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Carbon
Impact du tourisme spatial sur le climat - Pour décrire l’empreinte carbone d’un touriste spatial, nous allons découper le cycle de vie d’une fusée en mettant pour l’instant de côté la phase de lancement, c’est-à-dire en ne s’intéressant d’abord qu’aux activités ayant lieu au sol.
La France va financer pour environ 400 millions d'euros de nouveaux projets liés à la décarbonation de l'industrie, comme des chaufferies d'usine plus écologiques, ont annoncé vendredi les ministères de l'Économie et de l'Industrie. Pour ce faire, de nouveaux appels à projet seront lancés dans le cadre du plan d'investissement France 2030 et ce, malgré les contraintes budgétaires, qui ne doivent pas "écarter la menace climatique", a justifié Bercy lors d'un brief avec des journalistes.
Le gouvernement français a revu en baisse mercredi ses objectifs de capacité de production d'hydrogène bas carbone, avec désormais comme objectif "jusqu'à 4,5 gigawatts" installés en France en 2030 et 8 GW en 2035, contre respectivement 6,5 GW et 10 GW visés jusqu'à présent.
Tipping elements within the Earth system are increasingly well understood. Scientists have identified more than 25 parts of the Earth’s climate system that are likely to have “tipping points” – thresholds where a small additional change in global warming will cause them to irreversibly shift into a new state. The “tipping” of these systems – which include the Atlantic Meridional Overturning Circulation (AMOC), the Amazon rainforest and the Greenland ice sheet – would have profound consequences for both the biosphere and people. More recent research suggests that triggering one tipping element could cause subsequent changes in other tipping elements, potentially leading to a “tipping cascade”. For example, a collapsed AMOC could lead to dieback of the Amazon rainforest and hasten the melt of the Greenland ice sheet.
Dans cette vidéo, Greg De Temmerman, physicien, nous plonge au cœur des enjeux énergétiques actuels. De la transition énergétique à l'impact des énergies fossiles sur notre climat, il explique pourquoi la décarbonation est une nécessité, mais aussi un défi de taille. À travers des concepts clairs, il nous guide dans la complexité de l'énergie, des conversions thermiques aux solutions bas carbone comme l'hydrogène et le photovoltaïque. Un échange passionnant sur les solutions et les obstacles d'une transition énergétique globale.
Les Etats membres de l'Organisation maritime internationale (OMI), une agence de l'ONU, se sont prononcés vendredi à Londres en faveur d'un système mondial de tarification du carbone, jugé toutefois pas assez ambitieux par les pays insulaires du Pacifique.
Les Etats membres de l’Organisation maritime internationale ont approuvé pour la première fois un système mondial de tarification du carbone pour les navires de fret. Des mesures trop partielles pour atteindre la neutralité carbone en 2050, selon certains Etats et les ONG.
La sortie des énergies fossiles implique de consommer plus d'électricité décarbonée dans nos maisons, nos voitures et nos usines, mais tout ne va pas aussi vite que prévu: en France, et plus largement en Europe, la consommation électrique patine malgré les enjeux climatiques. Consommer de l'électricité bas carbone, qu'elle soit solaire, éolienne ou nucléaire, est un des leviers de l'Union européenne pour atteindre la neutralité carbone en 2050. Remplacer nos voitures thermiques par des électriques, des chaudières à gaz par des pompes à chaleurs, substituer le fioul et le gaz des usines par de l'électricité. Cette transformation porte un nom: l'électrification des usages.
Deuxième puissance maritime mondiale, la France doit agir avec résolution pour protéger ces précieux puits de carbone aquatiques et leur biosphère grièvement menacés par le dérèglement climatique.L’année 2024 a été la plus chaude jamais enregistrée, la première à dépasser le seuil de 1,5 °C de réchauffement. L’objectif établi dans l’accord de Paris est en train de nous échapper, mais nous poursuivons notre course vers l’abîme. Ceci constitue donc un dernier appel avant l’effondrement.
L’Agence internationale de l’énergie conforte un paradoxe bien connu dans son dernier rapport. Le déploiement de technologies bas carbone limite la hausse des émissions de gaz à effet de serre, mais les besoins des pays émergents contribuent à accroître la demande énergétique, relève Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
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