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Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a insisté samedi, lors d'une rencontre à Paris avec Donald Trump, sur la nécessité de conclure une "paix juste" avec la Russie.
La Russie a annoncé jeudi la fermeture du consulat polonais à Saint-Pétersbourg, en représailles à la fermeture, fin novembre, du consulat russe à Poznan. Le ministre polonais des Affaires étrangères a déclaré que son pays était prêt à fermer tous les consulats de la Fédération russe en Pologne si Moscou n'arrêtait pas de commettre des actes de "sabotage" et de "terrorisme".
Le général américain à la retraite Keith Kellogg, choisi par Donald Trump pour devenir l'émissaire pour l’Ukraine et la Russie, a des idées très précises pour mettre fin aux combats en Ukraine. Son plan fait largement écho aux revendications russes.
Alors que les appels à entamer des négociations avec Moscou se font plus pressants, y compris chez les alliés de Kiev, Volodymyr Zelensky a assuré que son pays avait besoin "d'armes" et d'un "pas en avant avec l'Otan".
Volodymyr Zelensky avait jusqu'à présent exclu de céder des territoires en échange de la paix. Le chef d'État ukrainien s’est dit prêt, vendredi, à accepter des garanties de protection de l’Otan limitées dans un premier temps aux territoires contrôlés par Kiev.
Un tribunal russe a ordonné l'arrestation de Catherine Norris Trent, grand reporter pour France 24, a rapporté mardi l’agence de presse russe Tass. Accusée d'avoir pénétré "illégalement" dans la région frontalière russe de Koursk, la journaliste franco-britannique avait accompagné l'armée ukrainienne sur le terrain. France 24 rappelle que ce reportage "embarqué" est "protégé par les droits accordés aux journalistes en vertu de la convention de Genève et du droit international".
Moscou a rapporté mardi avoir été visé ces derniers jours par deux nouvelles frappes ukrainiennes réalisées à l'aide de missiles américains ATACMS, plusieurs missiles ayant "atteint leurs cibles".
Dans la perspective d’un désengagement américain vis-à-vis de Kiev en raison du retour de Donald Trump à la Maison Blanche, Paris et Londres n’excluent pas de prendre la tête d’une coalition en Ukraine, selon des modalités qui restent à préciser.
Le président russe Vladimir Poutine a ordonné vendredi de produire en série et de continuer à tester au combat le nouveau missile balistique hypersonique Orechnik, utilisé la veille pour frapper l'Ukraine. Une arme inconnue jusque-là, testée pour la première fois par Moscou contre Kiev et comme une mise en garde à l'Occident.
Washington s'est efforcé mercredi de justifier sa décision d'envoyer des mines antipersonnel à l'Ukraine, censées permettre de stopper les avancées russes.
Les États-Unis ont autorisé l’Ukraine, dimanche, à frapper des cibles en Russie avec les missiles ATACMS qu’elle lui a fournis. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, ne cessait de militer en ce sens. Mais dans le contexte actuel du conflit, ces missiles ne sont peut-être pas la solution miracle tant espérée.
Pour la première fois en deux mois, Kiev a été visée mercredi à l'aube par une attaque russe combinée de missiles et de drones. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a dénoncé une fois encore "le terrorisme russe" et salué la réponse "efficace" de la défense antiaérienne.
Avec le retour prochain de Donald Trump au pouvoir aux États-Unis, les affrontements sur les fronts ukrainien et russe se sont intensifiés ces derniers jours. Après une attaque de drones ukrainiens de grande ampleur sur la région de Moscou dimanche, l'Ukraine a subi à son tour lundi plusieurs attaques, qui ont fait plusieurs morts et déclenché des sirènes d’alerte dans presque tout le pays.
L'Ukraine a lancé dimanche une salve de drones sur la région de Moscou d'une ampleur inédite depuis le début de la guerre russo-ukrainienne, qui a fait au moins un blessé sans provoquer de dégâts majeurs, selon les autorités russes. Le ministère russe de la Défense a indiqué sur Telegram que 70 drones ont été détruit dans six régions.
Démunie, l'armée ukrainienne peine à colmater les brèches que fait la Russie dans sa défense. Et sa tâche sera encore plus difficile si Moscou parvient à conquérir la ville stratégique de Pokrovsk.
