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Pentagone
Le ministère de "la Guerre" s'est débarrassé des médias traditionnels qui y étaient accrédités. Un nouveau "Pentagon Press Corps" les remplace, fait de journalistes "alternatifs" volontiers complotistes. L'affaire illustre le modèle d'information dans lequel Donald Trump veut faire basculer l'Amérique
Aux États-Unis, les grands médias – y compris certains pro-Trump – dénoncent d’une seule voix la nouvelle politique du Pentagone, imposant un contrôle préalable sur les informations diffusées. Une fronde sans précédent contre l’administration Trump, accusée de vouloir transformer les journalistes en relais du pouvoir militaire.
En signe de protestation contre les nouvelles règles du Pentagone, la quasi-totalité des journalistes ont quitté leurs bureaux du ministère américain de la Défense, selon les médias d'outre-Atlantique.
Au risque de perdre leurs accréditations, un grand nombre de médias américains et internationaux, y compris les chaînes conservatrices Fox News et Newsmax, ont refusé de signer un document du ministère de la défense exigeant des journalistes de ne pas publier certaines informations sans autorisation explicite.
Plusieurs grands médias américains, dont le New York Times, CNN, Fox News ou encore l'AFP, ont refusé de signer un document imposé par le Pentagone restreignant le travail de la presse.
Le ministre de la Défense américain, Pete Hegseth, réunit mardi à Washington des centaines de généraux et amiraux américains venus du monde entier. Une initiative sans précédent qui interroge sur les motivations réelles.
Donald Trump a annoncé qu'il serait bien présent au rassemblement inédit de ce mardi et a apporté quelques précisions sur la teneur de l'événement. Mais des interrogations demeurent quant à cette réunion des hauts responsables de l'armée américaine, qui reste exceptionnelle...
Le ministre américain de la Défense, Pete Hegseth, s'exprimera devant les plus hauts gradés de l'armée en début de semaine prochaine, a annoncé jeudi le Pentagone, les médias rapportant qu'il avait convoqué des centaines de généraux ou amiraux.
Les premiers mois brutaux de Pete Hegseth à la tête du département de la Défense laissent entrevoir une mauvaise surprise aux responsables militaires convoqués à Quantico. […] Toutes les huiles du Pentagone convoquées pour une réunion imprévue et sans objet particulier ? Voilà le genre d’impréparation qui a de quoi faire frémir un militaire. Selon le Washington Post, le secrétaire à la Défense Pete Hegseth a en tout cas sommé des centaines de généraux et amiraux américains à travers le monde de se rendre sur l’installation militaire de Quantico, dans l’Etat du Virginie.
Dans un message envoyé aux médias, le département de la défense américain menace de révoquer les accès au Pentagone si les correspondants ne se plient pas à cette règle.
Le ministère américain de la Défense a menacé vendredi 19 septembre au soir de révoquer les accréditations des journalistes s’ils ne font pas valider leurs publications à l’avenir.
Le président américain va signer, vendredi, un décret visant à autoriser cette appellation « historique » utilisée de 1789 à 1949 pour le ministère de la défense.
Le président américain doit signer un décret ce vendredi 5 septembre actant l’ajout de l’appellation, qui a existé de 1789 à 1949, avant un changement complet du nom du ministère.
Les services de renseignement du département de la Défense sont bien moins optimistes que le président Trump sur l’impact des bombardements américains sur les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Ispahan en juin.
Le programme nucléaire iranien a été retardé d'environ de deux ans par les frappes américaines décidées par Donald Trump, selon des évaluations du renseignement américain, a indiqué le Pentagone mercredi.
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