plusieurs heures l’ensemble de la péninsule ibérique fin avril. Elle aurait été causée par «un phénomène de surtensions», selon les résultats d’un rapport rendu public ce mardi 17 juin par le gouvernement espagnol.
Après l'annonce d'un "phénomène de surtensions" comme cause de la coupure d'électricité géante dans la péninsule ibérique le 28 avril, retour sur les origines des grandes pannes d'électricité récentes ayant touché tout un pays. Ces pannes majeures s'expliquent souvent par un accident dans la fourniture ou distribution d'électricité, la vétusté du réseau ou encore un déséquilibre inattendu entre production et consommation.
A deux reprises depuis fin 2024, des coupures géantes ont plongé dans le noir ce territoire américain des Caraïbes en proie à une grave crise énergétique causée par des décennies de sous-investissements et les ravages de l’ouragan Maria en 2017.
Le gouvernement espagnol a nié mercredi qu'une "quelconque expérimentation" sur le réseau espagnol ait pu provoquer la méga-panne électrique du 28 avril et dénoncé les "fausses informations" sur l'origine de la coupure, qui reste inconnue un mois tout juste après l'incident. "Il est faux, totalement faux que le gouvernement ait mené une quelconque expérimentation" sur le réseau électrique avant la coupure, a assuré la ministre de l'Ecologie Sara Aagesen, interrogée au Parlement sur un article de presse mettant en cause l'action de l'exécutif en amont de la panne.
Au lendemain du sabotage de deux installations électriques avec un black-out massif autour de Cannes en plein festival, un incendie volontaire a visé un transformateur électrique à Nice, dans la nuit de samedi à dimanche, touchant 45.000 foyers. Une enquête en flagrance a été ouverte pour "destruction par incendie en bande organisée" et confiée à la police judiciaire, a indiqué le procureur de Nice, Damien Martinelli, dans un communiqué. "Des constatations et examens techniques sont en cours notamment pour préciser les dégâts et les modalités de passage à l'acte", a-t-il ajouté.
L'Espagne et le Portugal ont demandé mercredi à la Commission européenne d'agir pour renforcer en "urgence" les interconnexions électriques entre la péninsule ibérique et la France, afin d'éviter de nouvelles coupures comme la panne géante survenue le 28 avril. Dans un courrier commun remis au commissaire à l'Energie Dan Jorgensen, dont l'AFP a obtenu copie, la ministre espagnole de l'Ecologie Sara Aagesen et son homologue portugaise Maria da Graça Carvalho jugent nécessaire une "nouvelle impulsion politique" sur ce dossier.
En tout état de cause, les gestionnaire de réseau souligne que « la réalisation d’une analyse technique et scientifique rigoureuse pour des incidents de grande ampleur de ce type est chronophage. Elle n’est, par méthode, jamais réalisée à chaud ». Il rappelle également que l’association des gestionnaires de réseaux européens ENTSO-E a annoncé le 1er mai la mise en place d’un panel d’experts pour conduire des travaux sur ce black-out(1).
La méga-panne électrique en Espagne et au Portugal, encore inexpliquée, a néanmoins braqué les projecteurs sur un suspect: les énergies renouvelables, régulièrement accusées par leurs détracteurs de fragiliser le système. Une chose est sûre, leur essor représente un défi pour le réseau électrique, qui doit évoluer pour s'y adapter. Les opérateurs des réseaux veillent à l'équilibre, à tout instant, entre l'offre et la demande électrique. L'indicateur de cet équilibre est la fréquence électrique, calibrée à 50 Hz en Europe, 60 aux Etats-Unis. Un écart trop important par rapport à ce standard peut mettre en danger le réseau.
L'Espagne et le Portugal ont créé vendredi un "groupe d'accompagnement" conjoint visant à identifier la cause de la panne d'électricité géante qui a touché la péninsule ibérique lundi. "Nous allons collaborer pour identifier les causes de l'incident et mettre en oeuvre les mesures nécessaires pour que cela ne se produise pas à nouveau", a déclaré la ministre espagnole de la Transition écologique, Sara Aagesen, citée dans un communiqué du gouvernement de Madrid après une réunion par visioconférence avec son homologue, la ministre portugaise de l'Environnement et de l'Energie, Maria da Graça Carvalho.
Ce sera le message principal de cet article : à l’heure où nous l’écrivons, nous savons très peu de choses, si ce n’est qu’il est urgent d’attendre. Toutes les hypothèses simples évoquées jusqu’ici ont été démenties peu de temps après.
La gigantesque coupure d’électricité qui a touché la péninsule ibérique, lundi 28 avril, et dont la cause exacte n’a toujours pas été établie, suscite la controverse à Madrid entre les partisans du nucléaire et ceux des énergies vertes.
Lundi, l’Espagne et le Portugal ont été paralysés par une coupure de courant gigantesque, sans que les causes de cette panne soient encore éclaircies. Pourtant, le soir même sur Franceinfo, un invité a attribué l’incident aux énergies renouvelables, qualifiées de «péril», sans être contredit par la journaliste en plateau.
Au lendemain de la panne électrique qui a semé le chaos dans la péninsule Ibérique, toutes les hypothèses pour expliquer le black-out sont envisagées. Le Premier ministre espagnol a annoncé ce mardi lors d’une conférence de presse la création d’une commission d’enquête chapeautée par le ministère de la Transition écologique. Toutes «les mesures nécessaires seront prises pour que cela ne se reproduise pas», a assuré Pedro Sánchez. «Les techniciens du réseau électrique continuent à réaliser une analyse de leur système. Nous attendons de recevoir leurs résultats préliminaires dans les prochaines heures ou prochains jours», a-t-il expliqué.
Les pannes sont souvent causées par l'arrêt soudain d'une source de production (centrale) en raison d'un aléa technique ou d'une pénurie de combustible pour alimenter des centrales thermiques. Ces dernières années, des catastrophes naturelles telles que tempêtes, tremblements de terre, incendies de forêt, chaleurs ou froids extrêmes, parfois intensifiées par le changement climatique, ont pu endommager les infrastructures ou créer des pics de demande pour le chauffage ou la climatisation. Autres causes possibles: les surcharges sur les lignes à haute tension, qui obligent l'électricité excédentaire à se déplacer sur d'autres lignes, et les cyberattaques, piste écartée en Espagne et au Portugal à ce stade, mais qui est une menace de plus en plus citée, du fait de réseaux de plus en plus informatisés.
Une conséquence inattendue de la panne d’électricité géante sur le continent européen. En plein océan Atlantique, à des milliers de kilomètres de l’Espagne et du Portugal où s’est produite lundi 28 avril une importante coupure de courant, le Groenland a été privé dans la soirée de tout moyen de communication, a annoncé le fournisseur local Tusass.
Plus d’une année s’est écoulée. Une année de morts, de blessés, de déplacés — de désespoir. A Gaza, parmi les dizaines de milliers de victimes, les journalistes meurent toujours sous les tirs ou les frappes israéliennes. Et les journalistes internationaux sont toujours tenus à l’écart sur décision israélienne.
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