Les États-Unis et la Corée du Sud ont appelé mercredi Pyongyang à retirer ses troupes en Russie, craignant qu'elles ne combattent en Ukraine, tandis que l'ambassadeur russe à l'ONU, Vassili Nebenzia, a qualifié de "simples affirmations" cette présence.
La Russie a dit avoir procédé mardi à de nouveaux exercices militaires nucléaires, sous la supervision du président Vladimir Poutine, qui avait évoqué récemment encore la possibilité de recourir à ces armes dans le cadre du conflit en Ukraine et avec les Occidentaux.
Les États-Unis et l'Otan ont confirmé mercredi que des milliers de soldats nord-coréens ont été envoyés en Russie, faisant craindre une escalade dans la guerre en Ukraine. Selon les experts militaires, cela pourrait conduire à de nombreuses désertions chez ces soldats confrontés pour la première fois au monde extérieur et à la réalité du champ de bataille.
Bouclant une tournée européenne dans le but de présenter son "plan de victoire" et réclamer davantage de soutien de ses alliés, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré vendredi viser une fin de la guerre dans son pays en 2025.
D'après le ministre sud-coréen de la Défense, des soldats nord-coréens seraient morts en Ukraine alors qu'ils combattaient aux côtés des forces russes. Cette affirmation fait écho à des informations relayées par la presse ukrainienne après une frappe près de Donetsk le 3 octobre. Séoul craint que Pyongyang n'envoie davantage de troupes pour soutenir son allié russe.
Le mastodonte russe des médias, VGTRK, a été attaqué par un collectif de pirates informatiques pro-Ukraine lundi, jour de l’anniversaire de Vladimir Poutine. Une vidéo truquée montrant le maître du Kremlin en train de capituler devant l’armée ukrainienne a également été diffusée sur une chaîne russe piratée. De quoi rappeler à Moscou sa vulnérabilité dans le cyberespace.
Le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, a une nouvelle fois accusé, vendredi, la Chine de soutenir "la machine de guerre russe" en Ukraine lors d'une rencontre avec son homologue chinois, Wang Li.
Depuis la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU, mercredi, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a accusé son homologue russe Vladimir Poutine de planifier le bombardement de centrales nucléaires civiles ukrainiennes. Jeudi, il doit présenter à Washington son "plan de la victoire", alors que les États-Unis ont annoncé débloquer 375 millions de dollars d'aide supplémentaire en sa faveur.
Lors d'une session du Conseil de sécurité de l'ONU consacrée à l'Ukraine mardi, le président Volodymyr Zelensky a appelé la communauté internationale à "contraindre" Moscou à faire la "paix". Le chef d'État ukrainien a également accusé l'Iran et la Corée du Nord de soutenir l'effort de guerre russe.
Dans un entretien accordé à la chaîne ABC News, dont des extraits ont été diffusés lundi, Volodymyr Zelensky a déclaré que son pays était "proche de la fin de la guerre". Le président ukrainien a également appelé les États-Unis et d'autres partenaires à poursuivre leur soutien à l'Ukraine.
Arme incontournable sur le théâtre des opérations en Ukraine, les drones sont au cœur d'une course technologique entre les deux belligérants. Dernier-né de cette guerre des drones entre Kiev et Moscou, un aéronef dit "poupée russe" permettant de transporter plusieurs drones. Quelles sont les avantages de cette technologie déployée par la Russie ? Explications.
L'Ukraine a annoncé samedi avoir frappé deux dépôts militaires de munitions et missiles dans le sud et l'ouest de la Russie, dont un site "clé" pour la logistique des forces russes, quelques jours après avoir revendiqué une attaque similaire.
Une enquête du Wall Street Journal publiée le 17 septembre fait état, après deux ans et demi de guerre en Ukraine, d’un très lourd bilan humain, avec un million de morts ou de blessés ukrainiens et russes, mais aussi de graves conséquences démographiques.
Le chef de la diplomatie ukrainienne Andriï Sybiga a invité lundi l'ONU et le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à visiter la partie de la région russe de Koursk occupée par les forces de Kiev.
L'est de l'Ukraine est menacé par l'avancée des troupes russes qui ont bombardé la ville stratégique de Pokrovsk, dimanche, faisant un mort. Plus nombreuse et disposant de davantage d'armes, l'armée russe se trouve désormais à moins de dix kilomètres de Pokrovsk, selon des observateurs militaires. Samedi, le chef du renseignement militaire ukrainien a estimé que "le plus gros problème" pour Kiev demeure la Corée du Nord et ses livraisons massives d'obus d'artillerie à destination de Moscou.
