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guerre ukraine occident
Le chancelier a annoncé que les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni se joignaient à l’Allemagne dans ce changement de doctrine militaire, mais aucun de ces pays n’a encore confirmé. La Russie a fustigé une « décision assez dangereuse ».
Pour Oleksandr Danylyuk, membre du groupe de réflexion Royal United Services Institute, l'invasion russe en Ukraine aurait trois objectifs précis.
Le président russe a directement menacé jeudi les alliés de l’Ukraine, après avoir lancé sur l’Ukraine un nouveau type de missile balistique, conçu pour porter une ogive nucléaire.
Alors que les tirs inédits de missiles balistiques par la Russie sur Dnipro représentent un seuil supplémentaire dans l’escalade, les pays occidentaux affirment qu’ils ne se laisseront pas intimider et poursuivront leur soutien à l'Ukraine.
Plusieurs pays occidentaux craignent une attaque aérienne de grande ampleur sur la capitale ukrainienne. Par précaution, ces États ont décidé de fermer temporairement leurs représentations diplomatiques, mercredi 20 novembre.
Le chef de la diplomatie russe a promis mardi une réponse "appropriée" aux tirs ukrainiens de missiles américains ATACMS contre la Russie, dénonçant l'implication des Etats-Unis dans ces frappes et y voyant une "nouvelle phase" dans le conflit.
Le président russe Vladimir Poutine espère que l'Occident a "entendu" ses mises en garde contre un éventuel feu vert qui serait accordé à l'Ukraine pour frapper en profondeur le territoire russe avec des armes occidentales, dans un entretien diffusé dimanche sur Telegram.
Le Kremlin a déclaré jeudi que le changement de doctrine russe concernant le recours à l'arme nucléaire, annoncé la veille par Vladimir Poutine, devait être considéré comme un "signal" pour les Occidentaux, avec qui les tensions sont au plus haut depuis l'offensive en Ukraine en février 2022.
La tension est encore montée d'un cran entre Moscou et les alliés occidentaux de l'Ukraine à propos d'un éventuel feu vert à l'utilisation par Kiev de missiles à longue portée contre la Russie. Un sujet difficile qui était au menu d'une rencontre vendredi entre les dirigeants américain et britannique, Joe Biden et Keir Starmer.
Vladimir Poutine a affirmé jeudi que si les Occidentaux autorisaient l'Ukraine à frapper le territoire russe avec des missiles à plus longue portée, cela signifierait que "les pays de l'Otan sont en guerre contre la Russie".
Les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne ont annoncé de nouvelles sanctions contre Téhéran, visant notamment la compagnie aérienne Iran Air. Le secrétaire d’Etat américain et son homologue britannique doivent se rendre à Kiev cette semaine.
La Russie dispose d'une « flotte fantôme » qui lui permet de contourner les sanctions occidentales et qui risque d'entraîner une « catastrophe environnementale », alerte le CREA (Centre for Research on Energy and Clean Air) dans une nouvelle analyse.
Alors que les pays occidentaux sont de plus en plus favorables à autoriser l'Ukraine à utiliser leurs armes pour frapper la Russie, Vladimir Poutine a menacé mercredi, lors d'une interview avec une quinzaine d'agences de presse, de livrer des armes à des pays tiers susceptibles de frapper ces mêmes intérêts occidentaux.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en visite à Madrid, a appelé l'Occident à "user de tous les moyens" pour contraindre la Russie à la paix.
Le chef de la diplomatie ukrainienne Dmytro Kouleba a proposé mardi que les alliés de l’Ukraine abattent de leur territoire les missiles russes visant son pays. "Il n’y a aucun argument légal, sécuritaire ou moral qui empêcherait nos partenaires d’abattre les missiles russes au-dessus du territoire de l’Ukraine à partir de leur territoire", a dit M. Kouleba au cours d’une conférence de presse avec son homologue allemande Annalena Baerbock.
Le président français a de nouveau assumé la possibilité d'envoyer des troupes occidentales au sol en Ukraine, estimant dans un entretien publié jeudi par The Economist qu'il faudrait "se poser la question" si Moscou "allait percer les lignes de front" et que Kiev le demandait.
