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stockage

mai 2025

Du sel pour stocker de l'hydrogène. Le projet "Hypster", porté par Engie, a validé la faisabilité du stockage de la plus petite des molécules de gaz dans des cavités salines, ouvrant la voie à son déploiement à grande échelle pour accélérer la décarbonation de l'industrie et de la mobilité lourde ou produire de l'électricité. "On a une petite cavité dans laquelle on a simulé des stockages", montre Charlotte Roule, vice-présidente hydrogène d'Engie et directrice-générale de sa filiale Storengy, dédiée au stockage souterrain de gaz naturel. "Il faut bien comprendre que pour tout ce qui est stockage d'hydrogène, on est au stade des (projets) pilotes en Europe", ajoute-t-elle. "La cavité saline est ce qui est le plus sûr pour démarrer".
Afin d’assurer la transition énergétique et lutter contre le réchauffement climatique, il incombe d’augmenter la part de la production d’électricité bas-carbone. Pour des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT), les systèmes de stockage d’énergie à air liquide (LAES) sont une solution possible. L’objectif est ici de stocker de l’énergie sur une durée assez longue, de manière durable et à faible coût, comme l’explique leur étude parue dans la revue Energy le 15 avril 2025.Pour rappel, les LAES stockent l’énergie en comprimant et en refroidissant l’air jusqu’à ce qu’il atteigne l’état liquide. Ceci permet d’emmagasiner de grandes quantités d’air – et donc d’énergie – dans un espace réduit. Plus précisément, le dispositif est chargé à l’aide d’un liquéfacteur d’air et l’énergie est récupérée par un cycle de Rankine utilisant l’air liquide stocké comme fluide de travail.

mars 2025

Les acteurs du captage de CO2 adaptent leur message à l'ère Trump pour éviter l'implosion de leur fragile modèle économique. Le captage, l'utilisation et le stockage du dioxyde de carbone (CCUS) n'en est encore qu'à ses balbutiements aux États-Unis. Selon un rapport du Bureau du budget au Congrès (CBO), seuls 15 sites étaient opérationnels aux Etats-Unis fin 2023. Au total, leurs capacités se limitaient à 0,4% des émissions sur le territoire américain. Jessie Stolark, directeur de l'association Carbon Capture Coalition, qui réunit des entreprises, des syndicats et des organisations de protection de l'environnement, évoque 275 projets annoncés. L'essor programmé de cette technologie, qui consiste à capter le CO2 pour le stocker sous-terre ou le réutiliser, repose, en bonne partie, sur des incitations fiscales.

février 2025

Entre 600 et 700 personnes ont manifesté ce dimanche 2 février à Hersin-Coupigny pour s’opposer au projet d’installation d’un site d’enfouissement de déchets dangereux.

janvier 2025

Le projet, porté par Open AI, accompagné par l’investisseur SoftBank et le gestionnaire de données Oracle, a pour ambition d’accompagner les énormes besoins de stockage exigés par l’innovation sur l’intelligence artificielle.
L’une des plus grandes usines de stockage d’énergie par batteries est en feu, à Moss Landing, dans le nord de la Californie. Face aux immenses flammes et à la fumée noire toxique qui s’en échappent, les autorités locales ont lancé jeudi 16 janvier un ordre d’évacuation concernant 1 500 personnes vivant autour du site, indique le Mercury News.
Un armateur norvégien a annoncé avoir modifié un de ses navires pour en faire "le premier au monde" doté à bord d'un système de captage et de stockage du CO2 à grande échelle afin de réduire ses émissions.Alimenté au fioul lourd, un carburant décrié pour ses émissions élevées de soufre, particules fines et dioxyde de carbone, le Clipper Eris devrait voir ses rejets de gaz à effet de serre (GES) réduits de jusqu'à 70%, a indiqué son propriétaire, le groupe Solvang.
La coentreprise Northern Lights, financée par Shell, TotalEnergies et Equinor, a inauguré, en septembre 2024, ses douze réservoirs, à Oygarden, sur la côte sud-ouest du pays. Mais, pour l’heure, les industriels censés procéder au captage du CO₂ ne se pressent pas.

décembre 2024

Au-delà des risques pour les riverains, ce type de projet pose des questions sur la manière de résoudre la crise climatique et environnementale.
Avec ses petites unités de stockage couplées à des bornes de recharge, le groupe NW est le leader français. Son président, Jean-Christophe Kerdelhué, explique en quoi la flexibilité apportée par ce maillage peut appuyer la décarbonation.
La société TagEnergy a annoncé ce 3 décembre le lancement de la construction de la future plus grande plateforme de stockage d’énergie par batteries en France.Une capacité cinq fois supérieure à la « plus grande batterie actuelle »Située à Cernay-lès-Reims, dans la banlieue rémoise (Marne), le site de stockage devrait bénéficier d'une capacité de stockage « près de cinq fois supérieure à celle de la plus grande batterie actuellement en service en France » (le site de Saucats en Gironde).

octobre 2024

Les projets industriels de captage et de stockage de C02 (CSC) ont connu une "forte croissance" depuis 2017, avec désormais 628 projets dans le monde, selon un rapport mardi de l'Institut mondial du CSC, un organisme qui promeut ces technologies destinées à freiner le réchauffement climatique.Au 24 juillet 2024, 50 de ces projets étaient opérationnels, 44 en construction et 534 en développement, représentant une hausse de 60% sur un an, détaille le rapport 2024 de ce groupe de réflexion.
Les aires protégées, notamment celles situées en Afrique, subissent des pressions liées aux activités humaines telles que la chasse, l'agriculture et la carbonisation. Ces pressions anthropiques, qui contribuent à la dégradation des aires, réduisent le potentiel de stockage de carbone de ces écosystèmes.

septembre 2024

En Norvège, le ministre de l'Énergie a inauguré officiellement ce 26 septembre la première usine au monde de transport et de stockage transfrontalier de CO2 à Øygarden, près de Bergen (ouest de la Norvège). 1,5 million de tonnes de CO2 par an. L'installation qui fait la fierté de la Norvège est baptisée « Northern Lights » (« aurores boréales » en anglais). Elle est constituée d'un terminal de réception de CO2, de pipelines par lesquels circulera ce CO2 et d'installations sous-marines où il sera stocké.
« Cela ressemble à un tableau », déclare Jean-Pierre Simon, en montrant du doigt la rangée d'arbres vert foncé qui sépare les champs et qui scintille à présent dans le soleil couchant. C'est un paysage qu'il admire depuis des décennies. « Mais bientôt, une ligne de chemin de fer et un train transportant des déchets nucléaires traverseront cet horizon », déplore l'agriculteur, le ton amer. Cela fait trois générations que sa famille vit ici, près de Bure, dans le département de la Meuse, dans (…)


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