La tension est encore montée d'un cran entre Moscou et les alliés occidentaux de l'Ukraine à propos d'un éventuel feu vert à l'utilisation par Kiev de missiles à longue portée contre la Russie. Un sujet difficile qui était au menu d'une rencontre vendredi entre les dirigeants américain et britannique, Joe Biden et Keir Starmer.
L'offensive surprise lancée par Kiev il y a deux semaines dans la région de Koursk en Russie a permis aux forces armées ukrainiennes de faire prisonniers des centaines de combattants ennemis. Kiev espère désormais les échanger contre des prisonniers de guerre ukrainiens détenus en Russie. Des journalistes – parmi lesquels Gulliver Cragg, correspondant de France 24 à Kiev – ont été autorisés à rencontrer ces prisonniers russes.
L'état d'urgence a été instauré mercredi dans la région russe de Koursk – frontalière de l'Ukraine –, en proie depuis mardi à une importante incursion ukrainienne, selon les autorités russes. Des deux côtés de la frontière, des milliers de personnes ont dû être évacuées.
L’armée ukrainienne avance depuis mardi en territoire russe dans la région de Koursk. Une incursion sans précédent, aux objectifs flous, qui peut rapporter gros ou coûter très cher.
La Russie a annoncé mardi 6 août lutter contre une incursion de l'armée ukrainienne dans la région frontalière de Koursk, après plusieurs opérations du même type revendiquées ces derniers mois par des combattants pro-Kiev. Cinq civils ont été tués dans la journée par des frappes ukrainiennes dans cette région russe, selon son gouverneur par intérim, Alexeï Smirnov.
Dans un entretien accordé à plusieurs médias français, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a estimé que l'interdiction imposée par les Occidentaux à Kiev de frapper le territoire russe en profondeur et l'aide insuffisante sont la cause des gains territoriaux de la Russie en Ukraine. Il a également affirmé que "le monde entier" souhaitait voir la Russie participer à un prochain sommet de la paix, et a abordé le sujet de son absence aux JO et la présidentielle américaine.
Donald Trump et Volodymyr Zelensky ont échangé au téléphone vendredi, le candidat républicain affirmant avoir promis au président ukrainien de "mettre fin à la guerre" entre l'Ukraine et la Russie en cas de retour à la Maison Blanche. L’ex-président américain n’a toujours pas fourni le moindre détail sur la manière dont il comptait s’y prendre.
Les services secrets russes sont accusés d’avoir planifié l’assassinat d’Armin Papperger, le PDG du puissant fabricant d’armes allemand Rheinmetall. Ce projet constituerait une nouvelle étape dans la guerre "clandestine" que les espions russes mènent en Europe.
Depuis le début de l’été, de nombreux incendies se sont déclenchés dans la région de Kherson, dans le sud de l’Ukraine. Sur Telegram, Russes et Ukrainiens s’accusent mutuellement d’être à l’origine de ces feux. Les spécialistes interrogés par la rédaction des Observateurs de France 24 estiment toutefois qu’il est difficile de savoir si tous ces incendies ont été déclenchés volontairement, et par qui. Selon eux, les conditions climatiques liées à l’été jouent aussi un rôle important.
Lors du premier jour du sommet de l'alliance à Washington, les pays membres de l'Otan ont annoncé mercredi avoir commencé à envoyer des avions de combat F-16 à l'Ukraine. Les alliés ont également décidé que leur aide militaire à Kiev atteindrait au minimum 40 milliards d'euros sur l'année à venir. Et ils ont reconnu que l'Ukraine était sur une "trajectoire irréversible" vers son adhésion à l'Alliance atlantique.
Les pays de l'Otan sont inquiets de l'aide apportée par la Chine à la Russie dans sa guerre contre l'Ukraine. Un sujet qu'ils doivent aborder, jeudi, avec leurs partenaires d'Asie-Pacifique, avant une rencontre avec le président ukrainien, Volodymyr Zelensky. Pékin a, en retour, accusé l'Alliance "d'inciter à la confrontation". La Russie dit avoir prévu des "mesures" pour "contrer la menace sérieuse" posée par l'Otan.
