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Gaza Hamas
La proposition de résolution américaine visant à garantir la permanence du cessez-le-feu dans l’enclave palestinienne a recueilli, lundi 17 novembre, une majorité de votes au Conseil de sécurité de l’ONU, et provoqué la fureur d’Israël.
Sous la pression américaine, les Nations unies ont validé lundi 17 novembre au soir le plan de paix de Donald Trump pour l’enclave palestinienne. Dans cette version du texte, l’éventualité d’un Etat palestinien est mentionnée.
Israël affirme que le plan de Trump sur Gaza apportera "paix et prospérité" après le vote à l’ONU. Le Hamas a de son côté déploré l’adoption d’une résolution qui "ne répond pas aux exigences et aux droits politiques et humains" du peuple palestinien.
Cent cinquante-trois habitants de l’enclave côtière ont atterri jeudi à Johannesburg au terme d’un périple coordonnée par une obscure agence humanitaire sur laquelle plane l’ombre du gouvernement israélien.
Le Hamas ne détient plus que trois dépouilles d’otages, laissant entrevoir la fin de la première phase de l’accord proposé par les Etats-Unis. Mais de nombreuses difficultés freinent la suite du processus, notamment le désarmement du mouvement islamiste, la mise en place d’une force internationale de stabilisation et les conditions du retrait des troupes israéliennes.
Le sort de près de 200 combattants du Hamas, retranchés dans des tunnels à Rafah, dans une zone contrôlée par l’armée israélienne, menace de faire voler en éclats le cessez-le-feu à Gaza. Alors que le mouvement islamiste palestinien rejette toute idée de reddition, Washington craint que leur élimination sur ordre d’un Benjamin Netanyahu sous pression empêche toute avancée du plan Trump.
L’administration américaine souhaite inscrire ce volet de son plan de paix dans le cadre des Nations unies. Le texte prévoit une présence jusqu’au 31 décembre 2027, renouvelable, et sous l’égide d’un comité présidé par Donald Trump.
Washington a présenté mercredi à des pays partenaires un projet de résolution du Conseil de sécurité de l'ONU destinée à soutenir le plan de paix de Donald Trump à Gaza, a indiqué la mission américaine aux Nations unies. La mise en place de ce plan entraînerait notamment le déploiement d'une force internationale dans l'enclave palestinienne.
Au moins 91 personnes sont mortes dans les frappes menées mardi soir par l’Etat hébreu, en réponse à une « attaque » contre des soldats israéliens à Rafah. Le Hamas nie toute responsabilité dans cet échange de tirs et dénonce une violation de l’accord de paix.
L'armée israélienne dit avoir frappé 30 chefs de mouvements armés à Gaza.
Le Premier ministre israélien a assuré que ces bombardements étaient une riposte à des attaques du Hamas à Rafah, ce mardi 28 octobre. En réponse, le mouvement islamiste a annoncé repousser la remise d’une dépouille d’otage prévue dans la soirée.
Pour acheminer et distribuer l’aide dans l’enclave, Washington dit vouloir s’appuyer en partie sur des groupes d’« assistance humanitaire », dont une organisation évangélique américaine, et des agences de l’ONU, mais en écartant l’UNRWA.
Après près de trois mois de blocage des opérations, une vingtaine d’étudiants boursiers ont été évacués de l’enclave palestinienne ce dimanche 26 octobre dans la matinée. Depuis le début du conflit, environ 500 personnes ont pu être exfiltrées vers le territoire français.
L’armée israélienne a commencé à marquer la "ligne jaune" derrière laquelle elle doit se retirer, conformément au plan de paix signé avec le Hamas. Une ONG juridique israélienne dénonce une "frontière floue" entraînant une "exposition accrue aux tirs" et bloquant l'accès d’une partie de la population aux habitations, terres agricoles et infrastructures civiles.
L'armée américaine a déployé des drones au-dessus de la bande de Gaza afin de surveiller le respect du cessez-le-feu entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas, rapporte samedi le New York Times, citant des sources militaires américaines et israéliennes.
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