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Ils ont tous connu des réussites hors normes dans la tech. Une vingtaine de milliardaires de la Silicon Valley ont la conviction que la démocratie a vécu et entendent prêter main-forte à Donald Trump. Plongée parmi les « tech bros ».
Le mouvement Make America Great Again (MAGA) et ses liens avec la Silicon Valley ont fait naître le « techno-fascisme ». Cette expression peut paraître rigolote ou exagérée, mais elle n’a jamais été aussi près de la réalité. L’arrivée au pouvoir de Donald Trump avec un mandat autoritaire et ultra-conservateur aligné sur le Projet 2025, le virage à droite des milliardaires et dirigeants des GAFAM qui célèbrent l’arrivée du nouveau président, le décret annulant la réglementation de l’intelligence artificielle (IA), le financement du projet Stargate à 500 milliards de dollars, tout cela participe d’un même mouvement.
L'Antarctique a enregistré sur le mois de juillet des températures en moyenne de 10 °C au-dessus de la normale.
L’hydrogène vert est produit par électrolyse, à partir d’énergies renouvelables. Pourra-t-il aider à diminuer les émissions de CO2 ?
Forecast downturn still ‘nowhere near steep enough’ to limit temperature rise to 1.5C, says watchdog
Des chercheurs suisses ont évalué les symptômes à long terme et la santé des personnes non vaccinées ayant contracté la COVID-19. Résultat : 18% d'entre elles développeraient des symptômes persistants, souvent durant des années.
Dans une récente déclaration, des dizaines de chercheurs appellent à redoubler de vigilance quant aux dangers liés à l'IA.
Des chercheurs ont mis au point un algorithme capable de décoder les signaux cérébraux pour recréer les images perçues avec plus de 95% de précision !
Energy Vault propose une solution de stockage gravitaire d'électricité, basée sur le levage et l'abaissement de blocs de plusieurs tonnes.
Le constat n’est pas récent, mais le 24 février 2022 lui a donné une tournure nouvelle : nous ne vivons pas la guerre, mais nous ne sommes pas en paix. L’invasion de l’Ukraine par la Russie a déclenché, ici à l’Ouest de l’Europe, un intense enchevêtrement d’affects : choc et sidération face à une guerre qui éclate sur le continent européen ; peur devant la possibilité d’une escalade ; sentiments de solidarité envers les Ukrainiens ; angoisse sourde suscitée par la réapparition de la menace d’une guerre nucléaire sur notre scène géopolitique. Aux premières semaines de la guerre, une grande excitation était également palpable, une atmosphère de survoltage, rythmée par l’emballement médiatique et les appels politiques à la mobilisation. Dans le même temps, nous n’en demeurons pas moins à une certaine distance de la guerre, physiquement et affectivement, à l’abri de ses violences, et priant pour le rester.
Des chercheurs démontrent qu’il est possible de transformer un ancien puits de pétrole ou de gaz en un système de stockage d’énergie géothermique.
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L'association Avicenn a retrouvé des nanoparticules dans 20 produits du quotidien sur les 23 testés. Ces molécules extrêmement petites, pénétrant facilement dans notre organisme, semblent être utilisées dans de nombreux produits sans que les fabricants ne l'indiquent. Entre infractions et ambiguïtés dans les lois, les industriels jouent sur le manque de données et la complexité du sujet.
Il pourrait s’agir d’une première mondiale et d’une avancée majeure dans notre recherche d’une source d’énergie propre, sûre et quasi illimitée : selon le Financial Times, les chercheurs du National Ignition Facility, à Livermore, auraient réussi à initier une fusion nucléaire contrôlée ayant entraîné une production nette d’énergie. Leur expérience aurait libéré 2,5 mégajoules d’énergie alors que 2,1 mégajoules ont été nécessaires pour chauffer le combustible.
Un glacier de l'Antarctique, dont vous n'avez probablement jamais entendu parler, décide à lui seul de la manière dont nous vivrons à l'avenir. Son nom: Thwaites.
Un groupe de chercheurs de l’Université de Chicago a trouvé un moyen de produire un matériau dans lequel les fragments moléculaires sont mélangés et désordonnés (comme le plastique), mais qui peut tout de même très bien conduire l’électricité. Cette avancée pourrait ouvrir la voie à une nouvelle classe de matériaux, robustes et faciles à façonner, pour l’électronique et de nombreux appareils de la vie courante.
Le choléra avait disparu du Liban depuis 1993. Mais depuis un mois, elle refait surface. D’abord cantonnée aux camps de réfugiés du nord du pays, où se concentrent un peu plus d’un million de Syriens, la maladie s’est propagée à une vitesse phénoménale et touche désormais d’autres régions du pays. Dans le pays du Cèdre, en proie à une profonde crise économique, les ONG redoutent que le système de santé, déjà à genoux, ne puisse prendre en charge la vague épidémique.
Situé à une quarantaine de kilomètres de la ligne de front, le barrage de la centrale hydroélectrique de Kakhovka, dans la région de Kherson, aurait été "miné" par les forces russes, selon Kiev. Moscou dément et accuse l’Ukraine de vouloir détruire cette infrastructure hautement stratégique. Une menace qui fait craindre une "catastrophe de grande ampleur" au président Volodymyr Zelensky.