Si, à Washington, les grands de ce monde s’émeuvent du réarmement de la Russie lors du sommet de l’Otan, débuté le 9 juillet, ils oublient de dire que la totalité des huit autres puissances nucléaires se réarment également et modernisent leurs arsenaux nucléaires. La Campagne internationale pour abolir les armes nucléaires (Ican) estime que les neuf puissances nucléaires ont dépensé 84,2 milliards d’euros en 2023. Soit 10 milliards de plus qu’en 2022.
La Russie a mené lundi une attaque massive contre les villes d'Ukraine, tirant plus de 40 missiles et touchant notamment un hôpital pour enfants de Kiev, selon les autorités ukrainiennes. Au moins 24 personnes sont mortes et des dizaines d'autres ont été blessées. La coordinatrice humanitaire de l'ONU pour l'Ukraine a "fermement condamné" les attaques, notamment celui sur l'hôpital pour enfants, que les services de sécurité ukrainiens imputent à un missile de croisière russe.
Si l’armée russe réussit actuellement à progresser en l’Ukraine, c’est au prix de pertes sans précédent depuis le début du déclenchement de la grande offensive en 2022. La raison : Moscou a intensifié son recours à la stratégie "de la chair à canon", qui consiste à mettre constamment sous pression les défenses ukrainiennes en envoyant à l'assaut des vagues successives de soldats peu entrainés.
Vu de Russie, les résultats du premier tour des législatives françaises représentent une bonne nouvelle. Mais pas seulement parce que le RN, réputé être le plus prorusse des partis en France, est arrivé en tête. La propagande russe s'accommoderait aussi d'un résultat au second tour sans majorité claire.
Dans une étude, le chercheur David Chavalarias décrit la méthode exercée par la Russie pour contribuer à déstabiliser le paysage politique français. Et ce, en faveur du Rassemblement national. Tweets de politiques français proches du régime russe, publications et publicités ciblées issues de profils (ou faux profils) localisés en Russie, faux sites internet… De 2016 à aujourd’hui, des milliers de données issues des réseaux sociaux X (anciennement Twitter) et Facebook ont été analysées par le directeur de (...)
Moscou a menacé lundi Washington de représailles au lendemain d'une frappe ukrainienne en Crimée annexée. Celle-ci a été menée, selon la Russie, à l'aide de missiles américains. Les autorités locales mises en place par la Russie affirment qu'au moins quatre personnes ont été tuées, dont deux enfants, et que plus de 150 personnes ont été blessées.
Mer d'Azov : l'extravagant plan russe de stations balnéaires dans les territoires ukrainiens occupés
(21/06) - France24,Les détails d’un vaste programme russe pour développer le tourisme et créer des stations balnéaires au bord de la mer d’Azov, y compris dans les territoires ukrainiens occupés, ont été publiés dans les médias russes. Si ce plan peut sembler extravagant pour un pays en guerre, il vise à rendre la présence russe irréversible dans cette région.
Un appel à la participation et au dialogue "entre toutes les parties" a marqué le premier sommet international pour la paix en Ukraine, qui s'est tenu ce week-end à Genève en l'absence de la Russie. Forte du soutien de la très grande majorité des participants, la déclaration finale réaffirme également "les principes de souveraineté, d'indépendance et d'intégrité territoriale de tous les États, y compris l'Ukraine".
Alors que les pays occidentaux sont de plus en plus favorables à autoriser l'Ukraine à utiliser leurs armes pour frapper la Russie, Vladimir Poutine a menacé mercredi, lors d'une interview avec une quinzaine d'agences de presse, de livrer des armes à des pays tiers susceptibles de frapper ces mêmes intérêts occidentaux.
Alors que l’armée ukrainienne connaît des revers sur les fronts est et nord-est, de nombreux observateurs du conflit s’interrogent sur les choix de l’état-major ukrainien. Au centre du débat, les fortifications ukrainiennes qui seraient insuffisantes. Entre le manque de moyens et la corruption, des Ukrainiens évoquent plusieurs explications possibles. La rédaction des Observateurs fait le point sur cet aspect central de la guerre contre la Russie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué vendredi "un pas en avant" après le feu vert donné par les États-Unis pour que Kiev utilise des armes fournies par les Américains pour frapper, sous conditions, des cibles sur le sol russe. L'aide militaire fournie par les pays de l'Otan à l'Ukraine doit au minimum atteindre les 40 milliards d'euros par an, a par ailleurs déclaré depuis Prague le secrétaire général de l'Alliance, Jens Stoltenberg.
