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cessez-le-feu
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a réclamé samedi un "cessez-le-feu permanent" dans la bande de Gaza, quelques heures après l'annonce par Israël d'une intensification de son offensive dans le territoire palestinien.
Le chancelier allemand Friedrich Merz a réaffirmé mardi que la Russie serait visée par un nouveau train de sanctions, en l'absence de "réel progrès cette semaine" dans la recherche d'un cessez-le-feu en Urkaine, a prévenu mardi le nouveau chancelier Friedrich Merz.
Kyiv et ses alliés avaient proposé une trêve à partir de ce lundi 12 mai, comme préalable à des discussions avec Moscou jeudi en Turquie. […] Pas de signe d’accalmie. L’Ukraine a accusé la Russie d’avoir tiré plus d’une centaine de drones dans la nuit du dimanche 11 au lundi 12 mai, malgré l’ultimatum adressé par les alliés de Kyiv à Moscou pour accepter un cessez-le-feu. «A partir de 23 heures, l’ennemi a attaqué avec 108 drones Shahed et d’autres types de drones», a annoncé l’armée de l’air ukrainienne, précisant en avoir abattu au moins 55. Aucune attaque de missile n’a en revanche été signalée.
Le président russe Vladimir Poutine a proposé dimanche des négociations "directes" et "sans condition préalable" avec l'Ukraine dès jeudi à Istanbul, tout en repoussant à ces discussions toute possibilité de cessez-le-feu, pourtant exigé par les alliés de Kiev. De son côté, Volodymyr Zelensky attend un engagement de Moscou en faveur d'une trêve, tout en se disant "prêt" à entamer des pourparlers. Il évoque des "signes positifs" laissant penser que la Russie commence à envisager la fin du conflit.
Le président russe a proposé dans la nuit de samedi à dimanche des négociations «directes» et «sans condition préalable» entre la Russie et l’Ukraine jeudi 15 mai à Istanbul.Vladimir Poutine n’aime pas les ultimatums. Rien de surprenant donc qu’il rejette celui que lui ont lancé les Occidentaux, venus rendre visite samedi 10 mai à Volodymyr Zelensky à Kyiv. Emmanuel Macron, le Premier ministre britannique Keir Starmer, le chancelier allemand Friedrich Merz et le Premier ministre Donald Tusk, portant la volonté de la «coalition des volontaires» et avec la bénédiction de Donald Trump, ont exigé que la Russie accepte, sans conditions, dès lundi, un cessez-le-feu complet de 30 jours. Faute de quoi les alliés se sont accordés sur la nécessité de renforcer les sanctions contre Moscou et l’aide militaire à l’Ukraine.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré dimanche qu'il "attendrait" son homologue russe Vladimir Poutine en Turquie, où ce dernier a proposé plus tôt de tenir des discussions à partir de jeudi."Nous attendons un cessez-le-feu total et durable, à partir de demain, pour fournir une base nécessaire à la diplomatie", a-t-il écrit sur X, ajoutant: "J'attendrai Poutine en Turquie jeudi. Personnellement. J'espère que cette fois, les Russes ne chercheront pas d'excuses".
Le président ukrainien a pris au mot le maître du Kremlin qui réclamait une rencontre avant toute trêve. Il l’attendra jeudi 15 mai en Turquie, «en personne». Un week-end à rebondissements qui ne permet certainement pas de s’attendre à un arrêt rapide de la guerre de la Russie en Ukraine, ni même à l’installation durable d’un cessez-le-feu. Avec un animal politique aussi torve que Vladimir Poutine, ce serait aller trop vite en besogne.
Moscou exige comme condition préalable à un cessez-le-feu avec Kiev que les Etats-Unis et l'Union européenne cessent leurs livraisons d'armes à l'Ukraine, a indiqué le Kremlin samedi.
Le Royaume-Uni, la France et les pays du nord de l’Europe ont annoncé vendredi soutenir la proposition d’un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours en Ukraine avancée par le président américain Donald Trump.
Le président américain Donald Trump exhorte Kiev et Moscou à conclure un cessez-le-feu et un accord de paix, trois ans après le début d'une offensive russe ayant déjà fait des dizaines de milliers de morts civils et militaires. "A partir de minuit entre le 7 et le 8 mai, et jusqu'à minuit entre le 10 et le 11 mai, la partie russe annonce un cessez-le-feu", a indiqué le Kremlin dans un communiqué.
Le président de la République estime ce lundi 28 avril que «les quinze prochains jours vont être clés pour essayer de mettre en œuvre un cessez-le-feu».
Kiev est pris en tenailles entre les Etats-Unis, qui souhaitent mettre la main sur son parc nucléaire en échange de leur soutien, et la Russie, qui contrôle six des réacteurs de la centrale de Zaporijia.
Kiev et ses alliés européens et américains se réunissent, mercredi, au Royaume-Uni, dans l’espoir d’obtenir « une réponse claire » de la Russie en faveur d’un « cessez-le-feu sans conditions ». Des discussions qui s’annoncent difficiles.
Le président Volodymyr Zelensky a appelé mercredi à un cessez-le-feu "immédiat, complet et inconditionnel" en Ukraine, alors qu'une délégation ukrainienne est à Londres pour des discussions avec ses alliés occidentaux dans un format réduit.
Le président russe Vladimir Poutine a ordonné ce samedi 19 avril à ses troupes d’observer un cessez-le-feu en Ukraine à l’occasion de Pâques, à partir de 15 heures GMT (17 heures à Paris) et jusqu’à la nuit de dimanche à lundi, appelant Kyiv à faire de même.- […] Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé dans la foulée samedi une «tentative de jouer avec les vies humaines» de la part de son homologue russe Vladimir Poutine. «Une nouvelle tentative de Poutine de jouer avec les vies humaines», a indiqué Volodymyr Zelensky sur Telegram, soulignant que «des drones d’attaque russes ont été détectés» dans le ciel ukrainien. Il n’a toutefois pas formulé clairement la position de Kyiv au sujet de ce cessez-le-feu.
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