Une équipe de chercheurs britanniques, dirigée par l’Université de Bristol, a réussi à fabriquer un nouveau séparateur de batterie particulièrement robuste à partir de nanomatériaux cellulosiques dérivés d’algues brunes. Cette invention pourrait ouvrir la voie à un dispositif de stockage d’énergie plus écologique et plus efficace que les batteries lithium-ion actuelles.
Découvert en 1958, le virus à l’origine de la variole du singe (ou monkeypox), l’orthopoxvirus simien, est endémique de l’Afrique centrale et de l’Ouest. Mais depuis le mois de mai 2022, des milliers de cas ont été signalés en Europe et dans le monde ; le virus fait aujourd’hui l’objet d’une surveillance accrue. La République démocratique du Congo est le pays le plus touché, avec 120 décès depuis le 1er janvier. Ces décès sont vraisemblablement dus à un variant plus virulent, nommé clade I. Les experts craignent qu’il ne se répande lui aussi dans le reste du monde.
Une équipe internationale de chercheurs, dirigée par l’Institut d’études marines et antarctiques (IMAS) de l’Université de Tasmanie, a découvert de l’ADN très ancien dans les sédiments des grands fonds marins de la mer de Scotia, au nord de l’Antarctique. Cette découverte donne un aperçu des changements passés à l’échelle de l’écosystème océanique et pourrait aider à prédire comment la vie marine réagira au changement climatique en cours.
Hépatite, pneumonie, dengue, paludisme… Plus de la moitié des maladies infectieuses connues peuvent être aggravées par le changement climatique. Les vagues de chaleur, la sécheresse, les inondations, les incendies, les tempêtes, les variations du niveau de la mer, tous ces événements sont susceptibles d’influencer les maladies humaines provoquées par des virus et autres agents pathogènes. Les chercheurs appellent à réduire les émissions de gaz à effet de serre de toute urgence.
L’excès de dioxyde de carbone dans l’atmosphère est dû en partie à la déforestation, mais surtout à la consommation de combustibles fossiles. Des chercheurs se sont intéressés aux moyens d’opérer un changement radical dans ce domaine : ils révèlent dans leur étude quels sont les 10 acteurs financiers ayant le plus d’influence sur l’économie des combustibles fossiles. Ces acteurs pourraient jouer un rôle décisif dans l’effort mondial de décarbonisation.
La pandémie de COVID-19 a révélé à quel point l’économie mondiale pouvait rapidement basculer, en particulier les marchés liés à la production et l’approvisionnement alimentaire. Bien d’autres événements extrêmes peuvent soudainement mettre à mal la production et la logistique des ressources, de surcroît s’ils se produisent simultanément : catastrophes naturelles (inondations, sécheresses, canicules), crises financières, conflits humains. Comment améliorer la résilience des systèmes alimentaires face à ces menaces croissantes ?
L’idée d’une croissance heureuse, où l’économie pourrait continuer à croître éternellement si le capital se substitue assez rapidement aux ressources naturelles qui s’épuisent, ne fait pas l’unanimité, souligne Florian Fizaine, maître de conférences en sciences économiques.
Les températures augmentent, les vagues de sécheresse et les incendies se font plus fréquents, les tempêtes et les inondations s’intensifient… Nous subissons déjà les conséquences du changement climatique. « Un code rouge pour l’humanité », c’est en ces termes qu’António Guterres, Secrétaire général des Nations Unies, présentait le rapport du premier groupe de travail du GIEC lors d’une déclaration au mois d’août. L’humanité pourrait-elle finir dans une extinction de masse sur une planète devenue impropre à sa survie ?
Une innovation low-tech ? Quel est cet étrange oxymore ? Faut-il retourner à la bougie ou à l’âge des cavernes au lieu de miser sur le progrès technologique ? Certes, le low-tech ne fait pas rêver comme le high-tech et ses applications futuristes. Et pourtant, si c’était là que se situait la vraie modernité et le courage d’innover ?
After almost six years of negotiations over the tangle of convoluted rules required to integrate the world’s burgeoning carbon markets – which were first put forward in article 6 of the 2015 Paris climate agreement – negotiators announced they had agreed a common set of tools. These would allow carbon markets to operate globally, and unleash trillions of dollars of green investments through so-called carbon offset programmes.
C’est l’avertissement lancé par James Lovelock, dans un article qu’il vient de publier dans The Guardian. Lovelock est un scientifique et écologiste britannique indépendant, à l’origine de l’hypothèse biogéochimique (ou « hypothèse Gaïa »). Cette hypothèse controversée, établie en 1970, soutient que notre planète serait un être vivant, une sorte de superorganisme chargé d’autoréguler ses composants pour favoriser la vie.
Cette température, extrême pour ce continent, a été relevée l’an dernier, le 6 février, à la station de recherche Esperanza située sur la péninsule antarctique. L’Organisation météorologique mondiale des Nations Unies vient tout juste de confirmer ce résultat. Le record précédent, officiellement reconnu comme tel, remonte au mois de mars 2015, où la même station avait enregistré une température de 17,5 °C. Cette augmentation souligne une nouvelle fois l’urgence de mettre en place des mesures pour limiter le changement climatique.
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