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Assemblée
Le Premier ministre israélien, qui s’apprêtait à prononcer un discours à la tribune des Nations unies, a suscité une vague de désapprobation menant au départ de plusieurs dizaines de diplomates.
À New York, Hadja Lahbib appelle à réinventer le système humanitaire alors que les États-Unis coupent leurs financements à l'ONU.
Dans un discours décousu de près d’une heure, le président américain s’en est pris sans vergogne à ses alliés historiques. Avec une désinvolture qui continue de sidérer.
Le président français a prononcé ce lundi 22 septembre un discours historique à la tribune de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York au cours duquel il a annoncé la reconnaissance de la Palestine par la France. Voici les principaux points de son intervention d’une vingtaine de minutes.
Fort de plus de deux millions de signatures, le texte demandant l’abrogation de la loi de simplification agricole doit être présenté devant la commission des affaires économiques. Ses membres décideront alors de l’examiner ou de le classer.
Pour la première fois dans l’histoire parlementaire, une pétition fera l’objet d’un examen en commission des affaires économiques. Le bureau de cette commission doit désormais désigner un ou plusieurs rapporteurs avant un éventuel débat en hémicycle.
L'Assemblée générale de l'ONU se prononce vendredi sur la "déclaration de New York" visant à donner un nouveau souffle à la solution à deux Etats, israélien et palestinien, mais en excluant sans équivoque le Hamas.
L'Assemblée générale de l'ONU se prononce vendredi sur la "déclaration de New York" visant à donner un nouveau souffle à la solution à deux Etats, israélien et palestinien, mais en excluant sans équivoque le Hamas.
Ce vendredi 12 septembre, 142 Etats ont signé la «déclaration de New York», à dix jours d’un sommet qui sera co-présidé par Paris et Ryad où plusieurs pays - dont la France - devraient reconnaître l’existence de la Palestine.
La récente crise diplomatique provoquée par la décision du gouvernement américain de refuser des visas à une délégation palestinienne, y compris au président Mahmoud Abbas, pour participer à la 80e Assemblée générale de l’ONU, a déclenché un mouvement politique d’une grande portée au sein des Nations unies. Par une large majorité – selon plusieurs sources, plus de 140 États ont voté pour, contre seulement deux – l’Assemblée générale a approuvé une motion visant à transférer ses prochaines sessions à Genève, afin de garantir la participation de la Palestine et d’empêcher Washington d’utiliser la Convention sur le siège de 1947 comme une arme politique pour exclure des délégations jugées gênantes. Ce vote rappelle le précédent de 1988, lorsque Ronald Reagan avait refusé un visa à Yasser Arafat et que l’ONU s’était réunie en Suisse pour lui permettre d’intervenir.
Le département d’Etat américain a révoqué les visas de dizaines de membres de l’Autorité palestinienne et de l’OLP. Le président Mahmoud Abbas lui-même pourrait être empêché de se rendre à New York. L’administration Trump justifie sa décision en affirmant que les dirigeants palestiniens « portent atteinte aux perspectives de paix ».
Le secrétaire d’Etat américain a pris cette décision extraordinaire alors que la France doit plaider dans quelques jours devant les Nations unies pour la reconnaissance d’un Etat palestinien.
Les Etats-Unis ont refusé ou révoqué des visas à des responsables palestiniens, dont le président de l’Autorité palestinienne, pour l’Assemblée générale de l’ONU en septembre à New York, où la France plaidera pour la reconnaissance d’un Etat palestinien.
La loi Duplomb ou la proposition de loi sur l’autoroute A69 ont été adoptées en contournant l’Assemblée nationale à travers des tactiques gouvernementales, faussant la logique parlementaire. Du côté de l’opposition, l’obstruction systématique par le dépôt de milliers d’amendements est également problématique. La démocratie représentative semble aujourd’hui dysfonctionnelle. Comment remédier à cette situation ?
Une pétition demandant l'abrogation d'une loi française et sa mesure très contestée de réintroduction d'un pesticide a recueilli samedi en France près de 800.000 signatures (décompte de ce dimanche matin), ouvrant la voie à une discussion au parlement sur le bien-fondé de ce texte mais pas à son rééxamen.
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