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Organisation météorologique mondiale
L’année 2024 vient de marquer un tournant climatique que les scientifiques redoutaient depuis des décennies. Pour la première fois depuis le début des enregistrements, le dioxyde de carbone a atteint un niveau record qui ne laisse aucune place au doute : notre planète s’engage vers un réchauffement dont les effets se feront sentir pendant des siècles. Ce n’est pas une hypothèse, c’est un constat établi par l’Organisation météorologique mondiale.
Les niveaux de dioxyde de carbone (CO₂) dans l'atmosphère ont augmenté d’un montant record en 2024, atteignant de nouveaux sommets et provoquant un réchauffement à long terme supplémentaire et des conditions météorologiques extrêmes, selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
Pour la troisième année de suite, les scientifiques ont enregistré en 2024 une fonte généralisée dans toutes les régions glaciaires. Ces six dernières années, seul un tiers des bassins hydrographiques ont connu des conditions de débit normales.
Le changement climatique attise les feux de forêt, qui polluent l’air sur des milliers de kilomètres
(05/09) - Libération,Afp,Dans son bulletin annuel publié ce vendredi 5 septembre, l’Organisation météorologique mondiale rappelle l’importance de lutter de front contre les incendies pour préserver la qualité de l’air.
Pour l’agence onusienne, les conditions sont réunies pour l’apparition du phénomène climatique de refroidissement du Pacifique.
L’Organisation Météorologique Mondiale (OMM) publie ses prévisions climatiques pour les cinq prochaines années, 2025-2029. Selon l’OMM, les températures de la terre oscilleront entre +1.2°C et + 1.9°C, ce qui nous amène très près de 2°C de réchauffement en 2030 (OMM). Nous serons alors proches du climat annoncé pour la France à 4°C.
Le rapport annuel de l'Organisation météorologique mondiale (OMM) confirme que 2024 a été l'année la plus chaude jamais enregistrée. Il liste aussi d'autres tristes records : de concentration de CO2 dans l'atmosphère, de réchauffement des océans, de fonte des glaciers, de montée des eaux... Ce rapport souligne aussi le très grand nombre de déplacés en raison des catastrophes climatiques : cyclones, inondations ou encore incendies.
Dans un rapport consacré à «l’état des ressources en eau» publié ce lundi 7 octobre, l’instance onusienne s’alarme: en 2023 les rivières ont enregistré des niveaux de sècheresse inédits depuis trente ans.
L’écoulement des cours d’eau et l’apport dans les réservoirs ont été inférieurs à la normale dans de nombreuses régions du monde au cours des cinq dernières années. Selon le rapport sur l’état des ressources en eau dans le monde, cette baisse de régime se répercute sur la quantité d’eau disponible pour les populations, l’agriculture et les écosystèmes, aggravant la pression qui s’exerce sur les réserves de la planète.
Ce 19 mars, l’organisme dépendant des Nations unies publie son panorama annuel sur l’état du climat. Des données inédites révèlent que la température moyenne de la Terre s’est hissée 1,45°C au-dessus de celle de l’ère préindustrielle.
Le réchauffement climatique et la qualité de l'air "vont de pair et doivent être abordés ensemble", selon le secrétaire général de l'OMM.
Le rapport sur l’État du climat en Afrique rend compte en détail des effets des phénomènes météorologiques extrêmes et du changement climatique pour l’ensemble de la région, du Sahara au Serengeti, et depuis les eaux côtières jusqu’au sommet des montagnes. Il renseigne sur des indicateurs climatiques tels que les températures, la chaleur et l’acidification des océans, l’élévation du niveau de la mer et les glaciers, ainsi que sur des phénomènes extrêmes comme les cyclones tropicaux, les vagues de chaleur, les sécheresses, les fortes précipitations et les vagues de froid. Il décrit aussi les effets du changement climatique sur l’agriculture et la sécurité alimentaire, les migrations et les déplacements de population, le développement socio-économique, l’environnement et les services écosystémiques.
L’effet d’El Niño sur les températures mondiales se manifeste généralement dans l’année qui suit son développement et sera donc probablement plus apparent en 2024.
L’actuelle vice-présidente argentine de l’OMM de 59 ans, a été élue face au Chinois Zhang Wenjian à la tête de l’agence. Elle souhaite impulser une nouvelle dynamique contre le changement climatique.
Genève, le 21 avril 2023 (OMM) – Des sommets des montagnes aux profondeurs des océans, le changement climatique a poursuivi sa progression en 2022, constate le rapport publié annuellement par l’Organisation météorologique mondiale (OMM). Sécheresses, inondations et vagues de chaleur ont touché des communautés sur tous les continents et ont coûté plusieurs milliards de dollars des États-Unis d’Amérique (É.‑U.). La glace de mer de l’Antarctique a atteint son niveau le plus bas jamais enregistré et la fonte de certains glaciers européens a littéralement dépassé les records.
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