Le président russe Vladimir Poutine a entamé jeudi à 12H13 locales (10H13 en Belgique) son discours annuel à la Nation à Moscou, selon AFP, plus de deux ans après le lancement de son assaut contre l'Ukraine.
Pour les deux ans de la guerre en Ukraine, nous avons voulu approcher une facette de cette guerre que l’on appelle hybride. C’est une tactique de guerre beaucoup plus sournoise que la guerre militaire classique. Celle-ci a pour but de déstabiliser un ennemi sans lui déclarer ouvertement la guerre. Les moyens mis en œuvre peuvent inclure la désinformation (fake news), les cyberattaques, l’usage secret de forces spéciales, ou alors de civils armés (dans le cas d’une rébellion locale par exemple), voire de mercenaires, ou la production de film à grand spectacle au contenu partial et orienté. C’est un exemple de la stratégie mise en œuvre par la Russie depuis 2014 pour attaquer l’Ukraine et annexer la Crimée.
D'après le renseignement estonien, la réforme de l'armée entreprise par Moscou témoigne que la Russie se prépare à une confrontation militaire prolongée avec l'Occident.
L'année 2024 représente pour Vladimir Poutine une "fenêtre d'opportunité" pour tirer parti des faiblesses de l'Occident.
Les forces du groupe paramilitaire Wagner se sont repliées dimanche en Russie, mettant un terme à la rébellion lancée par leur chef Evguéni Prigojine qui a fait trembler le Kremlin et révélé, aux yeux des Occidentaux, "fissures" et "divisions" dans le camp de Vladimir Poutine.
Dans la nuit de vendredi à samedi, le chef de Wagner, Evguéni Prigojine, a lancé une rébellion armée en Russie.
Le pacifisme du PTB, c’est du toc, une escroquerie, un piège à gogos. Il est désolant de voir une partie de l’intelligentsia de gauche flirter avec ce parti.
Toute attaque nucléaire de la Russie contre l'Ukraine entraînera une réponse militaire des occidentaux "si puissante que l'armée russe sera anéantie", a affirmé jeudi le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell.
Les quatre régions qui ont organisé des consultations – Louhansk, Donetsk, Zaporijia et Kherson – ont rapporté des votes favorables au rattachement à la Russie de l’ordre de 87 % à 99 %. Des résultats rejetés par la communauté internationale.
Dans son allocution de ce mercredi matin annonçant une «mobilisation militaire partielle», Vladimir Poutine ne parle plus de l’Ukraine comme ennemi, mais de «l’Occident collectif». Un aveu d’échec devant l’avancée de la contre-offensive ukrainienne.
Arrêt pour maintenance du gazoduc Nord Stream 1 qui relie la Russie à l’Allemagne. Nouvelles réductions des livraisons de gaz en Italie et en Autriche. Le géant russe Gazprom donne en ce moment des sueurs froides aux Européens, de plus en plus hantés par une question : aurons-nous suffisamment de gaz l’hiver prochain chauffer nos logements et faire tourner nos industries ?
Depuis le début de la guerre en Ukraine, le gaz fait figure d'arme économique brandie à plusieurs reprises entre la Russie et l'Europe.
Et si elles tombaient entre de mauvaises mains ? L'envoi massif d'armes occidentales en Ukraine ravive l'inquiétude sur leur possible détournement, dans un pays connu pour avoir été une plaque tournante de ce trafic à la fin des années 1990.
Gazprom annonce cesser d'utiliser un gazoduc clé pour le transit du gaz vers l'Europe via la Pologne
(12/05) - AfpLe géant gazier russe Gazprom a annoncé jeudi cesser d'utiliser un gazoduc clé pour le transit de gaz vers l'Europe via la Pologne, en réplique aux sanctions occidentales imposées à la Russie à cause de son offensive en Ukraine. L'adoption des contre-sanctions russes "signifie une interdiction d'utiliser un gazoduc appartenant à EuRoPol GAZ (qui exploite la partie polonaise du gazoduc Yamal-Europe, ndlr) pour transporter du gaz russe à travers la Pologne", a indiqué Gazprom dans un communiqué sur Telegram. Mercredi, la Russie a annoncé des sanctions contre plus de 30 sociétés de l'Union européenne, des États-Unis et de Singapour, en représailles contre les sanctions dont elle est frappée pour son offensive militaire contre l'Ukraine.
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