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Soudan
Des exécutions sommaires sur des bases communautaires sont redoutées dans le sillage de la capture de la ville du Darfour par les Forces de soutien rapide.
Plus de 1800 civils ont été tués entre janvier et septembre au Soudan du Sud, un pays "au bord du précipice", où les tensions politiques ont fortement progressé, se sont alarmées vendredi les Nations unies.
Le secrétaire général de l’ONU a porté devant la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies, mardi 23 septembre, un discours alarmant sur la situation à Gaza, mais aussi au Soudan.
Environ 100.000 personnes ont été déplacées par les inondations au Soudan du Sud ces dernières semaines, a annoncé l’ONU vendredi, qui craint que ce nombre soit multiplié par quatre d’ici la fin de l’année.
Soudan : plus d’un millier de morts dans un glissement de terrain qui a décimé un village du Darfour
(02/09) - Le Monde,Afp,L’éboulement, qui a eu lieu dimanche, a frappé le village de Tarasin et « a complètement détruit » la zone située dans le djebel Marra, d’après un groupe armé contrôlant la région. […] Une guerre civile meurtrière oppose depuis 2023 l’armée aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) et a plongé le pays dans une grave crise humanitaire. Le Mouvement-Armée de libération du Soudan, qui contrôle plusieurs zones du djebel Marra, où se trouve le village touché, est, lui, resté essentiellement à l’écart des combats.
Une clinique de Nyala, la capitale du Darfour du Sud contrôlée par les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), a été visée samedi par une frappe de drone de l'armée soudanaise, faisant au moins 12 morts, selon une ONG. Et dans la soirée, au moins sept personnes ont été tuées dans des bombardements contre El-Facher, la capitale de l'État du Darfour du Nord assiégée par les paramilitaires, selon une source médicale.
Le ministère de la santé de cet Etat soudanais a annoncé dans un communiqué, samedi, « une augmentation des cas de choléra, avec 2 880 cas enregistrés dont 158 décès depuis l’apparition du « premier cas de la maladie » il y a trois mois.
L’organisation Médecins sans frontières signale, le 14 août, une forte recrudescence de la maladie, avec « plus de 2 300 patients » soignés dans la seule région du Darfour.
La propagation de la maladie, qui a fait 40 morts la semaine dernière au Darfour, est favorisée par le conflit en cours dans le pays. Avec les déplacements de population, l’épidémie se répand dans les camps de réfugiés du Tchad, du Soudan du Sud et de l’Ethiopie.
Dans les camps de déplacés de Tawila, dans l'ouest du Soudan en proie à une épidémie de choléra, la peur s'est glissée dans chaque geste du quotidien. Eau, vêtements, gamelles : tout paraît contaminé.
Alors qu’il menace de basculer de nouveau dans la guerre civile, le pays, qui figurait parmi les dix principaux récipiendaires de l’aide au développement américaine, est frappé de plein fouet par la décision de Donald Trump.
La construction par l’Ethiopie du grand barrage de la Renaissance vient de s’achever mais inquiète toujours le Soudan et l’Egypte, situés en aval, qui craignent pour leurs ressources en eau.
L'Égypte a accusé jeudi l'Éthiopie d'actions "unilatérales" après l'annonce par Addis Abeba que son mégabarrage hydroélectrique sur le Nil était terminé et serait officiellement inauguré en septembre. Le plus grand projet hydroélectrique d'Afrique Le Grand barrage de la Renaissance (Gerd), lancé en 2011 avec un budget de quatre milliards de dollars, est le plus grand projet hydroélectrique d'Afrique, s'étendant sur 1,8 kilomètre de large et 145 mètres de haut. L'Éthiopie considère ce barrage comme essentiel à ses objectifs de développement et d'électrification, mais l'Égypte et le Soudan, situés en aval, craignent qu'il n'affecte leurs ressources en eau.
La famine menace plusieurs zones au sud de Khartoum, la capitale soudanaise, a averti mardi 10 juin le Programme alimentaire mondial (PAM), appelant à une réponse internationale immédiate.
Le Soudan fait face à une grave épidémie de choléra, particulièrement alarmante dans la capitale, Khartoum, où plus de 1 000 nouveaux cas sont recensés chaque jour. Le système de santé, déjà fragilisé par le conflit, peine à contenir la propagation de la maladie. Les ONG tirent la sonnette d’alarme et appellent à une intervention d’urgence pour éviter une catastrophe sanitaire majeure.
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