Le parquet fédéral belge a annoncé, mercredi, que des perquisitions sont en cours aux bureaux du Parlement européen à Bruxelles et à Strasbourg, ainsi qu'au domicile d'un "collaborateur" parlementaire. Ces procédures s'inscrivent dans le cadre d'une enquête sur des soupçons d'ingérence russe et de corruption au sein de l'institution européenne.
Le président français Emmanuel Macron a affirmé mardi vouloir permettre aux Ukrainiens de "neutraliser" les bases en Russie d'où sont tirés des missiles sur l'Ukraine. En réponse, Vladimir Poutine a menacé de "graves conséquences" en cas d'usage d'armes occidentales contre le territoire russe.
L'armée russe a annoncé mardi avoir débuté près de l'Ukraine des exercices militaires sur l'utilisation d'armes nucléaires tactiques, ordonnés début mai par le président Vladimir Poutine, en assurant qu'il s'agissait d'une réponse aux "menaces" occidentales.
La Russie a dévoilé, mardi, un projet de loi pour redéfinir ses frontières maritimes en mer Baltique. Une initiative contestée dans la région qui s'ajoute à un contexte géopolitique de plus en plus tendu.
Kiev a annoncé, dans la nuit de mardi à mercredi, que son armée a dû se replier "dans certaines zones" du front nord-est dans la région de Kharkiv. Les Russes ont, de leur côté, avoir repris la localité symbolique de Robotyné, dans le sud ukrainien. Par ailleurs, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui était attendu le 17 mai à Madrid, a annulé sa venue.
Des énergéticiens espagnol et italien, un géant néerlandais de la bière, un négoce agricole français et un industriel allemand prévoient de construire en commun leur première usine d'engrais bas carbone, en France, pour échapper à la dépendance russe et réduire la pollution de CO2 de l'agriculture.
Dénonciation de migrants à la police, formation d’enfants au maniement des armes, soutien logistique aux combattants nationalistes russes et vision traditionaliste de la société… L’organisation “Communauté russe” se veut être un réseau d'entraide ayant pour but de promouvoir une vision conservatrice de la Russie.
Le ministère russe des Affaires étrangères a annoncé lundi l'organisation d'exercices militaires à proximité de l'Ukraine. Il a par ailleurs menacé de frapper "toute installation ou équipement militaire britannique sur le territoire ukrainien et au-delà", si Kiev utilisait des "armes britanniques" contre des cibles en Russie.
Les États-Unis ont accusé, mercredi, la Russie d’utiliser la chloropicrine comme arme chimique contre les soldats ukrainiens. Interdit par la Convention internationale sur les armes chimiques, ce composé est un puissant irritant qui peut être mortel à forte dose.
Le président français a de nouveau assumé la possibilité d'envoyer des troupes occidentales au sol en Ukraine, estimant dans un entretien publié jeudi par The Economist qu'il faudrait "se poser la question" si Moscou "allait percer les lignes de front" et que Kiev le demandait.
Dans un entretien au journal russe indépendant Novaya Gazeta publié vendredi, le ministre français des Affaires étrangères a affirmé que 150 000 soldats russes avaient perdu la vie depuis le début de la guerre en Ukraine. "L'échec militaire de la Russie est déjà là", a martelé Stéphane Séjourné.
Le plan d'aide à l'Ukraine voté samedi par la Chambre des représentants des États-Unis montre que l'Ukraine ne sera pas "un deuxième Afghanistan", a assuré le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans l'émission "Meet the press" diffusée dimanche sur la chaîne NBC. Cette déclaration intervient après l'adoption la veille d'un plan d'aide américain à l'Ukraine de près de 61 milliards de dollars.
L'Ukraine a lancé des drones sur plusieurs régions russes dans la nuit de vendredi à samedi, a-t-elle annoncé dans la matinée, touchant un dépôt de carburant. En parallèle, les deux pays s'accusent mutuellement d'attaques contre des civils.
La Russie a lancé plus de 40 missiles et 40 drones contre l'Ukraine dans la nuit de mercredi à jeudi, ciblant ses "infrastructures essentielles", a déclaré le président ukrainien Volodymyr Zelensky. La région de Kiev a été "massivement attaquée", a rapporté le chef de l'administration militaire locale.
