La veille

OA - Liste

– Outil de recherche de références documentaires –

Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

Langue(3/3)
Médias(8/8)
filtre:
néon

août 2025

Sur RMC ce vendredi, l’élu LR, désavoué par le Conseil constitutionnel, a évoqué la piste d’un nouveau texte prenant en compte les critères soulignés par les juges.
Près de 25.000 Belges ont apporté leur soutien à deux pétitions appelant à une agriculture sans pesticides dangereux, indiquent vendredi Ecolo et le collectif citoyen "Blanche-Neige", à l'initiative de ces deux appels à signatures lancés il y a une dizaine de jours.
Un betteravier, une apicultrice et un maraîcher réagissent à la censure, annoncée ce jeudi 7 août, des dérogations pour utiliser l’acétamipride par le Conseil constitutionnel.
La censure par le Conseil constitutionnel de la réintroduction de l’acétamipride a été accueillie avec un soupir dans les rangs des citoyens mobilisés. Mais le combat contre les autres dispositions du texte continue.
L’institution chargée de vérifier la conformité des lois à la Constitution a censuré ce jeudi 7 août une partie de la loi controversée, notamment le retour de l’insecticide interdit depuis 2018 pour sa toxicité envers la biodiversité.
L’Elysée a fait savoir qu’Emmanuel Macron « a pris bonne note de la décision du Conseil constitutionnel » et « promulguera » le texte « tel [qu’il] résulte de cette décision », c’est-à-dire sans ce pesticide contenant des néonicotinoïdes.
La loi Duplomb a été validée par le Conseil constitutionnel, qui n’a censuré que sa disposition la plus contestée, celle qui prévoyait de réautoriser des pesticides de la famille des néonicotinoïdes, dont l’acétamipride.
Présentés comme indispensables à la culture de la betterave par les soutiens de la loi Duplomb, les néonicotinoïdes n’ont pourtant jamais fait partie de l’arsenal de Clément et Élodie, agriculteurs bio dans l’Aisne.
La Commission européenne a réévalué à la hausse les limites maximales de résidus d’acétamipride pour les prunes, plusieurs graines oléagineuses ainsi que les miels et « autres produits de l’apiculture ».
Réautorisé par dérogation après le vote de la loi Duplomb, que le Conseil constitutionnel pourrait tout ou partie censurer jeudi, le puissant insecticide divise communauté scientifique et agences sanitaires quant à son niveau de toxicité pour la santé humaine. Il fait aussi l’objet d’instrumentalisations politiques.
Une polémique politique enflammée, des débats juridiques avant l’avis ce jeudi du Conseil constitutionnel… Et si la science s’invitait vraiment dans les discussions tendues autour de la loi Duplomb ?
Depuis 2011, les néonicotinoïdes, ces pesticides tueurs d'abeilles, sont interdits en Slovénie. Au quotidien, les agriculteurs du pays d'Europe de l'Est ont appris à faire sans.

juillet 2025

sur la non-conformité à la Constitution de la loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur
Alors que le texte contesté prévoit la réintroduction de l’acétamipride, l’instance juge que « sur le plan médical (…) le doute n’est pas raisonnable » et déplore « l’écart persistant entre les connaissances scientifiques disponibles et les décisions ».
Une grande partie des pesticides de synthèse sont des perturbateurs endocriniens. Ils en représentent l’immense majorité de notre exposition puisque l’on mange trois fois par jours, tous les jours de sa vie et même déjà au cours de la vie intra utérine pendant laquelle ils sont particulièrement toxiques.
Dans une tribune publiée sur Le Monde et adressée au Conseil constitutionnel, les professionnels de santé et les associations de patients alertent des dérives que la loi Duplomb pourrait engendrer sur les générations futures. Alors que la pétition contre ce texte a franchi la barre des deux millions de signatures, les scientifiques prennent le relais des restaurateurs qui avaient publié leur propre tribune jeudi 24 juillet, également dans Le Monde.
Pétition, saisines du Conseil consitutionnel, niches parlementaires, tribunes... La pression s'accentue autour de la loi Duplomb, qui vise la réautorisation d'un néonicotinoïde. Le mouvement pourrait même aller jusqu'à un boycott des produits. Explications.
En France, plus d'un million et demi de personnes ont signé une pétition contre la loi Duplomb, qui réautorise l'acétamipride, un néonicotinoïde interdit depuis 2020. Cette mobilisation sans précédent s'appuie notamment sur les travaux d'un chercheur de l'Université de Neuchâtel, dont l'étude sur les effets de ce pesticide sur la santé humaine alimente la controverse.
Le gouvernement propose de saisir l’Agence nationale de sécurité sanitaire sur la question de la réautorisation du pesticide, alors que cette dernière a déjà rendu deux avis aux conclusions concordantes sur des substituts aux néonicotinoïdes.
Le récent assassinat d’un agent des services des renseignements ukrainiens a été revendiqué par un groupuscule néonazi américain baptisé The Base. Ce mouvement, inscrit en 2024 sur la liste des organisations terroristes par l’Union européenne, affirme vouloir créer une enclave ethniquement blanche dans l'ouest de l'Ukraine.
Alors qu’une pétition pour interdire la réintroduction d’un pesticide a atteint plus d’1,3 million de signatures lundi en France, la Belgique n’a jamais cessé de l’utiliser.
Plus d'un million de citoyens en dix jours. La pétition contre la loi Duplomb, qui autorise le retour d’un néonicotinoïde controversé, bat tous les records. En plein backlash écologique, ce sursaut citoyen pourrait contraindre l’Assemblée nationale à rouvrir le dossier à la rentrée.
La loi Duplomb qui prévoit la réintroduction d'un néonicotinoïde interdit en France, l'acétamipride, a été définitivement adoptée mardi 8 juin, après son examen à l'Assemblée nationale. Des victimes de cancer et des médecins étaient présents dans l'hémicycle pour appeler à rejeter le texte.

juin 2025

Les Soulèvements de la Terre et la Confédération paysanne se sont mobilisés devant l’usine Phyteurop, dans le Maine-et-Loire, pour lutter contre la proposition de loi, qui revient au Parlement lundi 30 juin et prévoit notamment la réintroduction d’un néonicotinoïde interdit.
L’usage de ce pesticide néonicotinoïde est autorisé dans le pays, notamment en traitement dans la culture du riz et des monocultures de pins.

mai 2025

Insecticide «inoffensif» pour les défenseurs de la loi Duplomb qui veulent obtenir sa réhomologation par l’Assemblée cette semaine, l’acétamipride, interdit en France depuis 2018, a été décrit comme toxique par plusieurs études, en raison notamment de ses effets potentiels sur la santé humaine.
Les députés ont approuvé mercredi 14 mai en commission la réintroduction dérogatoire de l’acétamipride, interdit en France, mais autorisé ailleurs en Europe. Le texte sera examiné dans l’hémicycle à partir du 26 mai, sous la pression du monde agricole.
La commission des affaires économiques a voté, mercredi, en faveur d’une autorisation sous conditions de trois substances interdites en France. La proposition, qui sera examinée fin mai en séance publique, divise fortement.

janvier 2025

Les néonicotinoïdes bientôt de retour en France ? Le Sénat a dit "oui" après le vote d’une proposition de loi lundi 27 janvier.
A quelques semaines du salon de l’agriculture, la chambre haute a voté lundi 27 janvier pour permettre la réintroduction, à titre dérogatoire et exceptionnel, de l’acétamipride.


Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.

Autres Thématiques