Le pic de crue n'est pas encore atteint en Russie et au Kazakhstan alors que plusieurs régions de l'Oural et de Sibérie occidentale sont touchées par des inondations record. Plus de 100 000 personnes ont dû évacuer.
L'un des dômes de la centrale de Zaporijjia a été touché par une frappe dimanche, selon les autorités prorusses qui contrôlent les lieux. Elles assurent également qu'un drone a explosé près de la cantine de la centrale, endommageant un camion garé à proximité.
De nombreuses villes de l'Oural, en Russie, se retrouvent inondées après la rupture d'un barrage à Orsk voilà deux. Les autorités russes ont déjà fait évacuer des milliers de personnes et elles s'attendent à une dégradation de la situation au cours des prochains jours.
Le 7 avril 2014, dans l’est de l’Ukraine, un coup de force de militants pro-russes dans la ville de Donetsk enclenche la guerre du Donbass. Au cœur de ce bassin industriel, peuplé alors par 6 millions d’habitants majoritairement russophones, l’affrontement militaire entre l’expansionnisme russe et les aspirations de l’Ukraine à l’indépendance commence. Zone de guerre, le Donbass est devenu en dix ans un champ de ruines où la russification est imposée avec brutalité.
En Ukraine, dans les tranchées du sud du pays, des lignes de défense sont fortifiées à la hâte dans la région de Zaporijjia. Le gouvernement ukrainien a annoncé un budget de plus de 500 millions d'euros pour creuser et construire au plus vite des lignes de défense sur plus de 2 000 kilomètres de long.
La Russie a lancé dimanche des attaques aériennes contre Kiev et la région de Lviv, d'après des responsables ukrainiens. La Pologne a dénoncé le survol de son territoire lors de cette attaque contre l'ouest de l'Ukraine, affirmant que des missiles russes avaient violé l'espace aérien polonais.
La Russie est "en état de guerre" en Ukraine, a reconnu le porte-parole du Kremlin dans une interview parue vendredi, changeant de terminologie deux ans après le début de l'invasion à grande échelle de l'Ukraine, présentée jusqu'ici par Moscou comme une "opération spéciale".
Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, a utilisé pour la première fois le terme de "guerre" pour désigner la situation en Ukraine. Moscou n’abandonne pas pour autant la notion d'"opération spéciale", mais y ajoute une nouvelle réalité alternative permettant de préparer le pays à une mobilisation massive.
Une nouvelle attaque de drone a visé mercredi un site énergétique en Russie tandis que des volontaires russes combattant pour l'Ukraine annonçaient des frappes sur deux grandes villes russes situées près de la frontière ukrainienne. Une multiplication d'attaques destinée à saper la présidentielle russe, a accusé Vladimir Poutine.
La Gagaouzie pourrait-elle devenir une seconde Transnistrie ? C'est ce que l'on pourrait penser après que la gouverneure de cette petite région de Moldavie a reçu l’assurance de Moscou de la soutenir contre “les actions illégales” du gouvernement moldave. France 24 fait le point sur cette nouvelle porte d'entrée pour les opérations de déstabilisation russes.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a donné lundi une interview à la chaîne BFMTV et au quotidien Le Monde dans laquelle il a estimé que "l'avancée de la Russie a été stoppée" et que la situation était "bien meilleure" sur le front.
À l'occasion d'une rencontre à Istanbul avec Volodymyr Zelensky, vendredi, Recep Tayyip Erdogan s'est dit prêt à accueillir un sommet Russie-Ukraine. Le président turc se présente depuis le début du conflit comme un intermédiaire entre les belligérants. Il a toutefois réitéré son soutien à l'intégrité territoriale de l'Ukraine, son "allié stratégique".
Nouvelle opération de sabotage en Russie. Le renseignement militaire ukrainien (GUR) a affirmé lundi 4 mars avoir endommagé un pont ferroviaire dans la région russe de Samara (Volga), à plus de 750 km de la frontière ukrainienne, assurant que cette action ralentissait le transport de matériel militaire.
Il y a 10 ans, presque sans un coup de feu, la Fédération de Russie arrachait en à peine trois semaines la péninsule de Crimée à l’Ukraine. Avec ce coup de force magistral, Vladimir Poutine défiait les Occidentaux, partagés alors entre désintérêt et impuissance. Retour sur l’acte 1 du projet russe de mise au pas de cette ancienne république soviétique.